j'ai cette affreuse poltronnerie qui est venue ce soir me piquer
je crains de devoir y faire face sans pouvoir la contournerje sais l'indécision fréquente de ce subconscient
je sais la difficulté de ce qu'il est contraint de choisir
et je sais que je ne pourrait en cette position le maintenir
maintenant qu'un être si étranger s'impose en tyranla femme est paru comme à la fois grande et ferme
elle croîtra si vite je le pressens
je me risque sans pointe de condescendance
est-ce le flegme qui en ressort de toutes parts?
je m'y engage et verrons nous l'escorte d'un chapitre
qui plus est
peut-être sans page.
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les douces atrocités
Poetryécrire c'est s'en sortir. la preuve est que mes pieds touchent encore le sol Et j'suis persuadée au max que toi aussi derrière ton écran t'es un grand soleil !!