sweet heart 2 Les Noces Funèbres

Chapitre 4

Aoba et Virus étaient tous les deux dans la chambre qu'ils partageaient ensemble, il était atterré, effrayé, le combat entre son mari et son âme sœur l'avait ébranlé. Son corps tremblait de toute part, il transpirait et était pris de nausées, ils avaient été obligés de laisser Trip dehors avec les journalistes et son mari car il ne supportait plus cette avalanche de violence. Il n'en pouvait plus, il fallait qu'il prenne de l'espace et qu'il soit soutenu par son âme sœur, cependant le trop plein d'émotions rendait sa respiration difficile.

- Ça va aller mon amour, le calma Virus, là, là, calme toi, je suis avec toi, tout va bien.

- Il... Il va lui faire du mal, je le sais... Tu ne le connais pas, quand il n'a pas ce qu'il veut il est... Il est violent... Il...

- He doucement mon beau, fait nous confiance. J'ai honte de le dire mais même si nous sommes tous les deux des alphas pur, Trip a toujours été plus fort que moi. Il me protégeait toujours des colères de père car j'ai toujours été hyperactif.

- C'est vrai ?

- Oui, père a  toujours été difficile à satisfaire, très exigeant, dur même avec nous, tu n'as été le seul à subir son tempérament. Mais malgré tout Trip a toujours été son préféré, il était plus grand et plus fort que moi, la vraie définition de l'alpha pur selon lui.

- Mais... Mais et pourtant tu es si grand, si fort ! Et surtout très attirant... Il rougit d'un coup, je te trouve parfait.

- Ah oui ? Virus leva un sourcil, le sourire moqueur, tu me trouves beau alors ?

- Non !... Je veux dire oui ! Je te trouve beau. Je... Je te trouve très beau Virus et très fort.

Aoba se mit sur la pointe des pieds et embrassa chastement son amant sur la bouche. Virus fut surpris sur le coup, il s'était dit qu'après hier, Aoba aurait voulu faire une pause, car ils n'avaient pas été doux avec lui. Il se sentit excité par ce geste alors il agrippa son cou et l'embrassa plus profondément, pénétrant sa bouche avec sa langue. Aoba couina, il se sentait encore sensible, cependant sentir Virus avoir envie de lui enflammait son propre désir, il sentit son bas ventre se contracter et ses sous-vêtements s'humidifier, il avait envie de Virus. Virus grogna, il sentait les phéromones d'Aoba se dispersés dans l'air, signe qu'il était lui aussi excité par le baiser.

- Aoba, grogna t'il, tu as été soumis à beaucoup d'émotions fortes entre hier et ce matin. On devrait ralentir, sinon...

- Mais moi... Mais moi j'en ai envie... Alpha...

- Toi alors ! Tu sais déjà comment m'avoir hein ? Se moqua Virus tout en caressant son érection douloureuse. D'accord montre moi à quel point tu en as envie.

Aoba hésitait, il ne savait pas quoi faire pour se montrer sexy comme les omégas dans les films. Il avait peur de tout gâcher en faisant n'importe quoi, mais il savait aussi qu'il devait prendre des risques s'il voulait séduire son homme. Il décida alors de se déshabiller, d'enlever sa chemise, son pantalon et ses sous-vêtements, il rougit sous le regard perçant de Virus qui détaillait chacun de ses faits et gestes. Une fois totalement nu, il se dirigea vers l'une des tables de la chambre, sur laquelle il s'appuya, jambes écartées et fesses exposées, il se sentait totalement vulnérable ainsi, mais sentir l'aura de Virus s'épaissir dans la pièce lui fit comprendre qu'il avait bien fait.

- Alpha, s'il te plaît. J'ai envie de... Ah!

Il ne put finir sa phrase, sans qu'il ne le sente arrivé, Virus s'était glisser entre ses jambes et s'était mis à lécher son vagin tout en pénétrant son anus de ses doigts. Aoba se tordait plaisir, les sensations étaient trop fortes, il était stimulé de partout et n'arrivait pas à retenir ses gémissements.

- Ah, oui... Oui s'il te plaît, encore... Non ! Cria t'il de frustration quand Virus arrêta pour se redresser. Il voulu se lever pour lui parler mais Virus le plaqua sur la table en grognant.

- Non ! Tu reste là, pas bouger Aoba.

- Mais...

- Chut ! Sinon je te bâillonne. Maintenant sois docile et attend.

Virus défit la ceinture de son pantalon, sa braguette et sa fermeture, il libéra son sexe de son caleçon, celui ci était douloureux et pulsait dans ses mains. Il s'approcha d'Aoba et sans prévenir  pénétra son vagin d'un coup, grognant à la sensation de son sex enfermé dans le fourreau brûlant de son amant. Aoba sentit ses yeux se révulser dans leurs rétines, la pénétration était brusque, mais le plaisir plus intense encore. Virus était brutal, le labourant encore et encore, et pourtant Aoba en était dingue, il était aux portes du paradis, chaque pénétration atteignait son point sensible, le faisant fondre de l'intérieur. Ses ongles étaient ancrés dans le bois de la table, son souffle erratique, ses cheveux en bataille, il était sur un nuage. Virus continuait de le marteler, encore et toujours plus profondément, il sentait qu'il allait jouir ce dernier se retira, le laissant vide.

- Mais... S'il te plaît ! Je... J'allais... Oh?

Fit-il alors que la langue de Virus venait de pénétrer son anus. Puis un, puis deux,  puis trois doigts à l'intérieur.

- Je... Hran! Oui... Oui! Oh oui !

Il n'en pouvait plus, son corps subissait déjà beaucoup trop de stimulation.

- Tu me veux ici aussi ? Demanda Virus.

- Oui ! Oh oui... S'il te plaît, oui !

- Alors, dit Virus de nouveau debout, empale toi sur moi. Viens prendre ce que tu veux.

- Mais, je...

- Aoba, il se pencha aux oreilles d'Aoba, si tu ne fais rien, tu n'auras rien.

Aoba était désespéré, il en avait tellement envie que pour lui, il fallait vraiment qu'il le sente à l'intérieur de lui. Alors il se mit à frotter son arrière train sur le sexe de Virus, puis il commença peu à peu à s'empaler sur lui, gemissant à chaque centimètre qui le pénétrait. Lorsque enfin, il fut au bout, Virus étant totalement à l'intérieur, il put souffler, ça n'avait pas été douloureux car la veille il avait déjà été pris, mais ça restait toujours autant imposant. Virus se mis alors à le marteler, le pénétrer encore et encore, Aoba qui avait déjà été stimuler plus tôt gémis rapidement, puis il sentit le sexe de Virus grossir, ce dernier joui à l'intérieur de lui tout en le nouant et en mordant son cou.

- Je t'aime Aoba.

- Moi... Moi aussi je t'aime.

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Ren avait tout vu. Cela faisait quelques heures qu'il avait posé des caméras dans la chambre des jumeaux et il se dit qu'il avait bien fait. C'était la première fois qu'il voyait Aoba ainsi, qu'il découvrait ses deux orifices, qu'il comprenait à quel point il était parfait. Si il avait un vagin alors il pourrait porter leurs bébés une fois qu'il l'aurait débarrasser de ceux de cet alpha coréen. Il venait d'essuyer le sperme de ses mains, voir Aoba aussi quemandant de plaisir l'avait excite, il s'était masturbé en imaginant que c'était lui qui lui faisait l'amour. Il huma le sous-vêtements d'Aoba qu'il gardait en lieu sur dans sa chambre.

- Hra, Aoba ! Gémit-il. Ne t'en fais pas, je vais te sauver. Tout es déjà en place, attends juste un peu. Je t'emmènerai en lieu sur bientôt mon amour, je te le promet