La rose d'un cheikh

Chapitre 25

J'ai passé beaucoup de temps avec ma mère, depuis qu'on a quitté la maison de mon père, elle m'a révélé que l'événement passer avec Mirlaine n'est rien moins qu'une pièce montée. Elle avait envie de partir de chez lui, car tout la dégoûtait.

Je vous ferai un bref résumer,

Le lendemain de mes douze ans nous avons fêté, visiter plusieurs endroits entre mère et fille. 

Trois ans plus tard, le jour de mes quinze ans,
ma mère m'a tout de suite emmené dans une Église. J'ai passé trois mois à apprendre la parole de Dieu.

Au fil du temps, je me suis posée la question, pourquoi ma mère m'a emmené ici? 

Enfance, mon grand-père m'emmenait souvent à l'Église. Il remplissait le rôle d'un prédicateur, mais j'ai su après quelques semaines, j'allais être discipline du Christ, j'allais être baptiser. Je me suis posée la question, suis-je prête? On ne m'a jamais forcé, même la dame, l'enseignante, a questionné chacun d'entre nous,  ma part était : Es-tu prête ? Pourquoi l'es-tu?

J'avais déchiffré chaque mot en prenant soin de répondre avec détermination.

Trois mois le jour de la Pâque, je fus plongée dans l'eau, et je suis devenue disciple de Jésus. Pendant mon plongement j'ai ressenti quelque chose opérer en moi, une sorte de feu m'anima. J'étais fière de moi. Ma mère assied au premier rang est fière de ce qu'elle voyait.

Ma mère est repentie à l'âge de dix ans, mais n'a jamais prix l'initiative de baptiser, je lui ai même proposé de le faire en même temps que moi, elle a décliné, mais bon  tout se passait pour le mieux aucun nouvelle de mon père et de Mirlaine,

Tout se passait bien, mais il y avait une chose dont je ne remarquai pas, trop de temps pour ma vie spirituelle et personnelle, j'avais pas remarqué que ma mère reprenait son sourire, elle souriait à pleines dents, j'ai su qu'elle a un fiancé. Fière d'elle, j'écoutais d'une oreille attentive, tous les papotins sur ce mec.

Il s'appelle Jean, homme musclé, de couleur noir, en vrai il est beau. Je passait le plus clair de mon temps avec lui, quelque soit après les cours, l'Eglise, le cinéma et autres. Ma mère voulait un lien entre lui et moi, ce qui n'était pas pour me déplaire.

Il n'est pas comme mon père, ses manies me prouvaient, clairement qu'il pourrait bien remplir son rôle de beau-père à l'avenir.

Étant une fille méfiante beau-père ou pas je lui passais régulièrement des tests, qu'il prenait à cœur joie de tous les réussir. Puis un jour, sans même le vouloir, toute cette rencontre chamboula.

Après les cours Jean était venu me chercher sur sa Ferrari, il décida de m'emmener au parc pour boire une glace. Nos commandes faites, nous nous asseyons dans un endroit un peu éloigné de bruits et des oreilles indiscrètes.

Au loin nous entendons des hurlements, sûrement un couple qui se chamaille.

Ils ne sont pas civilisés, me suis-je dit.

-" Sûrement des problèmes de la vie.'' Énuméra mon beau-père.

-"Peut-être." Répondis-je.

Nous continuons à savourer notre glace, saveur fraise, celui de Jean, Basilic.

Je continuai à dévisager Jean, me questionnai comment il est parfait pour ma mère, quoi de plus, hein s'il vous plaît? Il est...