Tomato Bueno's Bizarre Adventure |Pause|

Chapitre 9

Justine, Emilie et Rayan étaient installés dans un grand canapé, comme si ils étaient chez eux. Justine avait ses jambes posé sur les cuisses de Rayan, tandis que Emilie avait, elle, posé sa tête sur les jambes de Justine. Tous fixait face à eux, sans rien dire.

- Purée mais ça n'a pas de sens ! Coupa Rayan de ce long silence.

- On va être envoyer dans un pays, sans rien savoir de qui on doit chercher. Continua Justine.

- ET POURQUOI LA CHINE NE VEUT RIEN FAIRE ?! Hurla Emilie en se secouant dans tout les sens.

- ARRÊTES DE CRIER ! Hurlèrent en cœur Justine et Rayan.

Alors que Emilie s'apprêtait à répondre en hurlant, un téléphone sonna. Justine eu un sursaut de peur et attrapa son téléphone. C'était le sien. Elle décrocha.

- A... Allô... ?

Rayan lança un regard d'incompréhension vers Justine. Emilie se redressa pour l'observer. 

- Ah... Bonjour Mme Panis... Continua la châtain.

Rayan et Emilie se décomposèrent. Ils savaient tout les deux pertinemment qui c'était et ils savaient surtout que Justine était foutu.

- Ah... Alors... Oui effectivement je ne suis pas venue aujourd'hui mais... Comment vous expliquer... Non non je ne cherche pas des excuses ! Disons que vous aurez du mal à me croire mais le président voulait me voir, et aujourd'hui je pars pour aller en Italie ! Quoi.. Quoi non ! Non je ne vous mens pas ! 

Nerveusement, Emilie se mit a rire, ce qui valu un regard noir de Justine.

- Non... Les rires derrière ? C'est mon amie ! Non ce n'est pas une blague ! 

Justine se secoua dans tout les sens, d'un air terrifié. Une main arracha le téléphone de Justine de ses mains. Justine leva le regard vers la personne qui venait de lui prendre et loupa un battement de cœur.

- Allô ! Monsieur Macron a l'appareil. Commença alors de président qui se tenait face aux trois amis, qui, tous impressionnaient, ne bouger plus d'un pouce. Oui, je vous confirme les dires de votre employer. J'ai réquisitionner plusieurs personnes du pays pour qu'ils nous aident sur les devant du pays. C'est tomber sur... Sur... ?

- Justine. Chuchota cette dernière.

- Sur Justine ! Non, je n'ai aucune idée de quand elle sera de nouveau parmi vous. Sûrement le temps que la pandémie continue. Bien. Merci de votre compréhension. Au revoir. 

Macron raccrocha et tendit de nouveau le téléphone vers Justine. Cette dernière attrapa son téléphone, gênée.

- Merci... Elle ne m'aurait jamais cru.

- La présence d'employés dans les grandes surfaces est réellement importante, mais le peu de détenteur de stand, j'en ai encore plus besoin. Ne me remercie, c'est dans notre intérêt à tous.

Le président fit demi-tour et disparu au bout quelques secondes.

- Wow mais je... Il a prit mon téléphone ? 

- Bah oui, on l'a vu nunuche... Répondit Emilie.

- Alors ça c'est vraiment po nice Emilie... Fit Rayan avant.

Justine soupira et se laissa tomber sur Rayan. Emilie se réinstalla sur Justine. Il ne leur restait que quelques heures avant de partir. Tout les autres avaient décidé de se promenait dans l'Élysée, mais les trois amis avaient eux envie de fixer le vide sans rien dire, pensifs. Cette histoire... Ils s'étaient sûrement lancer dans une mission sans sens, où ils devaient chercher un homme, ou une femme, dont ils ne savaient rien du tout. 

Alors que chacun était entrain de réfléchir, une voix avec un accent japonais les interrompu.

- Vous devriez manger avant de partir en Italie. Qui sait ce qui vous attends là bas.

Les amis levèrent la tête vers leur interlocuteur. Il était grand avec un air froid. Il portait un grand manteau, parsemé d'étoiles. Il avait des cheveux bruns, qui étonnamment, fusionné avec sa casquette. Dans ses mains, la tortue de tout à l'heure. 

- Euh oui... ?

- Je me présente. Jotaro Kujo. Biologiste marin. J'assiste le président, mais en réalité je suis ici pour étudier cette tortue. 

- JOTARO REPOSES MOI J'EN AI MARRE DE SES TESTS.

- Tu parles trop Polnareff. Bien. La salle se trouve plus loin sur votre droite. Bon appétit. 

Le certain Jotaro partit, sans rien rajouter. Mais... Ils étaient tous bizarre les assistants du président...