J'ignore de quel façons j'arrive a ouvrir les yeux. Un plafond blanc, une odeur d'antiseptique, un bip incessant, je crois savoir ou je suis. Malgré la douleur qui iradie dans mon corps, j'arrache les files qui me relie a la machine et marche a pas d'escargot vers la toilettes ou je m'empresse de vider ma pauvre vessie. Du au fait que j'ai arracher mes files, une petite armada d'infirmière déboule dans ma chambre, ce qui a le don de m'énerver. Y'a pas moyen de pisser tranquille ici? Comme vous l'avez surement remarquer, les hôpitaux me rende exécrable. En plus, j'ai suffisamment mal aux crâne pour les supporter en train de paniquer. C'est quand même moi qui s'est fait tabasser!
-Que diable ce passe t-il ici? hurle SA voix.
J'hallucine ou bien cette homme est dans ma chambre? Je doit être en train de rêver. C'est sa, je délire complètement. Lucile n'a pas manquer son coup cette fois.
-Elle a disparu! crie une infirmière.
Je les entends sortir en trombe se mettre a ma recherche. Je ne prend pas la peine de leur signaler ma présence, je me sens assez misérable a mon gout pour en plus affronter leur regard et leur question sans queue ni tête. Je sort mes vêtement du sac, meme s'il sont taché de sang je les enfiles et prend soin de sortir par la fenêtre pour ne pas être vu. Par chance, j'était aux soin intensif donc aux premier étages, ce qui m'évite une chute douloureuse. Chaque pas que je fait me donne l'impressions que ma cuisse va se fendre en deux, que mon dos est en bouilli et que mon corps ne me supportera plus. Par chance, mon orgueil refuse d'y retourner et je continue d'avancer. Mes pas me mène tout droit devant la porte de Cara. Je suis venu une fois, mais je m'y suis senti tellement bien qu'il m'est impossible d'oublier cette maison.
-Toc. Toc. Toc.
-Qui est là? demande Cara de l'autre côter de la porte.
-Une fille qui va tomber dans les pommes si tu n'ouvre pas tout de suite.
À peine ma phrase terminer qu'elle ouvre la porte la bouche grande ouverte. Ses yeux passe par différente émotion et finissent par s'arrêter sur la colère. J'avoue que ses nouveau pour moi, d'habitude j'ai droit a de la pitier. J'aime bien ce changement par contre. Je suis peut-être devenu masochiste avec le temp?
-Veux tu bien me dire ce que tu fou ici? Non mais tu tes regarder? crit-elle
-Cara.., j'ai passer une sale journée. Déjà qu'hier j'ai pratiquement rendu mon estomac sur le patron il fallait que je me fasse tabasser de si bon matin et j'ai horreur des hôpitaux. Alors s'il te plait, laisse moi entrer. lui dis-je en me prenant les cotes qui m'élance a cause de cette foutu douleur qui semble ne jamais vouloir me laisser tranquille.
Enfin réveiller, elle m'aide a entrer et m'assoie sur le sofa de son petit salon. Je profite de sa petite absence pour fermer les yeux. Je peut l'entendre préparer le thé dans la cuisine et passer un drole de coup de téléphone. Après tout, elle a bien le droit de parler a qui elle veut! Je me pose vraiment trop de question! Je me demande ou est passer Lucille?
-Tien, bois sa.
Je prend volontiers la thé dont la chaleur réchauffe mon corp glacé par la douleur. Cara reste assise pendant plus de dix minutes, le temps qui je vide ma tasse. Je sais déjà ce qu'elle veut, mais je ne me sens pas d'humeur pour sa.
-Sa te dérange si je prend une douche? Je demande alors que mes vêtement tacher de sang me colle a la peau.
-Bien sur que non, mais après tu devras m'expliquer.
Je ne dit rien, elle a le droit de savoir. Après tout, je me suis imposer chez elle et elle m'accueille sans rechigner. Voyant que je galère a me lever, Cara m'aide a me rendre jusqu'à la salle de bain et me fait couler un bon bain chaud. Elle part et revient avec du linge propre et une serviette. Je me sens vraiment honteuse lorsqu'elle voit que je n'arrive pas a me déshabiller. Cara entreprend alors de retirer mon chandail, mon pantalons et tout le reste. La colère fait briller ses yeux a mesure qu'elle découvre mes bleus et ma cicatrice qui zèbre tous le bas de mon dos. Je parviens finalement a plonger dans l'eau ou la chaleur a le don de me détendre en moins de deux. J'y reste jusqu'à ce que l'eau soit froide et réussi par miracle a sortir du bain. 45 minutes plus tard, je suis habiller et sors rejoindre ma seule et première amie.
-Maintenant, tu va t'assoir et tout me dire! me dit-elle a peine suis-je arriver dans le salon
-Très bien, mais avant, j'ai vraiment besoin d'un café. dis-je en me dirigeant vers la cuisine.
Je prend tout mon temps, mais viens le moment ou je suis bien obliger d'aller la rejoindre. Je crois bien que tout mes os craque lorsque je m'assoie, ce qui m'arrache une grimace.
-Je peut te faire la version courte?
-Non.
-Comme tu veux. Il y a trois ans jour pour jour, ma mère voulait m'emmener faire les boutiques pour mon anniversaire. Mon père n'a pas pus lui refuser, meme si je doute qu'il lui est déjà dit non un jour.. Bref, je m'égare un peu. Il faisait un temps horrible dehors mais ils ont quand meme décider de sortir. Mon père a perdu le contrôle du véhicule et ils sont mort dans l'accident mais pas moi. C'est la que les service sociaux m'ont confier aux bon soin de ma tente. Je ne sais pas trop pourquoi, mais elle est convaincu qu'ils sont mort par ma faute. Dès que nous avons été seul, elle m'a foutu une bonne raclé. Pendant deux ans, elle ses servi de moi comme une esclave et elle ne se gênait pas pour me tabasser à la moindre occasion. Pourtant hier, elle est devenu complètement folle! Elle m'a frapper avec une batte de baseball jusqu'à ce que je ne sois plus capable de bouger. Elle a pris peur, elle ses sauver et j'ai réussi par je ne sais quel miracle a appeler la boutique et tu est venu. Je croit qu'il..
-OU EST-ELLE? hurle t-IL alors que la porte se fracasse contre le murs non loins de nous.
Mon instinct de survie me hurle de déguerpir, ce que je fait dans la seconde. L'adrénaline qui envahie mes veines réduit considérablement la douleur en je m'enferme dans une chambre en moins de deux. Je pousse le lit, le meuble et la chaise contre la porte avant d'ouvrir la fenêtre et de sortir en douce. J'entend Cara hurler comme une dingue et c'est la que m'a conscience s'en mêle. Je ne peux quand même pas la laisser là si? Bien sur que non! Sans elle tu serais encore dans les rue en déambuler dans des vêtement sales. Je pourrais revenir plus tard alors? Je suis stupide, elle m'en voudrait! Je grogne et tourne les talons décider a affronter mes démons intérieure et ma fichu conscience qui refuse de me laisser vivre en paix. Je ne prend pas la peine de cogner puisque de toute façons, la porte n'existe plus!
-C'est pas bientôt fini oui!? J'ai passer une sale journée et j'aimerai ne pas la finir avec un horrible mal de tête c'est trop demander!? criais-je les larmes aux yeux.
Mon âme a toucher le fond et mon corp a dépenser ses maigre énergie dans cette petite phrase qui voulait tout dire. Je suis vider de tout esprit combatif.
-Katalina.. souffle t-il comme s'il était soulagé de me voir
-Noa? dis-je absorber une nouvelle fois par ses magnifique yeux rouge.
Attendez une minute.. ROUGE?? C'est yeux sont rouge! Je reviens brusquement a la raison. C'est impossible, mes yeux doivent me faire défaut. Je le regarde une dernière fois plus attentivement. Ses yeux sont effectivement rouge mais pas seulement. Ses ongles se sont allongé, ses muscle se sont durci, ses dent ont deux canines bien aiguiser et il dégage une aura de prédateur qui me fait l'effet d'une douche froide. En un quart de seconde, je lui balance une chaise, agrippe le bras de Cara et la traine hors de la maison dans une course effréné. Cependant, on a pas fait trois pas que Noa se trouve devant nous comme par magie.
-Tu n'ira nulle part sans moi.
Je sens ses mains se poser contre ma nuque et le noir m'envahie instantanément. Ma vue se brouille, mais je peut tout de même sentir son odeur de baie sauvage juste avant de sentir mon corp s'écrouler contre sa musculature parfaite.
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Âme sœur à jamais : Morsure
VampireJe vis chez ma tente Lucile depuis maintenant deux ans suite a la mort tragique de mes parents. Je devrais être reconnaissante, mais peut on vraiment remercier une personne qui nous bat et nous traite comme une esclave? J'ai beau appeler les service...