Ma vie, notre rencontre

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PDV: Kyla

BAM!
La balle lui atterrit entre les yeux. L'homme s'effondra à terre, mort sur le coup. Les hommes de mon père rirent. Je ne voyais pas ce qu'il y avait de drôle, mais bon... J'étais entouré de personne bizarre depuis ma plus tendre enfance donc... Au faite, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Kyla, j'ai 22 ans, la peau métisse, les cheveux blond polaire,bien que je me les soit teints en noir, les yeux bleus... Je suis assez petite, ce qui me permet de passer inaperçu devant les flics... Pratique n'est-ce pas? Surtout quand on est dealeuse et tueuse. Et je suis considérer comme la vipère du gang. Perfide, cruel... Mon père, lui, était l'anaconda, fort et malin et mon frère le cobra, car il était jeune et rapide. Pour en revenir à la scène qui se déroulait sous mes yeux, mon père venait d'abattre un homme du gang adverse, la routine... Je ne trouvais pas la scène drôle, ni triste, ni dégueulasses... Enfaite je n'avais pas d'avis. J'étais une tueuse et j'allais le rester! Même si pour ça il fallait que je supporte les paroles déplacées, les mains au cul des hommes de mon père... J'appelais Nolan, mon jumeau, qui leurs mettais son poing dans la gueule et puis, généralement, il ne recommençait pas... A mon jumeaux, mon rayons de soleil dans se monde de drogue et de maladie sexuellement transmissibles... Il était parfait: protecteur, doux, jaloux, beau... Il avait tous pour lui. Oui la jalousie était une qualité pour moi, il faut savoir garder ce qui lui appartient. Mais il n'avait pas de petite amie car je ne le partageait pas (Mon précieux). Il était ma raison de vivre. Mon père ne faisait attention à moi que lorsque je lui parlait de meurtre ou de drogue. Sinon, j'étais transparente, faible, fragile, trop innocente. Il ne savait pas que j'avais déjà tuer plusieurs personnes avec Nolan. Je n'y avais pas trouver un plaisir particulier, mais je devais le faire. Les plus jeunes me traitaient comme une chienne, mais les plus anciens, les plus fidèles m'écoutaient, me respectaient.

Nolan: Kyla, tu vas bien?

Je me tourna vers mon frère, qui me regardait, d'un air suspicieux. J'étais plongé dans mes pensées depuis déjà 5 minutes. Le temps passait si vite...

Moi: Ouais. Coup de fatigue.

Il passa son bras au-dessus de mes épaule.

Nolan: Tu veux que je te raccompagne à la maison?

Moi: Non t'inquiète... Tous le monde n'est même pas arrivé.

Nolan: Sûre? C'est pas grave si on pars avant.

Moi: Papa est le chef du gang, on peut pas partir. T'inquiète ça va aller.

Nolan: Comme tu veux.

Dans cette vieille et grande maison désaffectée, tout semblait effrayant. De grandes fêlures, étaient encrées dans le mur, comme de grand serpents noirs. La lumière était faible, tamisée, rendant la pièce sombre, plus lugubre. Avec le sang qui maculaire le sol, la pièce avait quelque chose de maison hantée. Mon jumeau et moi étions assis sur un vieux canapé en cuir brun, d'on les ressorts grincaient. Les murs de la pièce étaient tagués, les fenêtres brisées et le plancher n'en avait plus pour très longtemps. La musique vomit par les enceintes, à l'étage du dessous faisait trembler le sol et les murs. Le plafond tremblait et, si je m'y connaissais un minimum en architecture, je suis sûre que j'aurais trouvé cette endroit dangereux. Des bouts de verre brisé jonchaient le sol. Rendant l'endroit encore plus dangereux qu'il ne l'aurait déjà. Je savait qu'au rez-de-chaussée, des personnes se droguaient, fumaient, se piquaient dansaient, se galochaient, ou même faisait le tous à la fois. Je réprima un frisson de dégoût. Mon père avait tenté de me droguer, mais Nolan l'en avait empêché. Lui comme moi voulions rester saint d'esprit. Notre mère n'aimait pas toute ces histoires, voilà pourquoi elle était partie. Elle m'avait abandonné au main de cette homme qui se foutait de mon frère et de moi. Je la voyais comme une traite. Me laisser au mains de se toxico. Il ne m'avait ni frapper, ni violer, il n'es avait pas eu l'occasion, j'étais sans cesse collé à mon frère. Je ne sais pas si mon père aurait tenté quelque chose et je ne voulais pas le savoir. Il n'était rien pour moi. Je le haïssais. Il ne c'était jamais occupé de moi, jamais. Il était mort à mes yeux. Mon père était jeune, il n'avais que 37 ans, des cheveux blonds polaires, comme étaient les miens normalement, étaient pâles, les joues creusées, ces yeux bleu etaient exorbités. Un vrai drogué. Il aurait pu être beau... Je ne tenais de lui que mes cheveux blonds. J'en avais tellement honte que, tout comme mon frère, je les avaient teints.
Je me blottit un peu plus contre Nolan, me réfugiant dans la chaleur réconfortante de ses bras. Je mourrais de froid dans ma tenue légère:

Je mettais habillée et coiffée comme d'habitude, malgré la fête qui battait son plein sous mes pieds

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Je mettais habillée et coiffée comme d'habitude, malgré la fête qui battait son plein sous mes pieds. Une jolie queue de cheval ramenait mes cheveux en arrière, me laissant une vue dégagée sans trop de mèches rebelles pour me faire chier:

 Une jolie queue de cheval ramenait mes cheveux en arrière, me laissant une vue dégagée sans trop de mèches rebelles pour me faire chier:

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Nolan me sourit tendrement en amenant la bouteille de bière à ses lèvres. Il but quelques gorgés, puis me la tendit. Je bus a mon tour, puis la posa à mes pieds.

Un ami a mon père: Nolan! Kyla! On vous parle!

Nolan: Quoi?

Son ton était las, il avait l'habitude des crises de nerfs et des tremblements que procurait la drogue.

Mon père: A quelle heure arrive votre gars?

Moi: Quel gars?

Nolan jeta un coup d'oeil à son téléphone.

Nolan: Dans quelques minutes.

Moi: Nolan! Quel gars?!

Je détestais qu'on ignore mes questions. Tous le monde se tue. Je parlais très peu sur se ton à mon frère, mais lorsque ma voix devenait plus dure et plus grave, tous le monde savait que c'était l'unique avertissement avant que la bombe explose.

Nolan: On va bosser avec Daryl Ortega.

Moi: C'est qui?

???: Moi.

On tourna tous la tête vers la porte. Un jeune homme se tenait, appuyé à l'encadrement de la porte et me fixais avec amusement. Ses pupilles n'étaient pas dilatées, ses joues, pas creusés, sa peau était joliment bronzé, et il n'était pas parcourut de tremblements. Il n'était pas défoncer à l'MDMA, voilà un bon point. Il semblait parfaitement à l'aise dans cette endroit crasseux, alors que ses vêtements étaient nickel. Dans son costard blanc, il faisait tache. Je ne savais quoi, mais quelque chose chez lui m'intriguait. En même temps lorsqu'on vit avec des toxicomanes, n'est-ce pas un peu normal d'être rassuré de voir quelqu'un de normal? Je m'approcha doucement de lui, presque avec crainte. Personne ne parlait, ils attendaient tous le jugement de la vipère, moi. Daryl s'écarta de l'encadrement de la porte, vint saisir ma main, et l'embrassa doucement. Je leva un sourcil, mais le laissa faire. Derrière moi, les ressorts du canapé grincèrent, signe que mon frère c'était levé. Ce type ne lui aspirait pas confiance, je le connaissais trop pour en douter. Je tourna autour de ce Daryl, alors que mon frère le foudroyant du regard. La protection fraternelle, que voulez-vous...

Moi: Et qui es-tu exactement, Daryl?

Daryl: Pour toi ou pour la police?

Je m'arrêta devant lui et sourit. Puis je me tourna vers les membres du groupes et dis:

Moi: Je l'aime bien!

La vipère avait parlé. Daryl ne mourrerait pas. Pas ce soir, du moins.

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Hey mes chéris! Voici un premier chapitre avec 1260 mots. J'essaie qu'il vous plaît.
N'hésitez pas à commenter, à voter, a vous abonner et a me corriger pour les plus forts en français.
Je vous fait de gros gros bisous!

Is It Love Daryl: Une histoire illégalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant