L'amour, l'amour est très idyllique, genre, nous fait vivre des expériences, que tous ces romans, nous racontent.
J'aimais un homme, qui prétend m'aimer, pour tout vous dire, il m'a renié, parce qu'il a voulu écouter une inconnue, plus clairement ma meilleure amie, que sa femme. Elle n'était qu'une simple étrangère, une intruse dans le lot, a osé me l'arracher, me le prendre, en dépit de tout ce qu'on a vécu, de toutes les misères, tous les difficultés, elle m'a trahie, parce qu'elle a eu ras-le-bol d'être amie avec une fille dont le passé n'est que triste.
Je me sens dans un film de cendrillon ou quelque chose de ce genre à cet instant, mais dommage que la mienne n'a pas une fin heureuse au lieu de ça , je me suis fait jeter du jour au lendemain sans un sou pour une chose qui est quasiment préparé par ma meilleure amie, pfff ce mot là, n'est pas du tout facile a prononcé, pensais-je (ironie).
J'aimerais me poser d'abord la question qu'est-ce-que l'amitié? Au début tout est beau, tout est rose, au fil des années, elle devient tranchant, parce que oui, ça fait extrêmement mal quand quelqu'un qui, vous ne saurait l'imaginé, la seule qui vous disait de ne jamais baisser les bras, de persévérer coûte que coûte, vous a trahie. Elle cachait très bien son petit jeu cette vermine. Pourquoi? parce que j'avais enfin trouvé, celui qui faisait battre mon cœur. Pourquoi moi? Et ben, parce que l'amour, en elle même ne m'accepte pas. Vraiment pathétique.
La jalousie est pire que l'égoïsme, suggéra ma conscience.
Et pour l'amour? Bah ce mot là, ce fut de courte durée dans ma vie. Devant le pasteur, l'Église et les assemblées, il a dit Oui.
Aujourd'hui ce fut le plus beau jour de ma vie, je suis devant mon fiancé, qui va devenir mon mari en quelque seconde, comme il est beau dans ce costard confectionné sur mesure.-" Roi Zayarh, accepteriez-vous mademoiselle Sathana, comme épouse légitime, de l'aimer, de la chérir, de la protéger jusqu'à ce que la mort vous sépare".
Mon cœur battait à un rythme irrégulier. Il ne répondait pas tout de suite, me scruta de la tête au pied, avec ce sourire en coin, qui en disait long, ses yeux, qui me révéla tant de promesses.
L'assemblée avait pris d'impatience, j'ai même entendu qu'une de mes demoiselles d'honneur chuchoter:
- "non, on n'a pas organisé cette cérémonie en vain."Après des minutes de contemplation, qui avait ressemblé à des heures, il dit enfin ce fichu "oui."
- "Oui je le veux."
Des larmes de joie et de tristesse menacent de couler. Donner corps et âme à quelqu'un n'est pas du tout facile pour moi, après ce que j'ai vécu, mais je l'ai fait parce que je l'aimais tant et j'avais confiance en lui. Et deviner quoi? La demoiselle d'honneur n'était nulle autre que cette voleuse de mari.
Bannit d'un pays, qui t'a accueilli comme une Reine!
Je me rappelle chaque jours les bons moments qu'on passaient ensemble, mais hélas, toute bonne chose à une fin et c'est ainsi que mon histoire se termine.
Je viens d'arriver dans mon appartement, petit comme jamais, tout est en bazar, j'aurais dû faire le ménage cette semaine, pensais-je.
De Reine à livreuse de pizza, wow! Qui l'aurait crû, on m'a toujours conseiller de viser un autre métier, car ce n'est pas bon pour ma grossesse, nul autre emploi ne voulait m'offrir cette opportunité, je n'avais pas d'autres choix, mieux vaut être une livreuse, que de finir à la rue avec un ventre rond.
Pour oublier toutes mes peines, comme à chaque fois l'eau froide fut ma seule confidente.
Zayarh dans son bureau ne pouvait oublier, cette femme. Elle, d'une beauté infinie, n'oublierait jamais ces gémissements quand il la torturait, une pure délice, se disait-il, mais la vérité est en face, son détective privé, qui n'est autre que son meilleur ami, l'en a donné la preuve. Elle avait pris plusieurs vol, pour aller voir son amant, en Italie, prétendant qu'elle a une famille là-bas.
Quelle menteuse! Pourtant moi, je l'aimais comme personne, comment osait-elle m'utiliser de la sorte? Après sept ans de mariage. Il n'avait pas pris tant de mal pour la chasser du pays, l'envoyer dans sa ville natale.
J'enfile ma robe de nuit, composé d'un maillot classiquement troué de partout, je pars m'asseoir devant ma fenêtre pour manger mon pizza que j'ai fait emboîté durant mon travail, regardant le ciel, en me rappelant qu'il n'avait cessé de dire, que son père fait parti de l'une de ces étoiles, un rire triste m'échappa.
Assis dans le jardin, près de mon époux, devant l'immense piscine de notre maison, nous contemplons l'eau qui essayait de s'endormir malgré les emmerdements du vent, plus précisément c'est ce que je fais, lui, regardant le ciel, comme s'il ne le regardait pas, ses sourcils sont froncés, il est contrarié. Je passa ma main sur son visage et l'embrassa furtivement le coin de ses lèvres.
Il retourna sa tête, plongea ses yeux bleu ciel, dans les miens qui sont noir corbeau. Son regard est triste, vide de toute nature, la cause ce n'est pas moi j'en suis sûr, à cause de la mort subite de son daron, le bon vieux père que je n'ai jamais eu de ma vie est mort aujourd'hui, qu'il repose en paix, j'ai tant prié pour qu'il ait la chance de voir ses petits enfants, l'appeler "Grand-papi", mais, le destin a décidé autrement, en l'enlevant la vie de très tôt. Que Dieu l'accorde la grâce d'aller reposer en paix, car c'était un bon homme.
-" Chaque étoiles représente une personne, chaque étoiles qui brille représentent la fin de quelqu'un et le début pour un autre."
J'écoutais d'une oreille tout ce qu'il me dit, c'est triste, déchirant je l'avoue, mais ma vie, n'est pas comme la sienne. Il est inquiet du décès de son père à trente trois ans, alors que moi à douze ans, je souhaitais qu'une chose, qu'on crève mon père d'une balle dans les yeux.
Je ne le regarde pas, parce qu'il trouvera rien dans mon regard absolument rien, pour le rassurer, car ce qu'il ressens pour son père, n'est pas partager avec moi, pour ne pas paraître indifférente face à sa peine, je ressers encore plus nos doigts liés, tout en caressant son épaule musclé.
J'en ai ral-le-bol, de passer toute ma vie à penser à lui, qu'il me hante comme un fantôme.
-''Il ne le mérite pas", me suis-je dit en pleurant, "il ne le mérite pas," réalisais-je en sanglotant de plus belle.
Je n'ai pas la force d'aller dormir dans mon lit que j'ai sombré dans les bras de Morphée.
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Bonjour ou bonsoir, dépendra de l'heure où vous liseriez ce livre.Voilà le premier chapitre, j'espère qu'il vous plaît
Excusez-moi pour les fautes d'orthographes
À très vite pour un nouveau chapitre
Peace
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La rose d'un cheikh
Roman d'amourL'amour peut-être une arme quand on nous déçoit, nous trahit. Tout le monde y participe, décidant à la trahir, à la faire souffrir, parce qu'ils pensent, qu'elle n'a pas droit au bonheur. Que la chance devrait pas être de son côté. Mais comme on di...