Escorte et pas que ...

Chapitre 13 : Pervers

*** Ellipse lendemain soir ***

Je suis devant mon bâtiment nous allons chercher la robe commandée dans la boutique d'Alix. Je dis non car c'est Simon qui m'emmène et non Divin j'ai refusé qui voie ma robe avant la soirée. Nous arrivons à peine dans la boutique qu'Alix me saute dessus pour m'habiller. « Tu es la meilleure, quand j'ai vu la robe j'ai compris à quoi tu jouais. Tu ne veux pas le rentre fou, tu veux qu'il te désire pour ensuite que tu joues avec le danger. Mais qui es Divin pour toi ? » Elle revient avec ma robe, je suis fière de mon jeu. Ma robe est très volumineuse. J'ai commandé une robe de mariée bleu nuit avec le buste diamant et les chausses qui vont avec. « Je t'explique, Divin est mon client. Je représente la société L&M. Mais ce soir je viens or contrat. Il m'a demandé de l'accompagner et il m'a amené là. Mais je n'ai jamais eu l'intention de le faire souffrir. Je cherche juste à la provoquer, j'ai un don pour le jeu sensuel on va dire. » Alix à toujours son sourire en coin. Je lui prends le bras et la tire vers moi. Mes lèvres sont à quelques centimètres des siennes. « D'accord je te crois » Je sors une heure après avec mes cheveux bouclés et remonter en chignon, le maquillage bleu et mes talons chaussés. Dans la voiture une boite noire est posée, mon nom est marqué dessus. A l'intérieurs un masque blanc. Il m'attend, son costume noir lui va comme un gant. J'ouvre la portière et le regarde dans les yeux. Ses yeux parcourent mon corps et s'arrête sur ma robe. Il fait un pas en avant et me rapproche de lui, il fait en sorte que personne ne voie ce qu'il va me dire « je croie avoir été claire. » Mon sourire veut tout dire et il le comprend très vite. « Je n'ai pas dû comprendre Di-vin » Ma provocation est tel que je le sens se raidir. Je souffle sur son lobe d'oreille, avant de partir vers la porte d'entrée. Il me rattrape et me prends le bras avant de passer son bras sur mes épaules. Nous passons à peine la porte que tous les regards se tourne vers nous. Je souris au visage que je reconnais sous leurs masques. Je prends une coupe de champagne, et la sirote en regardant au tour de moi. Je pars dans mes pensées, j'ai grandi dans une famille aimante mais fauché, alors j'ai travaillé au black a 14 ans, puis j'ai eu un boulot a 16 ans, et a 18 ans j'ai eu mon bac. A 20 ans je suis rentrée dans la boite de rédaction d'article. Puis a 22 ans je me suis fiancée, j'avais 5 ans de relation. Comme quoi on ne connaît pas toujours la personne en entière. Et a 23 ans j'ai divorcé. Actuellement je suis au poste de représentante de L&M, et je porte une robe de marié bleu nuit avec un milliardaire qui aurais pu choisir une autre fille, parmi toute celles qui lui demande. Mais c'est moi, alors autant en profité. Mais s'il devait faire un choix entre moi et une autre personne, il devrait choisir 'autre personne car tout le monde pouvait être mieux que moi. Mais il m'a choisi alors pour l'instant il faut en profiter. Divin rigole avec une floppé de femmes, je ne ressens rien même pas de la jalousie qu'il ne s'occupe pas de moi. Je pose m'a coupe de champagne, je me balade en saluant des personnes. « Alors que fait une si jolie dame ici, toute seule ? »Je me retourne directement, un homme grand, même plus grand que Divin. Son regard va vers ma poitrine, il me répugne « Je suis la cavalière de Divin Mirades. »Son rire se fait tellement irrespectueux, il me prend le poignet et me le sert si fort que je pousse un petit cri. Il m'entraine vers le coin des toilettes. Il me coince contre un mur et met ses mains un peu partout sur mon corps. Mes souvenirs me refont surface, ils sont quatre, dans un coin, une bouteille à la main et des paroles « Alors Mindya, une femme peut être extensible jusqu'à où, a ton avis ? Tu ne sais pas ?Et ben on va te montrer. » Mes larmes coulent, l'homme ne semble pas y faire attention. Je sens le froid passer sur mon ventre. Ma robe est grande ouverte. On peut apercevoir le début de ma cicatrice. Je ferme les yeux et sens ses mains commencer à me toucher. Puis plus rien, noir total. Chaud, Chaud,Chaud J'ai chaud, j'ouvre les yeux. Je suis dans un lit, je le reconnais. Le lit de Divin. J'essaye de me tourner, mais quelque chose m'en empêche, en fait plutôt quelqu'un. Il bouge et ouvre les yeux à son tour. Il s'étire et s'assoie. Il est quand même très beau. Il s'approche de moi, et me prends dans ses bras. « Si tu savais comme je suis désolé Min, je n'aurais jamais dû te laisser toute seule, mais ne t'inquiète pas, Romuald est derrière les barreaux » Plus il parle, plus les souvenirs revienne. « Qu'est-ce qu'il c'est passer après que je me sois évanouie ? » J'ai arrêté Rome et l'ai tabassé devant tout le monde. Et je t'ai amené ici, puis mis en pyjama, et je me suis à par à m'en endormis. Je hoche la tête. « J'ai quand même une question à te poser, fin plutôt deux. Pourquoi tu as pleuré quand il t'a coincé ? Par peur ou par une autre raison ? » Je bégaie « Je... Je... J'ai eu peur » D'accord, j'ai un peu menti je ne le connais pas. « Et ma deuxième question c'est, la cicatrice que tu as, comment tu l'as eu ? » J'avale difficilement ma salive. « Je dois y aller, merci beaucoup pour la soirée mais je dois y aller. » Il se lève et se met devant moi. Il se baisse vers moi et me demande de lui dire, qu'il ne je jugera pas. « Tout le monde a des démon Divin, moi j'en ai et pas qu'un seul. » Je commence à partir mais il se remet devant moi. « Si tu ne peux pas me dire alors montre-moi ce qu'il t'on fait » Je passe devant lui, mais il ferme la porte devant moi. Il me pousse sur le lit, et se met au-dessus de moi. Tout se passe très vite, ma main se lève et la claque pars, en même temps que mes larmes. Sa tête se tourne vers moi, la peur monte, mais il respire fort et il m'embrasse. Je ne cherche pas à m'enfuir. Ce geste est plutôt rassurant. Il relève sa tête pour reprendre son souffle. Mais il revient à l'attaque immédiatement après. Ses mains collent mes hanches au lit, il demande l'accès à ma langue. J'ouvre les lèvres, il m'embrasse avec plus de puissance. Ma poitrine à moitié dévoiler, il ne se fait pas prier et décent ses baisés. Arrivé à mon nombril, la panique monte. Il le sent, et remonte jusqu'à mes lèvres « Ne t'inquiète pas je ne te ferrais jamais de mal »

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