Escorte et pas que ...

Chapitre 14 : Les premières choses

Il redescend, mais tout en me regardant dans les yeux. Il arrive au niveau de ma cicatrice, il me regarde et va plus bas. Mon souffle se coupe, je le sens, là où il est, je sens toute sorte de chose. Il descend ma culotte, et me l'enlève. Il s'arrête. « Mon Dieu, Mindya qui t'a fait ça ?» Je me couvre le visage, la honte m'empare, les larmes coule. « Explique-moi s'il te plait, attend je vais t'aider. »Il s'approche de mon intimité et sort sa langue. Je pousse des petits cris, je le sens sourire. « J'attends que tu m'expliques » Je prends une respiration. « J'avais-ahh 15 ans, au lycée j'étais la mieux formé, alors-ahhhh, j'étais convoiter on va dire. Un groupe de garçons m'envoyais des menaces. Je les cro-ahh-yaispas. Mais un jour, j'étais tout seule, ils m'ont coinsé à quatre. Ils ont pris des bouteilles viiiiiiiiiiiiide-ahhhhet...Et...Il m'ondemander jusqu'à où une femme était extensible. Alors encore vierge, j'ai fait ma première fois avec deux bouteilles en moi. Ahhhhh-J'ai eu des dizaines de points de sutures. Et des années de rééducations. Et maintenant j'estiiiiiiiiiiiiiiiiime que je suiiiiiiiiiiisencore vierge. Je... Je... DIVIN ! »Je sens une sensation de bien-être m'envahir. Il se met à côté de moi, et me souris tristement. « Ta cicatrice va jusqu'à où ?»Je me lève les jambes en compote. Je pointe mon doigt du bas de mon nombril, je passe par mon intimité encore fragile, et me retourne pour continuer, jusqu'en haut des fesses. Il me regarde et m'embrasse une fesse. Je lève les yeux au ciel, et me rassoie. Je remets ma culotte, et mon soutiens-gorge. « Alors maintenant qu'est-ce qu'il va se passer ? On va se revoir où tu n'as plus besoin de mes services ? »Il me regarde et me souris. « Bien-sûr qu'on va se revoir, tu me dois quelque chose non ? »Je le regarde et plisse les yeux « Attends je vais te montrer ce que tu vas me faire. »

Il me rallonge et enlève son pantalon, puis il prend ma main et la pose sur sa virilité. Ma main se faufile dans son caleçon, et commence mes mouvements. Ses soupirs me pousse à continuer plus vite, au bout de quelques minutes il pousse un râle et viens dans ma main. Je me lève et m'étire. Il change de caleçon et ouvre la porte. Nous descendons prendre le petit déjeuner. Mon téléphone sonne dans la chambre, je regarde le nom de la personne. Je jette mon téléphone sur le lit et retourne dans la cuisine. Je mange mes tartines quand on entend mon téléphone. Je me lève, mais Divin me devance. Nous courons en rigolant dans les escaliers et il réussit a prendre mon téléphone. Il décroche sans faire attention. « Mindya ? *souffle* Je pensais que tu ne répondrais jamais, j'ai besoin d'aide Maëlle *Souffle* Maëlle ? Je savais que je ne devais pas appeler. Mais tu sais que je n'ai plus personne. *Souffle* Ils nous on abandonner. Viens m'aider Maëlle. S'il te plait j'ai besoin de toi. *Souffle et toussotement* Il faut que je te laisse mais tu saisoù je t'attends Maëlle. »Il a raccroché, il y a un énorme blanc dans la chambre. « C'était qui ? »Je respire « Mon frère, ma mère l'a abandonné quand elle a su qu'il était atteint de la maladie de l'hypocondriaque. Alors la famille lui a tourner le dos, il n'y a que moi qui le contact encore. Mais j'ai arrêté l'année dernière, car j'ai appris que son père n'est pas le même que le mien, ce n'est pas ça le problème, mais sa mère est la meilleure amie de ma mère et non elle, en gros nous n'avons aucun lien de sang. J'ai arrêté car son père m'a menacé, il m'a dit qu'il dirait au média mon histoire et il ferait tout pour que ma vie soit ruinée. » Je prends la chemise par terre, et l'enfile. Je rentre dans le dressing, et prends un pantalon. Il me va parfaitement. Je reviens a l'encadrure de la porte et croise les bras. Il me regarde et hausse les épaules. Il s'approche de moi et met ses mains sur mes hanches. « Je savais que tu allais revenir, tu m'as interpellé. Je voulais savoir pourquoi tu avais tant d'audace. » Je soupire et prends mon téléphone. Il n'a plus de batterie, il faut que je rentre voir Cara. « Et maintenant que vous savez, vous allez faire quoi ? Je suis à la disposition de plein de personne. Je suis en tête des ventes avec vos dons. Mais les hommes vont vouloirs me prendre avec Cara. Je ne pars jamais sans elle. » Je descends les escaliers, Divin sur mes talons. J'enfile mes talons et me retourne pour lui faire face. Son torse est collé au miens, vu comme ça, il parait indomptable. « Ne t'inquiète pas Mindya, on se reverra » J'ouvre la porte, je lui fais signe de la main et je monte dans la voiture. Simon était déjà devant la porte. La porte de l'appartement s'ouvre sur une Cara en furie. Elle me prend le bras et me fait la morale pendant une demis heure. Elle s'inquiétait que je ne donne pas de nouvelle. Elle revient dans la chambre et se pose sur mon lit en s'excusant. Je rigole doucement et la rassure que je comprends. « Bon, cette fois si tu as dû faire quelque chose, au moins le début

- De quoi tu parles ? - Bah tu as bien dû faire des choses avec cet inconnus fortement beau gosse

- Oui

- Oui c'est tout

- Cara je ne vais pas tout te raconter

- Bah si justement, aller raconte »

Je m'assoie et commence mon récit

***Ellipse de la discussion***

Je rentredans le bureau du patron. Juste après la discussion, il m'a appelé. Je rentredans son bureau et m'assoie devant. Il me sourit et commence à fouiller unepochette remplit de feuille, il m'en tend une. Je regarde, la tête d'un homme yétait affichée, avec toutes les informations nécessaires. Et il met quatreautres fiches devant moi. Je les regarde, tour à tour. Un grand blond, un petitbrun, un moyen aux cheveux rouge, et deux autres hommes bruns. Je ne peux m'empêcherde regarder l'homme à la crète rouge. Je le pointe du doigt, sansdire un mot depuis que nous sommes rentrés, il n'y a aucun malaise. Juste dusilence, de la fatigue et de la confiance. Je le connais depuis peu et pourtantil y a déjà une confiance aveugle. Je me lève et pars avec la fiche. Je rentredans le dressing, et met de côté les robes rouges. Sur la fiche il est marquéque c'est une soirée tango. Je regarde mes robes et finalement, choisis unerobe a lacet, la robe est grise à froufrou rouge. Je m'attache les cheveux avecl'élastique rouge de la robe. Les talons bas, serons pratique pour danser.J'entends la porte de la salle de bain et me retourne. Cara sort, et siffle. Sarobe noire met ses formes en valeurs et ses talons haut la rends sexy. Jerentre dans la salle de bain, je prends ma trousse de maquillage, je prends unrouge à lèvre, un mate violet sombre. Je mets du glose par-dessus et nouspartons. Arrivé dans la grande salle, je repère un visage que je ne connais quetrop bien. Ses yeux rencontrent les miens. Il s'approche de moi, etme salut par un baise-main. « Si madame veux bien m'accorder cettedanse, ton client n'est pas encore disponible. » J'ai en face de moi, lecolocataire de Clément. « Avec plaisir, Monsieur ?