affadir cette flamme qui bâtit sa plus grande œuvre en mon corps
c'est ce dont je me tue à effectuer
sûrement pour éviter une énième fois de me dévoyer
parmi les défuntes pensées de ce malheureux corridorparlons-en de ce corridor
sa seconde appellation paraît être « enfer »
place dans laquelle l'âme se permet d'accueillir les forcenées
place dans laquelle l'âme se lacère, seule
je n'ai nul besoin de déménager mes émoisj'ai cette prétention d'attendre un bonheur inouï
j'ai cette prétention d'attendre d'entrer chez une femme
d'y ressortir sans ésotérisme aboutit
de m'y extraire sans flamme.
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les douces atrocités
Poesiaécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!