Allongée sur mon lit, la main derrière le tête, je pense à tout et à rien. Si, malheur, je garde les yeux fermés, son visage apparaîtra dans mon champ de vision, son sourire, tout va revenir, elle me hantera, comme à chaque fois.
Regardant dans le vide, réfléchissant à mon parcours en tant que roi, suis-je un bon roi? Suis-je assez bon pour mon peuple? Non, je ne le suis pas, un roi devrait satisfaire le besoin de son peuple, la principale priorité. Qui va me succéder, après ma mort? Mon fils invisible peut-être? J'entendis la porte s'ouvrir avec agitation, ne me retournant pas tout de suite, je sens son parfum anéantir cette pauvre chambre, pourtant très calme. Comme je ne lui montrais aucune attention, elle plongea au-dessus de moi.
Balaya ses mains sales, dans mes cheveux, sur mes lèvres dont elle suça avidement, descendit dans mon cou, laissa apparaître son territoire, mon torse, le long de mon sternum, elle déposa des baisers mouiller.
-" Chéri, tu me manques tes caresses, tout me manque, depuis que tu as vu cette ..., pff tu ne me touche quasiment plus.
Déchirant d'une geste rapide mon boxer, elle prit entre ses mains mon pénis.
-" Lui, il me manquait vraiment, tu vas bien? Je vais te montrer comment, je suis une vilaine fille." Déclara la salope.
Elle enfonça mon pénis au fond de sa gorge, faisant des va et vient, qui me fit grogner de plaisir. Cette femme me donne vraiment du plaisir, s'est d'ailleurs uniquement son métier au château. Elle retient que la réputation de pute, beaucoup de gens disent, que l'on avait aperçut, dans le jardin forçant à un de mes gardes du corps, à lui défoncer la chatte.
Je la pris brutalement par les cheveux faisant des mouvements plus forts, plus vite, plus intense dans sa bouche. L'étrangler sera le dernier de mes soucis.
Après ces exercices, je la poussa sur le lit, écarta la petite culotte en dentelle. J'enfoui trois doigts dans sa putain de chatte. Elle pris plaisir, puisqu'elle ne savait pas où se mettre.
-" Za...yarh,ch...éri...shhhh aaaaaaaaa."
-" J'ai...me...rrrai... sen... ti....i...r...r, la ch...a....l..e...u...r de tes l..è..v..r...es sss...ur ta r...eine."
Quelle salope, baiser sa chatte, sera la dernière chose que je ferais. Bien malheureux que ce n'est pas celle d'elle, je lui aurai arraché. Pensais -je un sourire au coin.
-" Une prochaine fois, peut-être."répond dis-je.
-" T..u d..is t...oujours, la m..ê..me ch....ose à ch...aque f...ois. Oh Zayarh, aaaaay, j'aime trop."
-" Ferme ta bouche de pétasse et laisse moi te donner du plaisir, tu entends?"
-" Oui maître."
-" Mets-toi à quatre."
Je pris un préservatif dans l'un des tiroirs de la commode et le mis.
-" Places-toi sur la chaise, j'aimerais bien te pénétrer pour ce soir peut-être ça sera la dernière pour cette année, mieux vaut en profiter."
Plaçant mes deux mains sur ces hanches, je la pénétrais dans un coup de rein sec.
Je ne sentais rien à part que je pénétrais un robot, une statue. C'était pas ainsi avec elle, tout chez elle me faisait bander, même ces gémissements ont l'effet de me donner du plaisir.
L'orgasme atteint, je remis rapidement mes vêtements pour partir, mais une main répugnante me toucha,
-" Tu peux rester pour ce soir Zayarh?"proposa t-elle d'une voix mielleuse.
-" J'ai quelque chose important à faire, pas ce soir."
-" Je t'ai pas donné suffisamment de plaisir, pour que tu penses à elle? Hein dis-moi, elle t'a fait des propositions cette pute."
-" Tu parles encore d'elle ainsi, je te coupe de toutes tes vivres."
-" Tu n'oserais pas, tu m'aime trop."
-" Tente, toujours."
Ouvrant la porte, pour m'en aller elle déclara, je vous laisse imaginer:
-" Je t'aime Zayarh."
-" Merci pour le verbe."
-" Je le pense Zayarh, Zayar...."
Je me demande qu'avais-je trouvé en cette bonne à rien, pourquoi je l'avais choisi? Une chose est sûr uniquement pour me venger. Elle lui faisait confiance, dommage qu'elle n'est pas l'amie fidèle. C'était pas difficile en plus, un simple coup d'œil et le tour est joué, après m'avoir tromper, je l'ai épousé le surlendemain. Avais-je fait le bon choix? Oui, elle a simplement eu la monnaie de sa pièce.
Dans mon bureau, j'appelle Alexandrin pour qu'il puisse préparer mon jet.
Je suis peut-être pas un bon chrétien, qui prie, comme font d'autre personne, elle m'a appris à croire en Dieu, un Dieu qui existe, je ne sais où, c'est d'ailleurs sa croyance de bonne foi, qui m'a appris à lui faire entièrement confiance, chose que je regrette aujourd'hui.
Regardant mon jet privé prendre de l'altitude, quittant mon pays natale, demain j'aurai des questions à mes réponses.
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Partagez le fond de vos pensées, tous en restant professionnels.
À très vite .
Peace
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La rose d'un cheikh
Любовные романыL'amour peut-être une arme quand on nous déçoit, nous trahit. Tout le monde y participe, décidant à la trahir, à la faire souffrir, parce qu'ils pensent, qu'elle n'a pas droit au bonheur. Que la chance devrait pas être de son côté. Mais comme on di...