MON DADDY 4 (boy X boy)

5. eisuolaJ

J'enlève sa main de sur moi — il me regarde un peu gêné.

Moi : Je pense que c'est mieux que je prenne un Uber. On se voit demain de toute façon.

Il sourit.

Noah : Oui mais... c'est tard et j'ai une voiture. Je t'emmène. Si ça te dérange pas.

Moi : Non t'inquiète je suis habitué à prendre l'uber.

Noah lève les yeux au ciel.

Noah : Non mais j'insiste viens comme ça t'arriveras plus tôt.

Moi : D'accord...

Dans la voiture :
L'ambiance était extrêmement gênante, il me regardais de temps en temps avec son petit sourire...

Moi : C'est là à gauche.

Noah : Elle est belle ta villa.

Moi : Merci.

Il s'arrête juste devant l'entrée principale. Colen était devant la porte. Ça sens pas bon.

Moi : Bon bah je dois te laisser. À demain.

Noah : À demain...

Il me caresse la jambe très légèrement.

Colen s'approche de la voiture — je sors et je ferme la porte derrière moi.

Moi : Hé calme !

Je retiens Colen en touchant son torse.

Colen : Il se prend pour qui ? Il te touche la jambe comme si t'étais sa pute.

Moi : Calme !

Colen s'approche de la voiture. Noah ouvre légèrement la fenêtre.

Colen : Qu'est-ce que tu veux de mon mari ?

Ça va mal se finir...

Noah : Tu vas pas me croire... mais il est monté dans ma voiture puis je l'ai emmené chez lui.

Colen : Fais pas le con ! Je t'ai vu le toucher !

Noah : Ah parce que toucher quelqu'un c'est interdit ?

Colen : Si je te casse la gueule ce serait interdit ?

Noah : J'ai pas envie de me battre avec un grand-père.

Colen vient de l'autre côté de la voiture, il voulait le frapper.

Noah : Mec calme-toi.

Colen : Ouvre la porte sale chien !

Il essaie d'ouvrir la porte.

Moi : Hé calmez-vous putain ! Vous avez quel âge ?

Colen me regarde.

Noah : J'avoue. Calme ton gars.

Noah accélère et part.

Colen : Putain t'es sérieux ?!

Moi : Quoi ?

On entre dans la villa.

Colen : Il t'attire c'est ça ?

Moi : Quoi ?! Non.

Colen : Ouais c'est comme Joseph. Tu l'aimes pas mais ça te dérange pas de te faire baiser comme une bonne chienne.

Moi : Hé arrête !

Je touche son épaule — Colen me repousse.

Moi : Qu'est-ce que t'as ? D'où vient tes insécurités ?

Colen : Je sais pas ! Je sais même pas si je suis suffisamment bien pour toi.

Moi : Bien sûr que oui Daddy.

Je l'embrasse — il me prends dans ses bras et me pose sur le canapé — il se met sur moi et commence à m'enlever les vêtements. Il était comme un lion affamé de mon corps.

Colen : T'es à moi. Et qu'à moi.