j'eus un temps l'apanage de te plaire
cela n'a duré qu'une saison
j'eus l'abreuvoir des amourettes d'été
cela n'a duré qu'une saison
je m'en désole
serait-ce l'humilité qui nous a mener à couler ?sommes entichés
un été amouraché
nostalgie nouvelle
quelques querelleset un pluriel infondé
sur la rive d'un navire écoulé
à défaut du temps effilochéNymphomane cruelle
n'as-tu plus honte de n'avoir cette seule considération pour ta personne ?
Muse factuelleTe haïr je m'y prendrai
Ta valeur je méprendraiSimple humaine obsolète
Tu m'as foutue à terre
Et brûlé toutes mes lettres.
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les douces atrocités
Poesíaécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!