J'essaie d'éviter sans cesse la déchéance
Cet amour qui me brûle hurle à ton retour
Ce feu intérieur qui crépite jour après jour
J'essaie d'éviter sans cesse l'infirme enfanceIronique pensée puérile tu m'accable
Fatidique avenue cynique tu m'écrase
Ce paysage au-dehors, une inconstante fable
Une rose épineuse à sang qui me transvaseD'un regard à l'autre la rue me porte
Le chemin sera rude avaient dit ces dégénérés
Ces albatros de l'escrime, nous autres
Qui se battons envers ces flots déchaînésLes briques insalubres se jettent en aval
Je sens pencher de l'avant mon corps épris
L'abysse du Léthé défait ses chaînes du mal
Tout mon être ainsi donc se perd dans l'oubli.
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les douces atrocités
Poetryécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!