Chapitre 32 : Fin

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« Aujourd'hui c'est le grand jour, nous allons attraper belle-mère et ladescendre » me crie ma conscience. 

Sofiane arrive avec nos gilets par balle etnos armes. Oui quand nous sommes membres de la mafia, c'est possible de s'enprocurer sans attirer les regards. Il m'emmène à l'endroit où j'ai passé mespires jours, mais c'est là aussi où se cache Maria. Nous passons par la portede derrière, et nous nous rendons dans les salles de réunion.

 J'en ouvrelégèrement une, pas celle-là. Nous en fouillons une dizaine avant de trouver labonne ils ne sont que 4. Je respire et entre en trombe, Sofiane tire, et nes'arrête pas. Les trois hommes sont à terre mais impossible de trouver Maria.

 Une petite porte est ouverte mais il y a du sang elle a de l'être toucher. À partirde là, les évènements ne se sont pas passer comme nous le voulions. Nous avonseffectivement trouvé Maria décéder dans le couloir mais nous avons aussi trouvéla police devant le bâtiment, c'est là que c'est partis en live, nousavons libéré tous les prisonniers et nous sommes sortis. La police nousattendait, les prisonniers leurs ont tirédessus alors nous avons dû nous enfuir. 

Nous avons fait exploser les armes pourn'avoir aucune trace, et nous somme partis chez nous la conscience lourde. Noussommes rentrés et nous nous sommes regardés avec Sofiane. Nous étionsrecherchées surement par les personnes de la Mafia, et nous avions tuer desgens. C'est précisément cette nuit que ça a dérapé entre nous, nous avonscouché plusieurs fois ensemble remplit de sang. Notre conscience est partie etnotre culpabilité est venue.

 Nous n'avons jamais passé des jours aussi durs,nous ne sortions pas, la nourriture n'avait pas de gouts, pas d'activité carnous étions sous le choc, même lui ne pensais jamais pouvoir faire ce qu'ilavait fait : tuer la chef de la Mafia générale. Nous avions réussi notre cout.Mais comment nous étions arrivés là. 

*** aujourd'hui ***

 Je suis stressée, il ya un an jour pour jour je suis décédé dans le cœur de Divin Mirades. Je prendsune bouffer d'airet toque. Emilie ouvre, ses cheveux on poussé, et elle a pris des hanches jepense même qu'elle est enceinte. Mon monde s'effondre peu à peu, il m'aremplacé par cette « femme ». J'allais hurler, j'allais la frapper mais c'estelle qui me prit dans ses bras pour me serrer. « Je ne suis pas enceinte de luisi tu veux savoir mais de son frère, il est parti tu veux entrer ? Tu as décidéde lui dire que tu es en vie ? »

 Je hoche la tête en rentrant et lui raconte cequi c'est passer, et elle se son côté aussi, elle s'est rendue chez éternelaprès le casse. Ils se son retrouvé c'est vrai, cela c'est passer il y a déjàtrois mois. Après avoir raconté nos histoires nous sommes partis de quoi noushabiller. Je suis sur mes garde a chaque moment, Sofiane et moi, nous noussommes rapprochés mais nous avons mis fin à nos ébats dû à ce qu'il c'étaitpasser.

 Nous faisons nos achats et rentrons, nous nous changeons et je memaquille. En me regardant d'un peu plus près mes cheveux on bienpousser. Nous entendons les clés dans la porte, je me place devant lui. Ilouvre et me regarde de haut en bas. Il lâche ses courses, il s'approche de moi,comme s'il voyait une hallucination.

 Il tend la main vers moi, je m'approche etprends sa main. Au simple contacte, il me prend dans ses bars et pleure toutesles larmes de son corps.... Nous nous asseyons et je lui raconte tout, quitte àce qu'il me déteste-t-il se doit de savoir la vérité. Nous lui racontons depuisle début, sa mère, les ventes, les réunions, les informations, sa demande, sonpère, ma mère, ... 

Il ne dit rien depuis plusieurs minutes, il a juste les mainsliées, je ne dis rien. Les regards D'Émilie ne me rassure absolument pas. Il selève et nous demande de faire de même, il nous prend dans les bras et nous noussurprenons à pleurer dans les siens.

 Après ses émotions fortes Emilie estpartie, nous, nous sommes restés ensemble pour la nuit. Pendant plusieursjours, nous sommes restées enfermer, juste lui et moi. Puis nous nous sommesmariés en secret, j'ai pris une nouvelle identité, Edna Strong, et un nouveaudomicile. Mon nom de famille reste un nom. Je suis une cousine éloigner deMindya. Et je vais avoir Evie, une petite fille. Tout va pour le mieux. Qu'estce qui pourrait aller mal ? Peut-être Sofiane blesser qui sonne a ma porte etqui prononce ces derniers mots ? « On ait dans la merde » 

Quand le passer se fait ressurgir c'est le pire...




 Fin 

...






Ou pas

Escorte et pas que ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant