Pdv BorutoElle n'était pas dans sa chambre...
J'ai du attendre deux mois avant de la voir. Cette situation m'exaspère et l'atmosphère est tendue au sein de l'équipe.
Ça fait un an que ça dure... Elle enchaine les thérapies mais au moins ça fonctionne, elle arrive a se servir de son chakra et elle peut déjà passer des jours sans être relier â ces machines. Aujourd'hui elle doit se rendre à l'hôpital; elle va avoir de la visite.Pdv Sarada
La chimiothérapie s'est bien passée et mon état s'améliore. Je ne suis pas sortie d'affaire mais c'est mieux que rien. La nuit est tombée depuis un moment et le son émit par les machines m'empêche de dormir.
Boruto : salut.
Moi : salut, tu sais il y a aussi la porte pour entrer.
Boruto : c'est vieux jeux.
Il escalade le bord de la fenêtre et prend place sur la chaise la plus proche de moi.
Boruto: t'es vraiment moche avec ces tuyaux qui sortent de ton bras et de ton visage.
Moi : ce qui me rassure c'est que ma tête fait moins peur que la tienne .
C'est moi qui ressemble à un zombi oui. J'ai des cernes noires sous les yeux, un teint blanc on dirait du coton et en plus j'ai maigri déjà que je n'était pas dodue au départ.
Moi : je dois être épouvantable à voir...
Boruto : mais non...
Moi : arrête. Je sais que je ne ressemble à rien...
Boruto : tu es belle comme tu es
Moi : comment vont les autres ?
Je ne veux pas écouter ses mensonges.
Boruto : ils vont bien... Ils ont prévus de venir te voir demain..
Moi: ok..
Boruto: et ton petit frère comment il va ?
Moi: Madachi va bien.
Le silence prit place dans la pièce, ma mère a accouché il y a cinq mois et depuis elle me mets la pression pour que je suive mon traitement à la lettre quitte à délaisser mon frère de temps en temps. Au moins les tests qu'il a passé prouvent qu'il n'a pas de signe de cancer, c'est rassurant. Je m'assieds sur mon lit ne suupportant plus d'être allongée. Boruto lui surveille tout mes mouvemennts du coin de l'œil. Il ne se passe pas un jour sans qu'il ne vienne me voir que se soi aux heures de visite ou en pleine nuit comme aujourd'hui. Je me place face à lui et il pose sa tête sur mes jambes.
Boruto : vient à bout de cette foutue maladie.
Moi: compte sur moi...
Le lendemain, je me suis réveillée aux environs de neuf heures. Je une infirmière est venue me demander comment j'allais et a changé ma perfusion. Je n'ai pas le droit de manger ici surtout en plein traitement. Je dois attendre de pouvoir rentrer chez moi et là encore ma mère me soumet à un régime très strict.
Dans la journée mes amis et senseis m'ont rendus visite. Malgré sa visite nocturne Boruto était présent. Ils m'ont apportés des cadeaux et m'ont souhaité un bon rétablissement; il le font depuis un an déjà... Ce sont de vrai amis.
Dans l'après-midi se sont mes parents et mes grands parents qui sont venus me voir. Madachi était là aussi mais ma grand mère a décidé de le prendre avec elle voyant les négligences de ma mère. Mon père à la surprise générale a décidé de rester me parler seuls à seuls. Il venait me voir régulièrement mais il ne me parlait presque pas ou bien ne prenait même pas le temps pour le faire. Une fois tout le monde dehors il prit la parole...Sasuke : je suis vraiment désolé de ce qui t'arrive. J'ai cru que depuis la découverte de ta maladie tu serais guérie depuis un moment mais c'est plus compliqué que ça.
Moi : mais, tu n'y es pour rien papa
Sasuke: c'est moi qui t'es transmis cette maladie. Mon frère aîné souffrait de ce même mal et... Enfin, c'est à cause de moi que tu souffre...
C'est la première fois que mon père me parlait ainsi. Il gardait les yeux fermés pour ne pas croiser mon regard mais je le comprenais. Ce n'est pas évident de parler de ce genre de chose avec son enfant.
Moi : c'est la première fois que tu évoque un membre du clan Uchiha en ma présence. J'ai toujours voulu que tu me raconte l'histoire de ce clan, comment se fait il qu'il ne reste que nous ?
Son visage est resté neutre mais je le sentait mal à l'aise. Il s'est dirigé vers la sortie en disant
Sasuke: tu n'as pas besoin de savoir ça.
Moi: pourquoi ? Je porte bien le nom du clan et je ne sais rien de lui. À mes onze ans je n'avais jamais entendue parler du sharingan...
Sasuke : au-revoir.
Il est parti sans me jeter un regard... Il m'énerve, je ne suis pas une étrangère pourtant. Son grand frère avait ma maladie et il est mort... Qu'est ce que je vais devenir ? Je vais mourir aussi... Je débranche mes perfusions, à force de les mettre tout les jours j'ai appris à les enlever en douceur. Je troque ma robe de chambre cotre une autre rouge à longues manches pour cacher mes perfusions. J'enfile ma paire de sandales et sors par la fenêtre et décide d'aller me balader pour me changer les idées.
Ça fait longtemps que je ne me suis pas promenée dans le village en soirée. Des gens discutaient à voix haute, d'autres rentraient chez eux dans le calme ça change du silence et du calme de ma chambre. Je me dirige machinalement au mont hokague plus précisément au dessus du visage du septième du nom. Je fus surprise d'y croiser Boruto et Mitsuki.Moi : salut...
Ils se tournèrent vers moi et me regardèrent surpris puis avec un air triste.
Mitsiki: tu n'es pas sencé sortir de l'hôpital.
Moi: j'avais besoin de prendre l'air.
Il se tourna vers Boruto qui me regardait avec des yeux de reproche...
Boruto : tu ferais mieux de retourner à l'hôpital. C'est pas dehors que tu iras mieux.
Moi : c'est pas en restant enfermée non plus.
Il se mit face à moi et me pris le bras avec force pour me forcer à le suivre.
Moi: lâche moi !!!
Mitsuki: calme toi Boruto.
Moi : qu'est ce qui te prends ?
Boruto: ce qui me prend ? Je crois que tu ne réalise pas ce qui se passe. Une équipe est composée de trois membres et d'un sensei. Et depuis que tu es souffrante nous sommes en sous effectif...
Mitsuki: Boruto arrête.
Il l'ignore et se tourne vers moi. Mon coeur se sert tout seul et ma respiration devient lourde.
Boruto: mon père celui que tu admires tant t'a remplacé...
Moi: non...
Boruto: tu ne fais plus partie de l'équipe 7...
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Entre la vie et la mort...
FanfictionJe suis Uchiha Sarada et cette maladie qui me pourri la vie mais qui ne m'empêche pas de vivre pour autant