29. Le baiser interdit

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Ainsi, la nuit suivante, je retournais dans les bois. Toujours armé de mon fauteuil roulant, j'avançais difficilement. Il avait plu une dizaine de minutes plus tôt et la route était gadoueilleuse. Au pied de l'arbre, je faisais et refaisais encore le tour. Je ne trouvais rien. L'inquiètude polluait mon esprit. Liam cherchait un peux plus loin. Se soir là était un soir de pleine lune. J'observais ses rayons lumineux. Je les fixais jusqu'à ce que je remarqua que l'un d'entre eux arrivait non loin de moin. Comme si la lune voulait m'indiquer quelque chose. Je me suis approché du faisceau lumineux et je l'ai suivie. Il vidait un tas de feuilles. Une fois que l'eût déblayé, apparu à terre une petite trappe. Immédiatement j'ai appelé Liam.

Li - qu'est-ce qu'il y a ? T'a trouvé quelque chose ?
S - regarde ça.

Je pointais du doigt la trappe

Li - je crois que tu viens de résoudre un gros problème. Recule-toi je vais essayé de l'ouvrir

Liam a forcé de toutes ses forces. Ses yeux se sont même mis à briller. Il se transformait pour accroître sa force. Pourtant, ses efforts demeurèrent vint. La trappe resta fermé. C'est après que j'ai remarqué la présence d'un cadenas.

S - laisse tomber tu n'arriveras pas à l'ouvrir. Il y a un cadenas
Li - un stupide cadenas ne devrait pas résister à la force d'un loup-garou
S - sauf s'il y a de l'aconit du loup dessus.
Li - quoi ?

Quand Liam lâcha la porte, il remarqua immédiatement la poudre violette qui était venu se coller a ses paumes de mains. Il tapota rapidement celles-ci pour faire partir la poudre

Li - stupide poudre !  Comment on va faire pour entrer la dedans maintenant !?
S - on trouvera un moyen.

Le soleil commençant à se lever, nous décidâmes de retourner à l'hôpital. Nous sommes passé par l'entrée de derrière pour ne pas nous faire prendre par le personnel. Liam est ensuite rentré chez lui. Les cours commençant dans une heure, il devait aller se préparer. De mon côté, je pensais à notre trouvaille de cette nuit. Je devais trouver un moyen de l'ouvrir.

Un peux plus tard dans la journée, Enzo m'a emmené au centre de rééducation de l'hôpital. Il était presque 14h quand nous y sommes allés. Enzo à commencé à masser les jambes. J'ai fermé les yeux et je me suis concentré. Des sensations me vinrent. Je sentais la douceur des mains de mon infirmier glisser sur mes jambes. Elles étaient froides mais si douces.

S - Enzo ! Enzo je sens tes mains ! Je sens des sensations quand tu touche mes jambes !
E - c'est formidable !

Enzo a souri. Ce geste illuminé son visage. Soudainement il m'a embrassé. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis laissé faire. J'étais si bien. À se moment là je ne pensais pas à Derek. Soudainement Enzo m'a lâche et s'est éloigné de moi. Je ne comprenais pas. Il avait mi tellement d'intensité dans se baiser.

S - est-ce qu'il y a un problème ?
E - non. C'est juste que.... Derek ?
S - ne pense pas à lui. Approche

Cette fois c'est moi qui est pris les choses en mains. En parlant de mains, les miennes ont entouré le visage de Enzo. Je l'ai embrassé. Fougueusement. Nos langues entrèrent dans la symphonie de se baisé interdit. Enzo a ensuite repris ses massages. Je me sentais si bien. Comme si j'étais libéré d'un poids. Je sentais ses mains. Elles étaient si douces. J'étais sur un petit nuage. L'espace de deux heures, j'ai oublié tout nos problèmes. Toute cette affaire autour du Yorgëen était sortie de mon esprit.

Plus tard, Enzo m'a ramené dans ma chambre. J'étais triste quand il est parti. Malheureusement, il avait d'autre patients qui avaient besoin de lui. Il à promis de revenir vite. Il m'a embrassé (un petit smack plutôt) et il a disparu. Derek est ensuite arrivé. Je n'étais pas mécontent de le voir. Pourtant, je sentais un éloignement. Je n'avais d'Enzo en tête. Derek m'a à son tour embrassé. J'ai ressenti tellement de choses à se moment là. Je doutais. Qu'est-ce que je ressentais vraiment ? Et pour qui ? Derek avait remarqué que j'étais pensif :

Sterek [Fanfiction Teen Wolf] Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant