Chapitre 30 : 3 ?

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Je m'approche de la fille et lui fait un câlin en lui disant 

« Ça va aller*Elle me regarde*

 -. Je m'appelle Emma 

-. BonjourEmma moi je suis Mindya »

 Elle me regarde et me sourit, un instant de tendressetotale dans ce monde ou des choses se bousculent et tout peut arriver. Le pèrede Divin regarde ma main, « Félicitations pour vos fiançailles, j'aurais aiméêtre là, » 

Je le regarde et lui dit :

 « Si on arrête cette femme, vous serez lànotre mariage » Il rigole d'un rire fort et franc. Et me dis « Mais c'estimpossible de l'arrêter, elle a la ville et je le sais bien Mais, il y a vouset Emma, on y arrivera » Je la regarde puis je regarde le père de Divin et dit « oui on va y arriver » je les regarde tous les deux, je me rappelle cetteimage horrible que Divin avait la tête baissée avec une arme sur la tête, etune sur la tempe.

 Je ferme les yeux, et une larme s'échappe de mes yeux, lesdeux personnes avec moi, baisse la tête. Une femme arrive, elle a un certainâge, avec une magnifique robe bleue nuit, je la regarde. Elle ouvre la cage etpousse son mari à l'intérieur. Le faisant tomber et le faisant hurler dedouleur, elle referme la cage en rigolant. Elle me regarde et :

« Ne me dis pasque tu pensais que tu allais t'en tirer comme ça, reprendre mon entreprise. 

-. Je necompte pas prendre votre entreprise

 -. Tu es la honte des Strong, petite sotte, ta mère me l'aassez dit. »

 Je regarde le père de Divin, et l'aide à se relever. Cettehorrible femme part en riant, je regarde le père de Divin, se tenant la hanche.Je me permets de lever sa chemise, un hématome un peu bleu et noir. Je lève sachemise un peu plus haut, pour en découvrir une série. Des petits, des gros. Jetente en vain de donner des coups dans les barreaux, mais sans résultat. Jecrie, je supplie, je pleure, je teste plein de chose espérant que quelqu'unvienne.

 ***

 Depuis combien de temps je suis là, des jours ? Sûrement. Dessemaines ? Peut-être une ou deux. Nous sommes nourris au reste. L'eau ne vientpas du robinet, elle n'a pas le même goût. Emma n'a pas de téléphone tout commemoi. Je ne sais pas ce que ces personnes ont fait, mais ce "garage" est remplid'arme. La mère de Divin « maria » dit le père de Divin. Donc Mariaarrive, accompagner d'homme, tous en costume noir, stricte. Il contourne notrecage, l'un d'eux me regarde. Il se stoppe, son visage m'est tellement familier.

 Sa voix n'est qu'un murmure « Mindya ? ». Nous nous regardons, pendant delongue seconde, avant que la voix de Maria, stridente viens près de cet homme.« Monsieur Menques, que faites-vous ? ». Il me sourit, son sourire froid. Il seretourne vers elle en lui demandant. « Vous me la vendriez ? Je donnerais unesacrée somme pour celle-ci, avec ses formes et son minois. » Maria me regardeet convient une certaine somme : 3. 

« Je suis étonné de vos goûts, mais soit,trois milliards pour celle-ci, rappeler vous, vous êtes un membre de la mafia,discrétion est notre deuxième nom ». L'un des hommes me soulève et me portejusqu'à une grande porte. La lumière m'aveugle, comment se fait-il que lesarbres soient de cettecouleurs. Je regarde le gorille et lui demande le jour : le 22 avril. 

Demain,va faire un mois que je suis dans cette endroit. Ilme pose au sol. Ma robe n'est plus très jolie. Déchirer, je porte toujours maculotte, et mon soutien-gorge. Je m'assoie dans la voiture, ou plutôt on mejette dedans. Je regarde l'homme qui, de ce que j'ai compris "m'a acheté". Ilse retourne et hurle. « Ça va faire un mois que Divin te cherche, et toi tu eslà-bas et je n'y ai pas pensé. Tu as disparu, tu peux m'expliquer là. » 

Nousroulons depuis plusieurs heures, je lui ai raconté l'histoire de la demande, larencontre, le mois infernal que j'ai passé, la visite fréquente des hommes quise soulageais dans Emma. Le père de Divin tabasser, les armes rapparier, ettous les autres choses. Nous arrivons dans la ville que je connais. Je suisforcé de mettre des lunettes de soleil et un foulard. Je suis placé dans unpetit hôtel, je cours à la douche.

 Quand je pourrais aller le voir, quand lespersonnes qui étaient avec moi pourrons sortir, quand tout ceci pourrait seréaliser. Je sorspour prendre les vêtements poser sur la table, je répare dans la salle de bainm'habiller. Je m'assois en fasse de l'homme. Il m'explique que Divin à remuerciel et terre, mais sa mère était à ces côtés, et l'éloignait de là où nousétions.

 Je ne pouvais plus attendre « Quand est ce que je pourrais le voir ? »Il soupire « honnêtement je ne sais pas, j'ai une dette envers la mère deDivin, et si je te relâche ça veux dire que je vais me faire tuer » la réalitéme reviens en pleine figure « imagine si j'ai un micro » je le regarde un peupaniquer. Il secoue la tête, ils m'ont fouillé oui.

 « Combien de temps je vaisrester ici ? » Il se raidit, sa tête fait "non". Il ne sait pas. Il me regardeet baisse la tête. Il sort un magazine. En gros « La seconde Mirades, rendsl'âme. Elle a été capturée et assassiner » je suis en gros dans la cageinconsciente. La photo est retouchée ! Je le sais. Je m'assoie et me prends latête dans mes bras. « Je t'ai fait venir, une coiffeuse. Tu vas changerd'allure.

...

Escorte et pas que ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant