Chapitre 3

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Pendant ce temps là :
Biel

Je suis comme d'habitude dans mon gigantesque bureau entrain d'attendre mes hommes. Ils sont allés capturer les hommes d'un petit gang de Monclova, qui ont voulu me la mettre à l'envers. Mais ils n'ont pas compris qui régnait ici, je suis le plus jeune mafieux du monde mais aussi le plus puissant.

Ils ont surement du se dire qu'a cause de mon jeune âge (22 ans),  je ne saurais pas géré un si grand business.

Celui même que m'a légué mon très cher père, qui m'a depuis petit préparé à ce rôle que je devrais jouer, celui de chef . Mais je suis de partout, je vois tous, je suis tapis dans l'ombre et j'observe tous ce qui concerne mes affaires.





Je ne suis pas une personne négligente et ils vont vite le comprendre. Je vais enfin pouvoir faire souffrir quelqu'un, j'adore la torture, enfin c'est plutôt la sensation qu'elle me procure que j'aime, comme si elle remplissait un vide qui a toujours été là. Quand quelqu'un se retrouve dans mes griffes, il ne ressort pas vivant de toutes les tortures que je lui inflige.





Dans la vie peu de chose m'importe, seulement ma mafia et ma sœur, la prunelle de mes yeux.

Nos parents sont morts il y a deux ans, elle les aimait énormément ils étaient tous pour elle.

Après leurs morts, elle s'est donc refermée sur elle même et aujourd'hui elle n'est plus la même. Elle a changé, elle ne parle plus autant qu'avant, elle me cache certaines choses.

C'est très frustrant pour moi de ne pas savoir rendre ma sœur heureuse, alors que je sais parfaitement diriger la plus grande mafia du Mexique. J'adore tous contrôler, c'est un besoin pour moi de  prévoir n'importe quelle faille ou problème qui se présenterais. Je ne peux pas m'en empêcher. Pourtant je n'arrive pas l'aider et ça me tue petit à petit, j'ai la sensation de ne pas être lui être utile , que quoi que je fasse, elle n'ira jamais mieux.





Quelque temps plus tard:

Quelqu'un frappe à la porte puis entre dans mon bureau :

- Chef c'est bon on les a, on les envoie dans votre pièce préférée me dit Paco mon bras droit et meilleur ami.

- Merci Paco bon travail j'arrive bientôt lui dis-je avec un sourire en coin. Puis il s'en va avec mes hommes et les prisonniers attachés.

Je prend le temps de nettoyer mon bureau, en somme jeter les restes de cigarettes et mettre sur une petite table les verres vides d'alcool. Puis je descend à la cave, là où se trouve le sois disant chef de ce minuscule gang, qui est maintenant mon prisonnier. Je m'arrête devant la porte où ils sont tous, me retourne et prend la grosse caisse avec moi. J'ai faillis oublier mon matériel riais-je. C'est sûr que torturer des personnes sans outils c'est quand même con.


J'entre donc enfin dans la pièce mal éclairée et humide je pose la lourde boîte au sol. L'ouvre et prend mon outil préféré le poignard. Je le tiens fermement en main et m'approche de celui qui m'intéresse réellement .

- Alors hijo de puta qu'à tu as dire pour ta défense ?

- Mais je n'ai rien fait je te le jure me dit l'autre imbécile.

- Arrête de me prendre pour un con et parle.

Après avoir finis ma phrase je planta la lame doucement mais profondément dans sa cuisse gauche. J'aime faire en sorte que mes victimes ressentent la douleur que Je leur inflige.  Le petit fébrile cria de douleur et pleura ce qui ne fit qu'augmenter la joie que je ressentais.

- Je sais tous. Tu m'as pris pour un tonto ou quoi (un con).

Il ne répondit pas alors pour lui montrer que j'étais sérieux je lui ouvrir l'entièreté de son autre jambe. A présent il hurlait de douleur, j'étais au bout de l'extase. Le sang giclait de sa jambe ,surement que des artères étaient touchées. A cette vitesse le petit ne survivrait pas très longtemps.


Juste pour préciser ça ne m'excite en aucun cas, ça m'apporte juste du bonheur de voir quelqu'un souffrir surtout les personnes qui me veulent du mal.

Je me plaça derrière lui et mit mes mains sur ses épaules avec toujours mon poignard dans la main droite à l'attente d'un aveu de sa part.

- oui oui d'accord j'avoue j'ai voulu te rouler mais s'il te plait pardonne m...

Il n'a pas eu le temps de finir sa phrase que ma lame ouvra peu à peu sa gorge, je venais de  l'égorger comme l'animal qu'il est. Son sang se déverse  sur le mur devant nous. Ma lame toujours dans la main, je la nettoie sur l'épaule du nouveau cadavre et encore un de plus qui venait de s'ajouter à ma longue liste.  Il y a bien une chose qui est clair c'est que je déteste les traitres.

Après quelques heures de bonheurs à tuer un part un tous les membres de se gang à la con, je remonta, enleva mes vêtements remplis de sang,  pris une douche et me remis à mon bureau. Et je me remis à faire ce que je fais la plus part de mon temps, c'est à dire essayer de retrouver l'assassin de mes parents.

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Nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plaira.

Biz,

E.

Grâce à luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant