C'est ma fille

C'est ma fille Premiere partie .

J'ouvris le feu . Et en peu de temps les trois quart était à terre . Les autres s'était plaqués . Et un au fond avait éloigné ma fille encore plus de moi . Je ne la voyais plus .

Les derniers à couvert préféraient des insultes plutôt originale sur la façon dont il s'occuperaient de mon corps . Je n'y prêtait aucune attention .

Un releva la tête . Il s'effondra mort . Un autre tenta une percée sur moi . Résultat je le fis basculer sur mon couvert et l'égorgait il hurla .
Il en restait trois . C'est moi qui fit une percée . Je les liquidait sans problème . Dans l'action une balle écorcha mon bras gauche .

J'entrais dans la galerie . D'autres gardes attendait . Je remplaçait mon fusil par mon p90 . Je me lançais à l'assaut . Un mort puis deux . Jusqu'à un nombre de cinq . Ils étaient encore plus nombreux présent dans la continuité de la galerie. L'un de ces fils de pute m'attrapa vigoureusement par derrière . Un bras sur ma gorge l'autre sur la poitrine .
Il ne compris jamais son erreur . Je retournais mon arme sur lui . Il chuta blessé à la cuisse . Après avoir tué les autres je lui écrasait la geule sur une vitre en morceaux puis je le jetais sur une pointe d'acier . Aah moi qui n'aimait pas l'art . En voilà une belle oeuvre .

Je continuais jusqu'à un bureau avec une fenêtre derrière lui ouverte . Ou leur chef se tenait debout ma fille sous le bras un pistolet sur la tempe . Il parla doucement.

- Approche et je te rend ta gamine avec une passoire à la place du crâne .
- Rend moi ma fille et peut-être que tu vivra longtemps .
- Écarte toi !

Je sifflait de tout mon souffle .

Blue sauta un instant après et lui Agrippa le molet . Il hurla . Il lacha Marie qui s'effondra au sol toujours inerte il tenta que se dégager mais n'eut pas le temps de faire autre chose . Il s'effondra une balle dans le coeur .

- Marie ! Maman est là t'en fais pas .

Son cœur battait toujours . Son visage était couvert de bleus et d'ecchymoses. Ses bras et son ventre aussi . Mais elle n'avait rien subi d'autre . Heureusement.

- Merci Blue.

Mon gémissement qui venait de se manifester représentait mon soulagement . Pour la seconde fois je ressentais la frayeur d'un parent de se faire arracher son enfant mais cette fois elle fut rassurée .

La portant dans mes bras je la posais sur une table un instant le temps de fouiller mes victimes .

Je repartait aussitôt . Arrivant à un barrage d'autres maraudeurs surveillaient leurs coin . La nuit tombais et je profitais de la pénombre de l'hiver pour passer incognito

. Je m'arrêtait deux heures après dans un motel . Le temps de vider les infectés présent et de m'installer dans une chambre la neige s'était remise à tomber .
J'avais déplacé deux voitures face à la porte de notre chambre pour ralentir les infectés sans nous ralentir nous .
Après un long moment Marie se réveilla .

- Éva ...
- Comment tu te sens choupette ?
- J'ai mal au ventre . Et à la tête aussi .
- Je me suis occupée de tes blessures sa va aller .
- Oui mais j'ai encore mal .
- Ce n'est rien je t'assure ma puce.
- Je t'aime Éva .
- Merci choupette moi aussi.

Je lui avais fait un bandage sur le font . Une coupure s'était faite sur son crane.
Et j'avais nettoyé du mieux que j'ai pu les ecchymose avec un cataplasme .

- Je suis désolée . Il m'a attrapé quand tu est monté sur le balcon .
- C'est rien je suis la maintenant .
- Tu ma encore sauvée .
- C'est ce qu'une ... C'est que que je devais faire choupette .
- Merci . Je peux avoir mon lapin ?
- Tient .
- Merci maman . Et elle s'endormit aussitôt .

- Maman ... Répétais je à moi même souriant un peu . Bah pourquoi pas . J'aime cette gamine rien ne sert de le nier et puis ... Et puis merde elle m'a choisit c'est un signe non ? Je comprends ce qu'une mère ressentent quand elle protège son enfant . Ce sentiment si doux , si puissant . Cet instinct maternel qui m'a poussé à tuer trente hommes à moi seule juste pour mon enfant ... Si je ne suis pas digne d'être sa mère je suis tout comme .