Escorte et pas que ...

Chapitre 17 : Ma hanche

Il continue de monter pour arriver à ma poitrine qu'il commence à tâter. Un autre homme arrive, « Mais qu'est-ce que tu fais ! On n'est pas là pour les violés mais pour prendre ce que ce mec nous a volé dit le deuxième homme en pointant Divin

 - Oui mais on peut peut-être en profiter tu ne crois pas, en plus elle son habillée pile comme il se doit. 

- Stop je t'ai dit, elles sont bonnes ok, mais le patron ne va pas être content.

 - Qu'il soit content ou pas je m'en bats les ***, ma b**e d'abord.

 Un bruit sourd attire l'attention des deux hommes, ils se dirigent vers l'étage inférieur, il semble qu'une autre personne soit rentrer. Quelque minute après un homme vêtus d'un costume, ouvre la porte. Il se précipite de détaché Divin. Qui lui nous détache a notre tour. Je prends dans mes bras Cara, elle est totalement sous le choc. Nous descendons les marches. Nous retrouvons nos esprits doucement. « Divin ! » Je crie son nom, un des hommes sait relever. Je cours dans sa direction. Une douleur me transperce la hanche, je baisse mon regard vers celle-ci. Un poignard incrusté bien profond dans ma hanche. Ma vue sur brouille, la dernière chose que je vois est Divin assommant l'homme et courir vers moi. 

 *** Ellipse de 2 mois *** 

Ma tête me fait si mal. Il y a trop de lumière, trop de bruit, qu'est-ce que c'est que ces bip bip. Mes yeux s'ouvrent doucement. L'infirmière appuie sur un bouton, et le médecin débarque en courant. Il m'ausculte pendant de longue minute. Et finalement il demande à l'infirmière de le prévenir "Lui". Je me sens m'assoupir. Une main me caresse les cheveux, je suis bien au chaud et quelqu'un s'occupe de moi. J'ouvre les yeux, je ne m'attendais pas à autant de monde : Divin, mon patron, Cara, Amy, Les trois frères jumeaux, l'homme qui nous a sauvé, ... J'essaye de me relever mais je couine de douleur. Divin, me force a resté allonger. Je soulève la couette, un bandage énorme est enroulé autour de mes hanches. Je commence à me rappeler ce qui c'est passer. Je me tourne vers le médecin, il me donne 4 jours d'observation et je pourrais sortir. J'ai vraiment envie d'aller aux toilettes et je le fais comprendre au médecin par des minis signes. Il demande à tout le monde sortir sauf à Divin. Il m'aide à me lever. Une vive douleur se développe petit à petit pendant que je marche. Je m'assoie et demande a Divin de sortir au moins des toilettes, et il le fait. Je sors et j'observe, je ne l'ai jamais vu comme ça, une fine barbe est apparue et des cernes impressionnants se sont développé. Il me prend dans ses bras en veillant à ne pas me faire mal. Il a eu vraiment peur pour moi. Je m'assois sur le lit et nous discutons de tout ce qui c'est passer. Il a retrouvé l'homme qui nous avait fait ça, il l'a torturé pendant des jours pour savoir pourquoi il l'avait fait. Et l'homme qui m'a touché avec son couteau est maintenant bannie du pays. Je respire une bonne fois pour toute, nous sommes en sécurité. Je regarde encore le bandage, je n'étais pas loin du coma. C'est un miracle que je m'en sois sortie si indemne. 

 *** 4 jours après ***

 Je sors enfin de cet endroit où la bouffe est infecte. Je suis dans la voiture de Divin, il a insisté pendant 4 jours pour que je dorme chez lui pour s'assurer que j'aie bien. Je rentre dans la chambre suivis par Divin. Un courant d'air me chatouille l'épaule, en quelque seconde la pièce se réchauffe. Je suis de dos, mais je le sens, il me regarde, il m'observe. Il se rapproche tout doucement de moi, sa main remonte mon épaule, et viens se perdre dans mes cheveux. Son torse se colle à moi. Je me retourne, ses yeux sont puissants si noir de désir. Son souffle s'écourte. Il avale sa salive difficilement, il prend une grande respiration et fait demi-tour. Je lui rattrape la main, je me colle contre son torse et ne réfléchit plus. Mes lèvres se pose sur les siennes, il me plaque contre le mur, ma hanche me fait mal mais sans plus. Ce qui me fait le plus mal c'est mon bas ventre qui pulse tellement je suis excitée. Ma langue passe la barrière de ses lèvres pour approfondir le baiser. Je lui retire son tee-shirt sans aucune douceur, il n'y à que de l'animosité dans nos mouvements. Il prend mon bas et me le retire en le jetant de l'autre côté de la pièce. Il me plaque sur le lit, mon tee-shirt vole en même temps que mon soutien-gorge. Je me couvre de mon bras pour cacher ma poitrine.