chapitre 18

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J'arrive pas à y croire.... C'EST PAS POSSIBLE ! Je cours dans la rue alors que je sers les poings de rage. Mes pas se dirigent tout seuls. Après avoir quitté les garçons d'un coup j'ai juste couru le plus vite vers la première station de police que j'ai vue.

T/P : Bonjour je- je cherche quelqu'un...

Policier 1 : Je peux vous aidez ?


Oui connard je viens de te le dire je cherche quelqu'un.

T/P : Est-ce que vous connaissez un Mingi ? Il est plutôt grand- Non il est grand, comme ça environs.


Je montre avec ma main alors que je tremble. De peur ? De tristesse ? De surprise ? J'en sais rien... J'ai juste l'impression d'avoir été trahie. Que l'homme que j'ai vu me sourire n'est autre qu'un menteur. Et s'il m'avait approché juste pour la mafia ? Si je n'étais qu'un objectif ?

Policier : C'est un ami à vous ? Une connaissance ? Ça ne m'aide pas ma jeune dame de savoir sa taille...


Il soupire alors que je le regarde. Le policier en face de moi en a strictement rien à faire de ce que je lui dit.

T/P : Non, c'est aussi un po-

Policier 2 : Bon, madame, si c'est juste pour nous faire perdre notre temps, aller donc le chercher avec vos autres amis imaginaires hein !


Le second policier me fait signe de la main de partir alors que je m'épuise à leurs faire comprendre que je suis pas folle.

T/P : Quelle bande d'incapable...

Je pars sur cette dernière note et attrape mon téléphone dans ma poche arrière.

T/P : Commissariat le plus proche.

Siri : Bien sûr, je cherche une commissure sur le porche. Voici les résultats obtenues.


Je vais le balancer parterre... Je tremble des mains alors que je rage encore plus en essayant de taper quelque chose de compréhensible sur le claviers. Mes a sont des z ou encore des s. J'ai l'impression d'être encore plus manchot qu'un vrai qui aurait des moufles.


300m


Je m'élance à toute allure. Peu importe si le feu est rouge, je vois même cette voiture qui me fonce dessus. Je l'évite de justesse et continue ma route vers le commissariat. Quand j'arrive devant le bâtiment je bouscule un homme avec une petite fille, je m'excuse légèrement et fonce vers les porte vitré.

Un homme derrière le comptoir se lève d'un coup quand il me vois entré.

L'homme debout : Je peux vous aidez ?


T/P : OUI ! ... Pardon... oui je cherche un policier, 'fin je crois qu'il est policier.

L'homme debout : Calmez-vous... Respirez madame. Vous avez son prénom ?


Sa voix est douce. Il me rassure comme il peut alors que je frôle la crise de panique. Sa main passe légèrement derrière moi et me caresse très lentement le dos.

T/P : Mingi...


L'homme en face de moi fronce les sourcils et regarde autour de lui. Il jette un coup d'œil à ses collègues qui lui revoient un signe de tête.

Mafia II ITERMINEIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant