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Awen pris les devant, nous indiquant de le suivre.
Les gens de l'allées m'observaient, toujours aussi effrayer.
Ils se déplaçaient tous, de sorte à me laisser passer.
-Dis moi, Awen, connais-tu Camille ?
-Camille ? C'est ma cousine, pourquoi ? Tu sais, ici, on est tous de la même famille. J'aime être ici, la forêt est belle et amusante !
-Amusante ? Camille est mon amie.
Il s'arrêta devant une porte, d'une maison de couleur rouge foncé.
Il tocqua :
-Grand-père ! Quelqu'un veut te voir !
La porte s'ouvrit, sur une jeune fille, surprise.
Dés qu'elle me vit, elle me montra les crocs en grognants.
Mais Stan l'arrêta tout de suite en feulant.
Depuis quand, savait-il imiter aussi bien les félins ?!
Awen tremblait de peur.
Stan avait dû l'effrayer...
Je lui tapota a nouveau la tête :
-Ne t'en fais pas, Awen, tout va bien. Merci beaucoup, pour ta gentillesse et de m'avoir servi de guide.
Le petit leva les yeux vers moi, gigotant un peu la queue, l'air mal à l'aise, puis hocha la tête en souriant.
Un peu hésitant, il décida de repartir.
Je me tourna vers la fille malpolie :
-Je suis ici, pour parler au chef de ce village. Si tu ne veux pas que tout le monde ici, soit purger, laisse-moi entrer.
La fille eut l'air choquer :
-Pur... purger ? Qui es-tu pour me menacer comme ça ?!
Mon agacement atteignis un palier assez puissant.
Mon feu sortit malgrès moi, me servant de manteau.
Pour l'impressioner un peu plus, je fis sortir quelques sphères, qui gravitèrent autour de moi.
-Cela suffit, jeune fille ! fit un vieille homme, à l'encontre de celle, qui m'avait manquer de respect.
Je fis disparaître mon feu, comprenant qu'il était surement le grand-père d'Arwen.
Le vieille homme jeta un regard aux alentours et s'excusa :
-Princesse, je suis désolé de l'acceuil qu'ait pu vous faire ma meute. Ils ne sont pas habituer aux visiteurs, surtout de votre stature... veuillez entrer ! Votre compagnon aussi, je me porte garant à votre égard.
Stan reprit aussitôt forme humaine.
Les gens autours, changèrent d'attitude.
Certains lui lançaient des regards jaloux, d'autres envieux.
D'autres encore, le dévisageaient, comme s'ils venait de rencontrer une star.
-Tu as travaillé dans le show-buisness des loups-garrou ? demandais-je à Stan.
-Hein ?
Au lieu de s'attarder sur ma question, il m'attrapa par la main et me fit entrer.
De dehors, la maison avait l'air petite, mais l'intérieur était immense.
Le vieille homme m'invita à m'asseoir, d'un geste de la main, sur le canapé.
Stan s'assit à mes côtés.
Je mis ma tête contre son épaule.
Notre hôte s'assit, face à nous :
-Soyez la bienvenue, princesse, dans le village de notre meute. Encore une fois, veuillez excuser le comportement protecteur de ma petite-fille, Morgan.
-Je n'ai pas prévenu mon arrivée et mon identité n'est pas très connu, elle est toute excuser. Mais je n'ai pas beaucoup de temps, êtes-vous oui ou non, dans le coup d'Ozan ?
Il me lança un regard surpris :
-Y a t'il un problème avec celui-ci ?
-Mon oncle et ma tante le suspecte, lui ou quelqu'un d'ici, d'être un traitre. Dés qu'ils en ont fait, qu'une hypothése, ils ont voulu purger l'endroit. Je n'ai pas tellement envie de faire un génocide, après la bataille récente, je suis donc venu mettre les choses aux clairs.
Il parut réfléchir.
-Morgan ! appela t'il, soudainement.
Celle-ci arriva, immédiatement.
-Va me chercher Camille et Keyne.
Elle hocha la tête et partis en courant.
-Pour vous dire la vérité, Princesse, vos doutes viennent de me faire comprendre certaines choses. Je vais mettre les choses aux clairs, très rapidement. Je vous remercie, de vous être déplacer, pour nous sauver.
Je secoua la tête :
-C'est rien, et je ne l'ai pas vraiment fait pour vous. D'ailleurs, je ne connais même pas votre prénom...
Il se leva et s'inclina, tél un majordome :
-Je suis le plus vieil Alpha de la meute, je me nomme Edan.
-Aria, chasseuse et Sicarius, enchanté. répondis-je, simplement.
Il se rassit en hochant la tête, se tournant vers mon appuis-tête.
-Stan Wuruhi, de la tribu de la lune blanche.
-Oui, à ton allure, j'avais bien remarquer. Il est rare de vous croisez en ville.
Il hocha la tête, pas très emballer par la conversation.
Un silence gênant régner dans la pièce...

Le feu bleu T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant