J'ai réfléchis longtemps, voir très longtemps de faire enfin la rencontre de ce minable. De ce con qui a réussi à me la voler entre mes doigts, souvent rien ne m'échappe absolument rien. Car c'est important de savoir pourquoi, pourquoi ça m'arrive à moi?
Buvant la deuxième bouteille de whisky, devant la baie vitrée de mon bureau, réfléchissant à la situation, à la dose de vérité ou de mensonge que j'aurai pour aujourd'hui. Quel sortilège a-t-il fait contre elle?
-" Content de vous voir enfin Zayarh." Déclara l'individu.
Pas besoin de me retourner pour connaître qui est-ce ? À qui appartient cette voix dégoûtante, qui brisa l'atmosphère.
-" Cessez de jouer l'hypocrite avec moi, savez-vous de quoi je suis capable? Qui vous à donner l'autorisation, ma femme peut-être?"
-" Laissez-moi rire, devrais-je vous rappeler que c'est plus votre femme, c'est la mienne maintenant. Tous les heures avant, que je mette mon pied dans votre bureau, cette garce était à ma merci." Dit-il fier de lui, remontant ses lunettes.
Il commençait sérieusement à m'énerver, ma bella, il ose l'appeler ainsi, pour qui se prenait-il? Le connard. Je vais lui apprendre, le roi ici c'est moi.
Je lui prenais par le col, lui donnant la baffe qu'il méritait.-" Je vous interdit de parlez d'elle ainsi vous mentionnez ? Je vais vous apprendre une leçon, de ne jamais, sur la vie de ce que vous avez de plus chère au monde, à la respecter."
Faisant signe à mes gardes, ils le prirent, l'attacha sur la chaise,
-" Faites comprendre à cet imbécile, qu'on ne touche pas à ma femme."
Aussitôt dit, aussitôt fait, ils lui assènent un coup de massue en pleine gueule, sans force qu'il est, se cambra sous l'empire de ses bourreaux, hurlant de douleur. De ses yeux de biche me suppliant d'arrêter, le problème c'est que j'y prenais plaisir, uniquement pour cela que j'aime le pouvoir, la soumission, j'adore me sentir supérieur fasse à eux, à tous ces imbéciles qui se prend un instant pour Hulk.
Que fait-elle maintenant? S'inquiète t-elle vraiment pour lui? L'aime t-elle? Est-ce sincère ? Non je ne peux et ne veux pas croire, elle l'a fait par fierté, j'en suis sûr. Combien de fois l'a-t-il touché? Embrasser? Baiser? Combien de fois putain de merde? A-t-elle aimé ses caresses? L'a-t-il déjà pris dans sa position préférée? Qu'aujourd'hui, qu'il assume pour tout.
-" On m'a... pa... y... ."essaye t-il de dire entre de coups.
Je leva ma main, signe que tout s'arrête.
-"Pardon?!"
-" Votre femme m'a payé pour inventer cette histoire."
Je leva d'un bond, m'approche de lui.
-" Sathana Olvador, vous a payé ?"
-" Non pas elle, d'ailleurs je ne l'ai jamais connu." Dit-il en haussa les épaules, pour montrer son ignorance.
C'était la goutte d'eau en trop, mon verre se brisa sur le sol tant que je fus surpris. J'en suis sûr, avant que cet imbécile vient mettre ses pattes ici, il a dû se saouler, la preuve, ces paroles insignifiantes, quel con?
-" Votre femme là, c'est avec elle que j'étais deux heures avant, c'est d'ailleurs d'elle que je parlais." Répondit le vieillard.
Les mains sur la tête, je digère ses paroles, qui ont la difficulté de pénétrer ma tête.
Non ne me dit pas que...
Que...
Tous ces années je...-"En êtes-vous sûr." Hurlais-je, " Je suis pas disposer de jouer à cache-cache."
-"Je vous le promets."
Il n'était pas sérieux, j'espère? Mais dans quel pétrin, me suis-je mis? Après sept ans tout n'était que du cirque, du mascarade. Cette personne paiera pour son acte, j'en fait le serment. Je contacta mon ami.
-" Roland, tu ne vas pas croire, ce qui vient de m'arriver."
-" Zayarh, est-ce-que tu vas bien? Que se passe-t-il ?"
-" Angela ma f..., plutôt celle qui me servait de femme, elle a ruiné ma vie."
-"Comment se fait-il Zayarh, c'est ta femme."dit-il surpris,
Il décide vraiment à ne pas comprendre lui.
-" Je vais te demander un service, peux-tu tracer, Thana?"
-" Quoi?" Hurle-t-il
-" Peux-tu la tracer, je dois lui parler."
-" Zayarh, écoute-moi, c'est une très mauvaise idée d'aller la rencontrer. As-tu oublié tout ce qu'elle t'a fait, hein, alors un conseil cher ami, oublie-la."
Il semble pas fier, même fâché de ma demande, que ce passe t-il dans ma tête, c'est mon meilleur ami après tout, pourquoi j'ai la sensation de me sentir coupable de lui avoir annoncer la nouvelle.
Non, non, non, je ne vais reproduire les même erreurs, je dois savoir qui est derrière tout ce cirque, avec lui, sans lui, j'y parviendrai.
-" Merci, mon frère, t'as parfaitement raison, elle n'était que du passé, qui devient le présent."
Je raccrocha immédiatement le téléphone, pour qui se prenait-il de m'indiquer ce que je devais faire de ma vie. Personne ne veut m'aider, alors je la trouverai de plein gré.
-" Amenez le au château pour qu'il puisse subir sa peine."
-" S'il vous plaît, épargnez-moi, j'ai une entreprise à géré."
-"Bien dommage, que cela vous ayez parvenu, au dernier moment."
Quelque part en Atlanta.
Merde, merde merde, ne lui on t-il jamais appris, que la curiosité est un très vilain défaut. Il essaye de gâcher mon plan, moi je l'aime, elle m'aime, soyons sûr, je lui ai donné, tout ce dont elle a besoin, lui non, je lui ai pourtant conseiller, dommage pour lui, l'imbécile, il ne fait qu'à sa tête de mule. Prenant mon portable, j'appelle mon acolyte.
-" Changement de plan."
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La rose d'un cheikh
RomanceL'amour peut-être une arme quand on nous déçoit, nous trahit. Tout le monde y participe, décidant à la trahir, à la faire souffrir, parce qu'ils pensent, qu'elle n'a pas droit au bonheur. Que la chance devrait pas être de son côté. Mais comme on di...