Chapitre 20 : visite de belle famille

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12milliards d'euros. 

« C'est d'accord »

 Je n'hésite pas une seule seconde, lasomme est beaucoup trop importante. « Parfait, rendez-vous ce soir à18 h 00, belle robe, tout ce que tu veux mais il faut que tu sois unetrès bonne image. Je préviendrais Divin de ça » Dit-il en prenant le téléphone« Pas sûr qu'il aime ». À peine ai-je mis les pieds dehors que j'entends deloin la voix de Divin « Retenez-là, j'arrive ! Si elle bouge, attacher là à unechaise » Mon patron me regarde, « Il sera là d'une minute à l'autre, sois-tu cours,sois-tu restes ici et tu assumes les fesser qu'il va te coller. Il déteste sonfrère va savoir pourquoi mais tu as intérêt a courir vite » Je m'élance dansles couloirs, je cours vers la cantine, la salle principale, mon appartement,la salle de bain. Je me réfugie dans la baignoire, en y regardant Cara n'estplus là. Je ressors de la salle de bain et court fermer ma porte à clé. Jerepars dans la salle de bain que je verrouille aussi, et je repars dans ladouche. J'entends frapper quelque minute plus tard à la porte. Tel unpsychopathe il crie « Mindy, ma chère, j'espère que tu profites de ta vie, cardans pas longtemps elle va s'arrêter, si tu n'ouvres pas cette porte » 

Sans unbruit je me lève et écoute à la porte. Il semble s'être éloigner. Je déverrouillela porte et commence à courir dans les couloirs. « Elle est là ! » Je meretourne, Simon et Divin sont à ma poursuite. Je suis très nul en sport c'estdonc comme ça que je me suis fait attraper. Actuellement je suis assise sur une chaise, devant moiil y a Divin et celui qui tiens la porte pour que personne n'entre c'est Simon.J'ai l'impression que je me suis fait kidnapper. 

« - Mindy, tu sais pourquoi tues là non ? 

- Oui parce que tu es un grand malade, et que je viens de signer uncontrat avec ton frère que tu détestes mais on ne sait pas pourquoi. 

-Exactement, mais mon petit frère ne t'a pas demandé pour aucune raison, il veutte voler à moi car, tu es apparu à mes côtés sur les magazines

 - Écoute Divin,ce n'est pas mon problème si tu ne t'entends pas avec ton frère, moi je faissimplement mon travail. Si tu n'es pas content c'est la même chose avec moi. Situ as des choses a réglés, ce n'est pas avec moi que tu dois le faire. Dans laville tu es le plus grand, donc tu prends tes c*** et tu l'appelles pour réglerles choses. Donc maintenant tu me détaches car je dois aller me préparer j'aides clients.

 Essoufflé par mes propos, j'attends une réaction de sa part. Maisil se retourne vers Simon et lui dit le plus simplement possible.

 - Tu as entendula jeune fille, Simon. Apporte-moi mon téléphone s'il te plaît, on val'appeler. Après plusieurs minutes le téléphone commence à sonner.

 – bip bip bip 

- Ouais allo ? Dit la voix de l'autre côté du téléphone 

- alors comme ça ondemande ma copine en escorte

 - Divin ? Mon bro !Comment il va ? Et ouais j'ai demandé ta copine, déjà parce qu'elle est belleet bonne mais aussi j'ai affaire avec la famille, donc je l'emmène. Elle vavoir maman et tout, tu sais que si tu mets fin au contrat, tu auras maman sur ledos. Mais rassure-moi c'est une fille éphémère comme les autres elle ? Parceque maman fait son discours comme à chaque fois elle reparte avec l'argent etPOUF ! On la voit plus.

 Il raccroche et se rapproche de moi. 

« Tu voismaintenant ? » Son visage n'est qu'a quelques centimètres de moi. « Tu pensesque je suis comme elles ? Tu penses que je vais me tirer avec l'argent ? » Jesuis vexée qu'il puisse croire que je vais partir avec cet argent. « Non maisma mère sait être très persuasive » Je ne réfléchis plus, je recule ma tête etlui met un coup de boule. « Relâche-moi » Il ce tien la tête en me regardant assez méchamment.

 « Tu ne mefais pas peur Divin, alors maintenant tu me relâches sinon dès que je seraissorti d'ici les flics saurons, et tu ne me verras plus jamais. Les histoires defamille ça ne me regarde pas. » Il me détache et sans le regarder je me dirigevers la porte, mais en l'ouvrant il me tire en arrière. « Je sais que tu n'espas comme ça, mais Mindy, écoute-moi... » 

Je ne prends même pas le tempsd'écouter jusqu'au bout sa phrase, un détail dans la conversation avec sonfrère me rend perplexe.

 « Il y en a eu combien avant moi ?

 - Pardon ?

 - Tu astrès bien entendu Divin, il y en a eu combien avant moi, combien de femmes tamère a rencontré ? 

- 3 ou 4 

- Ok, je dois aller me préparer alors si tu veuxbien me lâcher le bras, il faut que je rentre. » Il soupire, et me lâche.Quelque temps plus tard, je suis maquillée. J'ai pris ma robe violette, ellem'arrive aux genoux. Je sors du bâtiment, un homme m'attends, il a latrentaine, la ressemblance avec Divin est frappante, il me voit, sa bouches'ouvre, il reste muet. Je marche vers lui, et lui tend ma main, il se pencheet me fait un baise-main. « Je sais pourquoi, je suis là ». Il parait étonnerque je sois au courant, je monte dans la voiture, côté passager, il prend levolant. « Avant d'aller voir la famille, nous allons faire un petit tour enbagnole. »

 Je commence à sourire, je comprends son petit jeu, des épreuves, ilveut me faire passer des épreuves. Après avoir roulé quelque minute nousarrivons dans un terrain de course privé. Nous descendons de la voiture, unhomme nous accueil, ildoit avoir la cinquantaine. Il me tend une combinaison en cuir noir, et sansdire un mot il désigne des cabines de la tête. Je lui fais un sourire et par mechanger. Je reviens les cheveux attacher, la voiture de course est déjà prête.Elle n'attend que moi. Je me dirige vers le côté conducteur, mais Eternelm'arrête. Il me rigole au visage et il s'assoie au volant. Il démarre comme unefurie. Pendant prêt de dix minutes la sensation est exquise. L'adrénaline estprésente. À peine arrivé je regarde éternel et le jette presque de sa place, jeprends place au volant.

 Il me regarde avec un grand sourire, il monte à côté demoi. Je démarre et me lance sur le terrain. Je le regarde et lui dit « tu aspeur de la mort ? » Son sourire s'efface directement. Je lance le bolide sur leterrain, je gagne de la vitesse, je sens éternel se tendre à côté de moi. Je medirige vers la rampe. « Ça passera pas »

 Je le regardeet rigole comme une folle « et alors ? » Il me regarde choquer de ma réponse.Plus je me rapproche du saut plus je route vite. Mon compteur monte a 180 km/h.Au dernier moment « effectivement ça ne passe pas. » La voiture saute, éternelcrie, et moi je rigole. La voiturer atterrie assez mal. Ce qui nous fait faireun dérapage assez mal contrôler mais vital. J'arrête la voiture et il sort «Mais tu n'es pas bien, on a failli y passer. Mais mon Dieu est la seule à avoirfait ça. » Nous rigolons nerveusement avant de nous rendre dans la  boite de nuit que Divin m'a présenté. Je rentreen catégorie VIP avec éternel. Nous commençons à danser, il me tend unebouteille. Après en avoir bu une ou deux, la lumière se met sur moi. 

Escorte et pas que ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant