Comme dit le dicton : "Après la pluie c'est le beau temps." J'ai passé des lustres et des lustres à la trouver. Elle est chef dans son propre restaurant, très chic d'ailleurs, que j'avais pris le soin de noter le nom, le lieu dans un carnet, possède deux jumeaux pour ce fils de chien, domicile dans une très jolie maison très simple connaissant Thana avec ces manières toujours splendide, je me demande pourquoi avoir une maison toute simple, peut-être pour la discrétion, mais dans la vie c'est quand on veut être discret, que les gens veulent tout apprendre de nous.
Assied dans mon jet privé, ma tasse de thé fumante à mes côtés, je lis et relis le document, que mon détective m'avait apporté, pour mieux me repérer, même si chaque détail de ces feuilles sont bien gardés dans mon cerveau, jusqu'à ce que cette question me stoppa dans ma lecture. Qu'est-ce-que je vais lui dire? Thana n'est pas une femme à manipuler facilement.
-" Thana pardonne moi, mon cœur, parce que je n'ai pas su t'écouter."
Trop faible comme excuse, il en faut plus, beaucoup plus si je veux la conquérir. Des mots pour qu'elle se sente coupable et non moi de l'avoir quitter, des mots pour qu'elle puisse fondre sur place. Mais quoi?!
Pourquoi tous ces problèmes perturbent ainsi ma vie, j'ai merdé une première, une deuxième, une troisième, une quatrième et encore là aussi après des années de mariage, j'ai encore merdé une cinquième fois, je connais Thana comme mes dix doigts de la main, car chaque douleur donne une leçon et chaque leçon change une personne, j'ai la certitude qu'elle a changé, parce que si elle a eu le courage d'avoir deux jumeaux, une vie, un autre homme, après tout ce qu'on a vécu ensemble, tous ces beaux moments cachés entre les quatre murs de mon palais, notre complicité! Je ne dis pas qu'elle devrait être triste, de verser toutes les larmes de son corps pour moi, non, Thana ne me rendrait jamais ce service, la connaissant (rire) c'est parce que les choses ne se passeront pas comme il y avait huit ans. Pour vous dire que je connais Thana depuis longtemps, très longtemps même, une prochaine fois je prendrai le temps de vous expliquer comment cette belle rencontre a vu le jour, je ne regrette pas mon choix de l'avoir choisie elle, comme ma femme, si je pouvais recommencer, je recommencerais sept fois soixantaine dix -sept fois.
-" Votre Altesse, nous allons atterrir." Dit l'hôtesse de l'air.
Je regarde cette femme, belle, pourtant, mais ne m'intéresse pas. Elle fait tout pour avoir mon attention, exemple : brassage des reins, je pense parfois que ses hanches allèrent se casser, tellement qu'elle prenait le soin de le tourner, peut-être pense t-elle que je vais la baiser dans les toilettes de cet jet, la conne, que pour mon argent, qu'elles sont ainsi, que pour l'argent.
PDV l'extérieur
-" Tout se passe comme prévu patron."
- (rire moqueur)"Ça je le savais déjà Fumen." (rire joyeux)."
-" Tant pis pour vous, tant mieux pour moi, alors mon fric je l'aurai quand?"
-" Quand je le voudrais, connard, ne m'énerve pas, même si je sais que tu n'as pas trop la capacité. Parce que si jamais, si tu savais comment le bonheur m'entoure pour l'instant, tu serais aigri de moi (rire joyeux)."
Le dénommé Fumen est énervé, quand il réalise, qu'on vient de l'utiliser, que l'on ne lui donnera pas son fric comme c'était prévu dans le contrat. Il retire son arme coincé entre ses hanches et son pantalon et le pointa sur lui.
-" MOI FUMEN, JE DEMANDE QU'UNE SEULE CHOSE, TÊTE DE MES COUILLES, MON FRIC."
Malgré toute l'audace de Fumen, il continua de crier pour son putain de fric, que le fils de pute qui lui sert de patron refuse catégoriquement de lui donner.
-"Mon pauvre petit Fumen, ton audace te mènera tout droit en enfer, parce que en dépit de tout, oui j'ai bien dit tout" rire moqueur. " Ce que tu as fait dans ce monde, combien d'enfants tu as violé? Combien de gens, que t'as tué? Dieu ne te recueillera pas dans son paradis, le paradis n'est pas fait pour les gens comme toi.(rire moqueur)
Alors premièrement, tu baisses d'un ton, deuxièmement arrange immédiatement ton arme."Courageux comme il est, patron ou pas patron, il appuie sur la détente, mais lui, le donna un coup de pied dans son pénis, qui infligea à Fumen un moment de faiblesse, de lâcher son arme, il le prend par le cou, l'asséna plusieurs cou de poings dans les zones sensibles de son corps, cracha quatre fois sur son visage, tout en le faisant valser de l'autre côté de la pièce.
-"(rire moqueur) Mon pauvre petit Fumen."
Il part dans la direction de l'arme, il allait le prendre avec ses mains, mais changea d'initiative, le prend plutôt avec sa chemise, puis souffla trois fois de suite sur le métal et crève le cerveau de Fumen de huit balles.
-" Adieu, mon frère, repose en paix dans les flammes de l'enfer. (rire moqueur)"
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Bonjour ou bonsoir, vous allez bien?
Si oui, je suis contente pour vous, si non, ne vous inquiétez pas ça va aller ce ne sont qu'éphémères.Que pensez vous de ce chapitre ? Intéressant non?!
Apparement le lui c'est qui ?!Votez et commentez en masse
Sorry pour les fautes.
À très vite pour un nouveau chapitre
Peace.
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La rose d'un cheikh
Любовные романыL'amour peut-être une arme quand on nous déçoit, nous trahit. Tout le monde y participe, décidant à la trahir, à la faire souffrir, parce qu'ils pensent, qu'elle n'a pas droit au bonheur. Que la chance devrait pas être de son côté. Mais comme on di...