Chapitre 21 : Nona

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Tout le monde s'écarte, une battle de danse commence entre éternel etmoi. Il bouge au rythme de Vario – Nightmare. Il me lance le mouvement, avecl'alcool je danse un peu n'importe comment mais je reporte la bouteille a meslèvres, je descends la bouteille, je danse comme jamais, je rigole car c'esttrès gênant. Nous nous amusons toute la nuit, vers les 4 heures du matin nousprenons une chambre d'hôtel.

 Je me déshabille et pars me coucher. Je senséternel me retourner et commencer à m'embrasser dans le cou. Je réagis enposant ma main sur son bras, il rapproche ses lèvres des miennes, je m'arrête àquelque millimètre de sa bouche. « C'est comme ça que tu les dissuades d'êtreavec ton frère. » Il s'allonge à côté de moi et me dit « Tu sais le peu defemme de mon frère on toute fini par couché avec moi, tu es la "seule" qui nel'a pas fait, ou pas encore. » 

Je le regarde et éclate de rire. Nous nousendormons finalement vers les 6 heures du matin. Je me réveille avec un mal de crane, je pars prendrema douche, je reviens finalement après dix minutes de préparation. Eternel dorstoujours, je le réveille avec des secousses sur son épaule. Il me sourit, je leregarde partir sous la douche. Après avoir douché tout le monde, nous partonsdirection la maison familiale. Une maison superbe se présente devant nous,toute blanche, ce qui fait son charme. Avant de rentrer une femme m'attrape lebras. 

« Bonjour mademoiselle, je suis Emma, la servante de Madame Mirades. Ellenous a demandé de vous préparer à sa rencontre avec une préparation complète. »Je n'eu rienle temps de dire qu'Emma m'avait déjà emmené. Je rentre dans l'arrière de lamaison. Des tas de femmes font des taches. Certainefonts la vaisselle, d'autre le ménage. Je passe entre elles, personne ne meremarque. Nous franchissons une porte, pour atterrir dans un dressing. Toutesorte de tenue sont présenté. Des costumes pour femme, des robes de soirée, desrobes de ville, ... 

Je regarde Emma qui me désigne une cabine d'essayage. En sedirigent vers la porte, elle me dit « Dans 30 minutes soyez prête, mama n'aimepas attendre » Je regarde les robes, j'en choisis une, puis deux, je finis partout reposer. Je souffle, c'est si compliquer de choisir. Je cherche jusqu'àvoir une petite robe dans un coin, posé. Une robe très courte, elle est en deuxcouleurs, une partie du haut et la jupe sont rose pailleter, et l'autre partieest noir. Je l'enfile dans la cabine d'essayage. La robe fait ressortir mesformes. Emma arrive avec une trousse de maquillage-coiffage. Elle regarde larobe que je porte et souris. Je m'installe devant elle. Elle me tend une paired'escarpins noir, je l'enfile pendant qu'elle prépare le maquillage.

 Je fermeles yeux et me laisse faire, cinq minutes après je rouvre les yeux. Unmaquillage comme la robe, un dégradé passant par rose et finissant par noir. Unmaquillage parfait. Je me lève, mais me rattrape de justesse au siège. Jeregarde les talons, je ne pensais pas qu'il serait aussi haut. Je commence àmarcher et fini par m'habituer. Emma m'amène dans la grande salle, une dame esten train de hurler sur un homme, elle lui reproche d'avoir mis 3 roses rougealors qu'elle en voulait 2 rouges et une blanche. Elle nous entend surementarriver car elle se retourne. Me regardant de haut en bas, elle fronce lessourcils. Emma prend les devants « Mama, je vous présente eu... » Elle seretourne vers moi « Mindya Strong, Madame » dis-je en me penchant pour lasaluer. « Une Strong, ici ? Divin à totalement changer de gout on dirait » 

Ellemarche jusqu'à une table et m'invite à m'assoir. Nous discutons tranquillementet la fameuse question arrive. « Alors Mindya, vous êtes la fille d'AlbertStrong ? » La question qui ne devait pas se poser « Cela changerais quelquechose ? » Son visage se ferme « Oui cela change, nous pourrions unir deuxfamilles puissantes » Je lève les yeux aux ciels. « Je ne suis pas avec lui,pour l'argent mais parce que je tiens à lui. » 

C'est à son tour de lever lesyeux aux ciels. « Bien sûr tout comme toutes les autres. » J'allais répliquermais une femme nous interrompt par un raclement de gorge. Une autre femme trèsâgée est poussée par une autre. La servante la stoppe quand elle lève sa main.Elle nous sourit et dit d'une voix faible. 

« Approche mon enfant » La femmedésagréable à côté de moi se lève mais s'arrête « Pas toi, sale vipère » Jelève la tête, la vielle femme me dit d'approcher. Je me lève et m'assoie prèsd'elle. « Que tu es belle » Je rougis a ce compliment. « Vois-tu mon enfant, jesuis la Nona de cette maison, j'ai 14 petits enfants et j'ai aujourd'hui 98ans. La sale vipère là-bas est censée discuter avec toi, le temps que je viennemais elle se permet toujours quelque chose. » Sont regard se tournedoucement vers elle, je lui souris doucement. « Tu es la bonne » Mon regard estdoux, je lui prends la main et la colle sur mon front « May Deus custodiat te » 

Je relève la tête, cette femme à quelque chose en elle de Divin. Son sourireest rayonnant. Je me lève, toute la journée nous avons discuté et rigoler avecNona. À la fin de la journée Divin nous a rejoint.Miss vipère lui a sauté dessus en le draguant ouvertement. Nona regarde sonpetit-fils en souillant. Je prends son fauteuil et l'approche. Il nous regarde,son sourire montre surement jusqu'aux oreilles mais ses yeux sont remplis delarmes en plus. 

Je pars pour La route de retour, Nona m'attrape le bras...

Escorte et pas que ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant