Prologue

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La journée qui commence me donne envie de gerber. Chaque parcelle de mon corps me fait mal et je doit me botter les fesses pour me donner le courage de sortir du lit. Je brosse soigneusement mes cheveux noir corbeaux, met un chandail bleu col rouler et manche longue pour cacher mes nombreux hématomes, sans oublier mes pantalons noir pour le travail. Je passe ensuite l'heure qui suit a me maquiller, histoire de bien masquer ce qui reste de mes bleu, puis pour mon bon plaisir, j'ajoute un peu d'eyeliner noir sur mes paupière pour faire ressortir mes yeux vert pour finir avec une petite touche de mascara. Une fois satisfaite de mon reflet, je prend mon courage a deux mains et descend faire le petit déjeuner pour Lucile.

-J'espère pour toi que mon déjeuner est prêt salle petite pute ignorante! crit ma tente depuis le haut des escalier.

Mon coeur loupe un battement au moment ou je l'entend descendre la première marche. Je me grouille a mettre ses oeufs dans une assiette suivi des ses patates et de son bacon avant de la poser sur la table devant ses yeux dégouter.

-Ses quoi cette merde!! crit-elle ce qui fini par me donner un horrible mal de tête.

-Votre déjeuner tente Lucile. 

Je sais que sa peut parraitre étrange de l'appeler de cette façons, mais la dernière fois que je les simplement appeler tente j'ai manger la racler de ma vie! Depuis, je l'appelle tente Lucile et je ne la regarde jamais dans les yeux histoire d'éviter une gifle monumentale des le matin.

-Estime toi chanceuse que je sois de bonne humeur! Ce que tu ma servit ne ressemble a rien! Tu devra faire la lessive, nettoyer tout les planchers a la brosse a dent, sortir les vidanges, faire la vaisselles et passer la balayeuse dans ma voiture ou je te jure que je vais te tuer!

-Oui tente Lucile

C'est une technique que j'ai fini par apprendre! Je prend beaucoup moins de coups lorsque je dit oui a tout ce qu'elle me dit. Elle fini son assiette et la balance sans ménagement dans l'évier avant de me cracher au visage, prendre son manteau et foutre le camp. J'essuie rageusement la masse visqueuse de ma joue et entreprend mes nombreuses corvées ménagère. Je rêve de lui faire la peau! Si seulement je pouvais la frapper jusqu'à ce qu'elle en crève sa me ferait un bien fou! Mais je ne suis pas comme elle et je me refuse a lui ressembler. Lorsque l'horloge indique 15h, je prend mes clé de voiture, mon manteau parce qu'il fait -100 dehors et ferme la porte a clé. Je tourne la clé de ma bonne veille Honda et me dirige aux travail. L'avantage de se faire battre, s'est de bien savoir ce maquiller et que par la suite, j'ai pu me débusquer un travail dans les cosmétiques. Une fois garée, j'entre, punch et commence mon quart une fois de plus 10 minutes en retard!

-T'en fait pas! Je tes couverte, j'ai dit à la patronne que ta voiture avait fait des siennes. me dit Cara ma partenaire de travail.

-Merci Cara

.   .   .

De retour à la maison, je souffle intérieurement quand je remarque que ma tutrice n'est pas encore là. Je fini mes tâches et prépare le souper. Lorsque Lucile débarque comme une tornade, je sais d'avance que les coup vont pleuvoir.

-Espèce de sale chienne! Comment ose tu me décevoir! Je t'avais dit de nettoyer ma voiture!

Elle me gifle si fort que je tombe sur le plancher de la cuisine. Je n'écoute plus vraiment ce qu'elle me dit et ramène mes jambes contre mon corp pour me protégé des coups de pied qu'elle m'envoie. Elle me frappe encore et encore, jusqu'a ce que chaque partie de mon corp soit couvert de bleu. Mon sourcil est fendu, ma lèvre gonflé et ma joue doit certainement prendre une teinte violacé. Mon bourreau se lasse de moi et tourne les talons comme si de rien n'était. Je ne pleure pas, ni ne me plain, elle ne mérite pas mes larmes. De toute façons, j'ai déjà trop pleurer pour elle. À la place, je traine ma carasse de douleur jusque dans ma chambre ou je m'empresse d'aller sous la douche pour atténuer la douleur. L'eau chaude détend instantanément mes muscle mais je ne tarde pas trop longtemps, je sort vite fait et me met sous les couvertures.

Âme sœur à jamais : MorsureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant