La rose d'un cheikh

Chapitre 21

Tout ce passe bien jusqu'à maintenant on se parle souvent, il s'est me détendre avec les mots convenables, tout en gardant bien sûr ses limites.

La soirée de charité n'était pas mal, après m'avoir vu toute nue, il n'a pas eu de gestes ou mots déplacés, ne l'empêchait non plus de me dévorer des yeux ou quand je l'effleure avec mes fesses je sentais son sourire et son souffle irrégulier, ce n'est pas de ma faute, moi, mes fesses le font exprès.

Il avait de la jalousie dans l'air où deux compères sortirent de nul part, m'offrant un plan de cul à trois, étant une habituée, je ne réagissais pas jusqu'au moment où mon sauveur arrive les éclaboussa d'une fraction de seconde, j'ai eu de la pitié pour eux parce que Darkos frappait d'une main de fer, je lui ai empêché de causer la mort, on s'est barré.

Comme je suis une femme, je feignais l'innocence de pouvoir l'aider, il oublie une chose malgré tout, je sais me défendre. Je me faisais inquiéter, l'emmener à l'hôpital, il a rebroussé chemin direction chez lui.

Étant un homme qui se respecte tout est bien arrangé et aéré, je contemplais d'un regard illuminé, les tapis en violets et le reste en marbre, magnifique.

Je me retrouve dans son lit pied dessus, pied dessous tout le romantique n'est-ce pas, il m'a forcé à passer la nuit avec lui, prétextant qu'il faisait tard.

Depuis sept ans c'est la première que je me trouve dans un lit d'homme en chemise blanche. Son souffle m'apaise énormément, son nez mi long se perfectionne avec ses lèvres d'un rose rouge, il sent bon.

-" Tu me trouve comment ?" Sourit-il

J'eus un sursaut, sa voix virile résonne dans tout mon être, je ne m'y attendais pas à ce qu'il soit réveillé, l'imbécile s'en moque ouvertement. Quand il rit, deux fossettes font leur apparition, augmenta son charme je vous l'avoue c'est à fondre.

-" Viens." Il me tire du lit pourtant confortable. "Allons nous doucher."

Je me laissa emporté jusqu'au salle de bain, il commença à se déshabiller, bon pas vraiment, devrais-je dire il retira son caleçon me donnant une vue sur son membre long, je remonte mon regard dans ses yeux je n'y vois que du désir, réalisant dans quel merde je suis.

-" T'as envie de faire quoi là ?"dis-je en restant naturel.

-" J'ai envie de toi Thana"

Son membre ferme et dur n'attendant que moi, mais ma parole, il pense vraiment que je le laisserai me baiser maintenant, c'est non, je le toisa et sort de cet endroit, comme à leur habitude mes fesses l'effleurent, dissipa son souffle. Zut.

Je ramassa mes habits qui sont sur une chaise, mes talons ou sandales qu'importe et ma bourse, il y a une tension palpable ici, moi je me casse.

-" Bon, ce fut un plaisir mon cher ami, mais le devoir m'appelle.

-" Tu ne vas quand même pas sortir ainsi."

Étonnant il me tutoie, magnifique.

-" Il faut bien une première fois n'est-ce pas ?" Dis-je en regardant son membre.

-" Tu n'as pas tord."

-" Je n'ai jamais tord, bon bye."

-" Laisse moi t'y conduire."

Il s'est munie d'un jean et d'une chemise blanche, ses cheveux en bataille ne fait que son charme, ses lèvres non parlons pas, son parfum ne fait que nous donner l'envie de lui sauter dessus, l'embrassa comme des sauvages, oui il est très bel homme. Remarquant que je le dévisageais, son sourire accompagner de deux fossettes, il murmura :

-"Je sais chérie, je sais tout prenons notre temps."

Un "oui" des plus vagues sort de ma bouche.

En voiture, on parle de tout et de rien, il m'a raconté des anecdotes de ses parents, leur rencontre, l'enfantement, son rire virile résonne dans tout mon être, d'autant plus son sourire est contagieux, lui au moins est l'homme parfait, il prend soin de moi comme jamais,

Il parlait je ne l'écoutais, l'admirer est beaucoup mieux, c'est quand il arrête de rire que je réalise qu'on est déjà arrivé depuis un bon bout de temps aussi qu'il a arrêté de parler, oups je me suis fait griller.

-" À la prochaine Thana, j'espère à l'avenir tu deviendras ma femme, je ne te vois pas comme ma maîtresse pourvu que t'es célibataire construisons quelque chose de sérieux."

-" Facile à dire qu'à faire." Dis-je dans un soupir

-" Viens." M'encourage t-il

Il me prend dans ses bras bizarrement je me sens bien, confortable, après des longs moments d'étreintes, je voulais y rester mais j'ai des enfants, m'éterniser non.

-" Avançons lentement, mais sûrement." Me propose t-il

C'est sûr qu'il est déterminé sur "nous" il me faut du temps, de réfléchir au situation familiale d'abord Darkos, je me leva puisque j'étais à califourchon sur lui et sort.

Enfin de l'air frais, c'est ce qu'il me faut pour le moment ...

-" Thana," m'appelle t-il " N'oublie pas que je t'attends, n'attends pas que je t'oublie."

Il partit me choquant avec ses paroles des plus sérieux, c'est toi l'homme qu'il me faut Darkos, tu es l'homme parfait

Oui l'homme parfait

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