4 : 45
il est tard
il est tôt
voilà cinq heures que Morphée aurait dû me prendre
voilà cinq heures que le train du sommeil aurait dû s'arrêtermais comme toujours
comme toujours il y a cet endroit dans ma tête
celui qui te réveille
celui qui me laisse éveilléecelui où tu es
puisque j'ai dit que j'irai partout où tu iras
même plus besoin de t'appeler
t'es là toute seulemais ça devient épuisant
un peu c'est pas assez mais trop c'est pas assez et trop c'est trop mais il faut ce qu'il fautcomment faire ?
4 : 52
mes pensées se foutent en l'air
VOUS LISEZ
les douces atrocités
Poetryécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!