Chapitre 1

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Pour une fois en deux ans, j'affiche un vrai sourire sur mon visage. Ma journée est tout simplement radieuse! Je viens de finir ma 48 ventes et la cliente a l'air contente de son service. C'est décider, je fait carrière dans le maquillage. J'adore voir toute ces femme et parfois des hommes, partir avec le sourire car ils ont trouver ce qu'il cherche. 

-Katalina?

Je me tourne instinctivement lorsque j'entend ma gérante m'appeler. A voir sa posture et son visage, je me détent car je sais qu'il n'y a rien de grave.

-Oui madame?

-Voyons! Je tes déjà dit mille fois de m'appeler Josephine. Après tout ce que tu apporte a cette boutique, les coutumes ne sont plus obligatoire.

-Désoler Jo, les vieilles habitude sont tenace.

-Je voie sa! Le patron voudrait te voir, il a trouver ton professionnalisme exemplaire et je croit bien qu'il veut te proposer un nouveau poste.

-Pour vrai?!

-Oui, suis-moi. Il est dans mon bureau. Sa te dérange si je te laisse y aller seule? Je tien a rester avec les clientes.

-Pas de problème.

Je passe par l'arrière boutique et m'accorde une pause de 10 minutes le temps de fumer une cigarettes. Je ne suis pas vraiment une fumeuse, mais occasionnellement, sa peut me détendre. Je toque  et attend patiemment. Un homme que je n'avait jamais vu avant ouvre la porte. Je reste scotché devant son visage balafré et d'un blanc cadavérique. On pourrait jurer qu'il a participer à la troisième guerre mondial tellement son visage est dure.

-Tes qui? gronde t-il d'une voix grave et puissante.

Sa familiarité me choc au plus au point! Depuis quand on tu toi les personnes qu'on ne connait pas? Il manque cruellement de savoir vivre.

-Premièrement, vous ne me connaissez pas, alors soyer plus poli avec moi et deuxièmement, le patron ma demander alors poussez-vous! dis-je en l'écartant de mon chemin.

Alors que je passe a peine la porte. J'entend le rire du patron qui se percute contre les murs. C'est le mec de tout à l'heure! Celui beau à tomber par terre! Son rire est si doux qu'il me donne la chair de poule.

-Katalina c'est bien sa? dit -il entre deux fou rire.

Ho mon dieux sa voix! Elle est si belle et si mielleuse! Qu'est ce qui m'arrive bon sang? Depuis quand je m'intéresse a la gente masculine moi? 

-Oui.

-J'était impressionner par votre travail, mais maintenant votre courage vous honore! dit-il alors que je ne voit toujours pas ces yeux. Et dieux seul sait que j'ai horreur de parler a quelqu'un sans voir ses yeux. Je fait déjà un exception pour Lucile et ses assez! Il n'y a quant regardant les yeux d'une personne qu'on peut voir sa nature profonde.

-Si je peut me permettre monsieur, je croit qu'en t'en normal quand on parle a une personne il faut la regarder dans les yeux.

Sa y est, j'ai perdu la tête! D'ou vient ce courage que je n'est jamais eu? Si je continue je vais me faire mettre à la porte. Quand j'y pense, une chance que je n'ose pas parler comme sa à Lucille! J'imagine le calvaire qu'elle me ferait vivre ensuite!

-Vous avez raison. dit-il en faisant pivoter sa chaise.

Ses yeux se plante alors dans les miens et je suis comme dévorer par son regard. Ses yeux sont magnifiquement rouge. Mon coeur ne supporte pas la tension, il bat tellement fort et si vite que sa en fait mal. Ma gorge s'assèche mais je suis incapable d'arrêter de le regarder. J'ai l'impression de le connaitre depuis toujours et qu'une partie de moi viens d'être comblé. J'ai subitement une énorme envie de vomir et j'attrape in extremis la poubelle avant d'y vider tout le contenue de mon estomac. Mon coeur se calme progressivement a mesure que je respire. Il vient de se passer quoi la? J'ai presque peur de recroiser ses yeux. Comment je vais pouvoir expliquer sa moi?

-Désoler, dis-je sans obtenir de réponse.

Comme au bout de 5 minutes je n'est toujours pas de réponse, je fini par lever la tête et voie qu'il n'y a plus personne. Je suis sur que je n'est pas rêver alors ou sont-ils passer? Je m'essuie la bouche et comme je suis encore nauséeuse, Cara me ramène à la maison ou je m'empresse d'aller me coucher avec l'impression qu'un camion citerne m'a passer dessus et qu'une partie de mon coeur manque a l'appel.

Mon souffle se coupe brutalement et je me retrouve sur le plancher de ma chambre. Elle vient vraiment de me frapper avec une batte de baseball?!

-Ou était tu hier soir?! J'ai du faire mon souper et ma lessive a cause de toi! crit-elle a m'assénant a coup de bat sur la cuisse.

J'ai beau être solide mais je hurle de douleur. J'ai l'impression de me faire bruler au fer rouge en meme temps qu'on me verse de l'acide aux visage. J'ai beau tout faire pour que sa cesse mais je fini par pleurer de douleur. Elle ne m'avait jamais fait aussi mal!

-Espèce de salle déchet! Tu n'est qu'une petite incapable bonne a rien! Une salle pute sans beauté! Personne ne voudra jamais de toi! crit-elle en me donnant un nouveau coup de batte dans le dos cette fois-ci.

Je me pli en deux, mais n'arrive plus a crier. Seule mes larmes continue de dévaller mes joues par dizaine. Comme si elle avait remarquer son geste, elle lance la batte a l'autre bout de ma chambre et s'enfuit en courant. Je rampe misérablement jusqu'à ma table de chevet et compose un numéro instinctivement.

-Vous êtes chez Séphora que puis-je faire pour vous?

Je n'est jamais entendu cette voix, j'imagine qu'elle est nouvelle mais c'est le dernier de mes souci. J'ai tellement mal que j'arrive à peine a respirer convenablement pour parler.

-Aid..aide.. besoin.. aide! dis-je de mes maigre force.

La douleur devient si puissante que je me plie en deux. Le téléphone tombe et je n'arrive plus a bouger la moindre partie de mon corp. J'entend vaguement la femme se mettre a crier dans le téléphone, mais ne comprend pas ce qu'elle dit.

-Ne bougez pas! sont les seul mot que j'entend.

Je concentre tout mes effort sur ma respiration qui devient sifflante. Ma vue est brouiller mais je voie clairement que mes mains tremble comme une personne souffrant du parkinson. Je ne sais pas pendant combien de temps je reste coucher sur le sol, mais j'explose en sanglot quand j'entend la porte d'entré volée en éclat.

-Katalina??!!

Cette voix je la reconnais. C'est LUI, lui qui m'a donner la nausé hier. Qu'est ce qu'il fait ici au juste. Je ne sais meme pas quoi faire pour attirer son attention.

-Kat tes là?

C'est Cara! Je suis là Cara monte les marches, je t'en supplie. Le désespoir m'envahie et mon corp sort enfin de sa léthargie. Je me relève et tangue dangereusement mais parvient a faire quelques pas qui m'arrache des petits gémissement. Je descend une marche et tombe sur le cul à cause de la douleur qui refuse de me lâcher. Mon raffut a au moins le don de me faire entendre car je sens bien vite des bras autour de moi.

-Ho mon dieu Kat! Reste avec moi je t'en supplie! Noa elle est ici! crit-elle

C'est qui Noa? Je ne comprend pas ce qui se passe. Quel heure est-il? La chaleur de deux bras puissant percute mon corps et je me sens peu a peu perdre conscience. La dernière choses que je voie, se sont S'EST yeux rouge. On dirait deux rubis flamboyant, même avec cette douleur, mon envie de lutter pour les regarder est forte, mais pas assez pour me tenir réveiller.


Âme sœur à jamais : MorsureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant