Ô ennuie
vaste lassitude morale
toi qui comble nos journées sans train
fleurir les néfastes pensées tu te permets
prends-tu une quelconque jouissance à infliger mille souffrances à tous ces frêles hommes ?
ravager tenailler leur croyance d'un idéal tu te délecte
Ô ennuie
te chasser à la condition d'en avoir le pouvoir
le ferais-je ?
VOUS LISEZ
les douces atrocités
Poetryécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!