Après avoir recommencé sa vie, T/p se rend compte que quelque chose cloche.
Elle commence à recevoir de mystérieuses lettres.
L'impression d'être suivi et observer tous les soirs quand elle rentre chez elle, les infos qui commence à parler de mafie...
Il est quelle heure... ? Je déteste le matin. J'allume mon téléphone et la lumière m'aveugle un instant.
T/P : Ta mère.
Je plisse les yeux et le poids d'un espèce d'éléphant me broie le ventre. Baekhyun et moi sommes sur le canapé. On a dû s'endormir ici hier soir. Je me lève du canapé en poussant le bras de Baekhyun qui était sur mon ventre.
Baekhyun : Mhh...
Je le pousse sur le bord et le regarde tomber par terre.
Baekhyun : Aaah !
Il vient de s'éclater au sol mais il dort toujours... Mon collègue est un monstre.
7 h 12.
Je m'éclaire grâce à mon téléphone et allume la cuisine pour laisser l'autre guimauve dormir sur le parquet. Il lâche quand même quelques grognements de douleur. Fallait pas m'écraser. Alors que je lui pique son sweat qui traîne sur la chaise j'entends qu'on toque à la porte. Franchement, les gens n'ont pas autre chose à faire que de toquer à sept heure du mat chez moi. J'ouvre la porte et un homme bien plus grand que moi baisse le regard pour me voir.
T/P : Je peux vous aider ?
Il semble surpris.
L'Everest : Je ne m'attendais pas à voir une femme. Excusez-moi, je suis votre nouveau voisin ! Je viens d'emménager juste en face et je pensais vous rendre visite.
Il a une voix très grave. Il pensait me rendre visite ? Mais il est déjà là ?
T/P : Ah d'accord. J'espère que votre emménagement c'est bien passé.
Il me sourit et ses dents parfaitement rangé et d'un blanc incroyable rivalise presque avec la salive qu'est en train de me mettre Baekhyun sur mon sol. Les lunette posé sur son nez tombe mais d'un geste très naturel il les remontes.
Le Mont Blanc : Parfait ! Au fait, je suis Mingi.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
T/P : Enchantée, T/P.
Je lui tends la mains et il me la serre en remontrant ses petits blocs de quartz bien alignés. Il n'a pas l'air méchant pour un sous.
T/P : Vous voulez entrer ? J'allais prendre le petit déjeuner.
Ses yeux se mettent à pétiller et je comprends la réponse. Je me pousse sur le côté et lui laisse la place pour passer. Il me frôle en passant et une odeur de parfum très masculin m'assaille les narines.
T/P : Ne faites pas attention au tapis là-bas. Il va bientôt dégager de toute façon.
