Après avoir recommencé sa vie, T/p se rend compte que quelque chose cloche.
Elle commence à recevoir de mystérieuses lettres.
L'impression d'être suivi et observer tous les soirs quand elle rentre chez elle, les infos qui commence à parler de mafie...
J'entends Chan qui pousse un hurlement de loup-garou des montagnes de Pennsylvanie alors que je touche à peine le bout de ce magnifique sandwich devant moi. Jeongin me regarde avec de grand yeux alors que je fais une moue.
T/P : Dit moi que je peux ne pas y aller et commencer l'amour de ma vie qui est juste devant moi...
Je pince mes lèvres alors qu'il attrape délicatement mon précieux et le pose dans une assiette devant ma place.
Jeongin : Je ne crains que tu doive y aller en quatrième vitesse.
Il sourit alors que je me lève à contre cœur.
T/P : Si je ne reviens pas entière, dit lui que je l'aimais de tout mon cœur.
Je prends un air faussement tragique et tend la mains dans le vide vers ces tendre tranches de pains qui n'attendent que mon retour.
T/P : Maman reviens vite mes chéries.
Et sur un dernier soupire de rire de Jeongin, je file vers les escalier en direction de la bête du Gévaudan qui m'appelle encore une fois alors que j'arrive juste au premier étage. Je vois Felix qui sort du bureau et qui me regarde plutôt mal tandis que je sens quelqu'un qui arrive derrière moi dans l'escalier. Quand j'entends sa voix insupportable, je sais tout de suite qui est bien gentiment presque sur mon épaule mais qui garde tout de même une certaine distance. Son corps chaud derrière mon dos me fait des frissons, le simple fait d'entendre sa voix juste à côté de mon oreille me surprend.
Jisung : On dirais que la petite fille va se faire engueuler par le grand méchant loup.
Il me dit ça en regardant Felix venir vers moi les bras croiser. Jisung rigole petitement d'un air sournois dans mon oreille et me fait comprendre qu'il me laisse bien seule dans ma merde.
T/P : Le Gévaudan du con t'as pas suivi ou quoi...
Je souffle un bon coup et part bien décidée, vers l'antre de la bête.
Arrivant à la porte du bureau Felix pose sa main sur mon épaule avant que je n'entre.
Felix : Je sais que j'aurai dû t'en parler avant mais sur le coup j'ai paniqué...
Un sourire crispé se glisse sur son visage et il m'ouvre la porte. Ce débile m'a envoyé tout droit dans les griffes du diable.
Felix : Bonne chance princesse.
Je rentre. Mais alors que je cherche Chan des yeux, je le vois les mains posé à plat sur le bureau, il est debout devant sa chaise, la tête penché vers le sol comme s'il réfléchissait ou qu'une extrême colère lui montait au nez.
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T/P : Tu t'entraines pour faire un Kamehameha ?
Oui bon... On fait comme on peut pour d'étendre l'atmosphère d'accord !
Chan lève simplement la tête vers moi, le regard noir et me pousse doucement du doigt mon téléphone sur le cuir du bureau, l'écran allumé.
Chan : Tu savais ?
Je viens vers lui et regarde l'objet qui m'attire autant d'ennuis. La couleur blanche et les bulles de couleur bleu attire directement mon attention. Je lis les messages qui sont affichés venant d'un contact inconnu.
+00********* :
Je t'ai dit qu'il fallait que tu passes un de ses 4. Enft je veux qu'on se voie maintenant.
Un de mes gars viendra te chercher.
JK.
Le moment où Jungkook me parle me reviens complètement en tête alors que je l'avais affreusement oublié et je commence à comprendre pourquoi il y a tout ce raffut. Maintenant il suffit de sortir mon être de ce gros merdier.
T/P : Chan c'est absolument pas ce que tu crois.
Les mains du leader du district 9 claque le bois sous ses doigts et je sursaute d'un coup.
Chan : Je ne crois rien.
Il me regarde. Non, il sonde au plus profond de mon âme.
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Chan : Comment se fait-il qu'ils aient ton numéro ?
T/P : J'en sais rien.
Chan : Depuis quand tu es leur amie ?
T/P : J'en sais rien.
Chan : Tu comptais m'en parler ?
T/P : J'étais même pas au courant de l'existence de ce message !
Il refrappe.
Chan : Ne joue pas au plus con avec moi !
Je ne sais pas pourquoi il est autant sur les nerfs mais je sens que si ça continue quelqu'un va y laisser des plumes et ça ne sera sûrement pas le molosse devant moi.
T/P : Écoute, je n'ai pas regarder ce message, je ne sais pas pourquoi il veut me voir, je ne sais pas non plus comment ils ont pu avoir mon numéro. Mais si tu penses une seule seconde que tu peux me hurler dessus juste parce que tu diriges les hommes qui sont dans cette maison, j'ai une grande nouvelle pour toi, je n'y fais plus parti depuis déjà un an !
Le ton fort et dur que j'ai pris me surprend moi-même. Il ouvre grand les yeux et toute la froideur de son regard disparaît d'un coup. Son teint déjà bien blanc devient presque livide et il s'assoit sur sa chaise.
Chan : Je ne me permettrais jamais de te donner d'ordre. Je m'inquiète juste. Pour toi... Pour mon amie.
Il pousse du revers de la main mon téléphone et me pris de sortir. Je lui jette un dernier coup d'œil et sort de la pièce mon téléphone au fond de la poche.
