35. Pas un, ni deux, mais trois

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Je venais de passer la plus longue heure de toute ma vie ! Il y avait une pendule dans la pièce. Je ne sais même pas si elle est à l'heure ou non. Je passe tout mon temps le regard perché sur ces aiguilles lentes comme des escargots. Dehors la nuit commençait à tomber. George venait d'entrer dans la pièce. Il tenait dans ses mains des énormes chaînes. La seul chose qu'il va réussir à faire avec ces trucs c'est me broyer ! Et il est hors de question que je finisse en pâté pour chien !

S - est-ce qu'on peut négocier avant que vous ne me ligotiez ?
G - c'est vrai que je n'ai que ça faire sans doute ?!
S - vous semblez de très bonne humeur... Ça me rassure moyen de vous savoir sur les nerfs comme ça... Qui sait ce que vous auriez envie de me faire !
G - si tu ne te tais pas immédiatement ? Je sers les chaînes plus fort que prévu
S - non s'il-vous-plaît !
G - tes mains je te prie

Je lui tendis mes mains.

S - si je vous propose la liberté ?
G - parce que tu pense pouvoir t'échapper d'ici ? Jeune ignorant. Plus inconscient tu meurt
S - HEY ! Je ne vous permet pas !
G - et moi je ne te permet pas de me parler sur se ton ! Et sache que je suis très bien ici
S - comment vous pouvez vous sentir bien ici alors que Alberto vous réduit en esclavage ?
G - je suis nourris et logé
S - vous étiez à la rue n'est-ce pas ? Quand vous avez rencontré Alberto.
G - oui. Ma femme venait de me quitter pour un autre et avait pris toutes nos économies. Je me suis retrouvé ruiné et j'ai perdu mon travail. J'ai dormis environ un mois dans la rue avant qu'Alberto ne vienne me voir
S - votre histoire et touchante. Mais je suis persuadé que vous savez que Alberto n'hésiterai pas à vous tuer si c'est dans son propre intérêt.
G - je le sais. Mais j'ai un toit et à manger. Pour l'instant il n'y a que ça qui compte.
S - je comprends.

Je ne savais pas trop quoi dire. Ce pauvre homme à eu une vie bien triste avant de se retrouver ici. Comment le convaincre ? Que dire ?

S - vous n'êtes pas un homme méchant pas vrai ?
G - et bien je ne le pense pas.
S - alors pourquoi vous me faites ça ?
G - parce que j'ai peur. Tu l'a dis toi même, Alberto serai près à me tuer dans son intérêt.
S - la porte devait être mal fermée et j'ai réussi à m'échapper bien avant que vous soyez revenus ?
G - je suis désolé mais je ne peux pas. Attention je commence à serrer
S - haaa ! Vous me faites mal.
G - et bien accroche toi mon garçon, parce que ce n'est pas fini.

George fit un mouvement brusque et la chaîne se resserra plus fort d'un coup. J'hurlais de douleur :

S - HAAAAAAAAAAAA
G - maintenant ferme-la

George est parti. J'avais tellement mal. Scott ! Ou est tu?!!! Comment pourrait-il me trouver ? Je n'ai rien laissé derrière moi, aucunes traces, aucuns indices.

À Beacon Hills tout le monde était inquiet pour moi. Ou avais-je bien pu passer ? Cette question avait traversé l'esprit de chacun d'entre eux. Cela fait des heures que mon père qui ne m'a jamais vu arriver à l'hôpital, à donné l'alerte à Scott. Ma meute ne cherchait plus que le Yorgëen, mais moi aussi. Scott se doutait que le Yorgëen avait un lien avec tout ça. Connaissant mon odeur, il essayait de me pister avec son odorat. Mon père avait eu l'idée de lui apporter quelques tee-shirt sales qui m'appartiennent.

Sc - merci chérif mais ses tee-shirt sales ne vont servir à rien. Je connais déjà l'odeur de mon meilleur ami.
N - très bien. Tan que tu le retrouve.
Sc - vous pouvez compter sur moi. Pourquoi il devait se rendre à l'hôpital ? Si ce n'est pas trop Indiscret
N - parce que je venais de lui apprendre une bien triste nouvelle.
Sc - c'est à propos de Jo ?
N - et bien...
? - HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Sc - je reconnaîtrais cette voix entre milles
N - Stiles.
Sc - il n'est pas loin.
N - mais qu'est-ce qu'ils sont en train de lui faire...?
Sc - surtout qui ? Qui ose toucher à mon meilleur ami ?!

Sterek [Fanfiction Teen Wolf] Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant