Chapitre 4

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Je ne remercierai jamais assez la personne qui m'a rendu ce service de me mettre au confort de mon lit. J'ai toute l'après-midi pour moi, je dois aller chez mon coiffeur, faire du shopping pour mes enfants.

Depuis quand mon lit est-il aussi confortable? Je commence à l'analyser avec mes doigts mais, ils rencontrent avec quelque chose douce, que j'ai pris mon temps à caresser. Mais je sens qu'on me mord avec sensualité, je me suis surpris de commencer à gémir tout bas des lèvres chaudes et douces depuis puis quand Alex savait faire ça. Hmmmm trop bon .

J'ouvre mon œil gauche lentement, ce que j'ai vu m'a laissé sans voix, je me suis levée d'un bond. Où suis-je? Où sont mes vêtements ? Pourquoi suis-je tout nu? Pourquoi a-t-il retiré mes vêtements ?

- "Où suis-je Zayarh"dis- je énervé.

- "Je ne me suis guère trompé tes gémissements sont toujours agréable à entendre" constata t-il en me regardant sans vergogne avec ce sourire malicieux.

Non mais quel connard. Rouge de honte, je commence à chercher mes habits du coin d'œil, je ne cesserais de me poser la question comment un type comme lui, pourrait être le roi d'un pays, boufff, grâce enfin, je les trouve près de la poubelle.

Ce crétin sans cervelle à déchirer mes habits. Pourquoi tout ce cirque?

- "Pourquoi as-tu fait ça Zayarh ?" dis-je en lui montrant mes habits, lasser qu'il puisse agir comme un enfant.

-"La vengeance est un plat qui se mange froid Thana."

- "Tu n'as pas oublié alors."

- "Comment oublier ce que tu m'as fait? Mais c'est le passé."

- "Et bien mes compliments à toi monsieur, figure toi que le bonheur est aussi de mon côté."

Je prends quelques minutes pour reprendre mon souffle, attacher le drap comme il le faut, en tant que femme qui se respecte, je n'avais pas l'intention de sorti tout nu comme un ver de terre, même si l'envie ne me manque pas. Avec ce monsieur restez ici plus longtemps est une mauvaise idée, très mauvaise même.

- " Chacun ses problèmes, longue vie à toi et ta famille"

Pendant que j'allais ouvrir la porte, pour partir une bonne fois pour toute, un bras me tient, me plaqua au mur, m'embrassa avidement, commença à déchiffrer le pauvre drap, puis me jeta sur le lit sauvagement, se mit au-dessus de moi, à quatre pattes. Il descendit plus bas, où il fait la rencontre de mes seins qu'il ne laisse pas indifférent, encore plus bas là où il embrasse mon ventre encore et encore plus bas, où il enfonce trois doigts dans mon vagin, tout en me baillant d'un baiser.

Boum

Bordel de merde, qu'est-ce-qui ce passe dans mon cerveau ? Pour que je fantasme ainsi? Moi chrétienne, et que lui marié. Ce rêve paraît vraiment réel, désillusion totale.

Je massa mes tempes, puis me releva, continua mes tâches d'hier.

Toujours aussi beau d'ailleurs, ses lèvres, bien rosé, que la dernière fois. Ses fesses sûrement plus dur que le béton? Mais quelle conne?!

De loin je remarqua une feuille à la table 12, peut-être une de mes clients qui a oublié leur argent, ma curiosité est passé au-dessus.

La rose d'un cheikh Où les histoires vivent. Découvrez maintenant