Chapitre sixième : un nouveau visage

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N'oubliez pas de commentez pour me dire ce que vous en pensez, bonne lecture
-DeadToKill😈
Je me trouvais à présent dans les archives de la bibliothèque. J'étais à la recherche du journal, de ce jour funeste où tous s'était enclenché. Un vulgaire bout de papier représentant le début de ma descente aux enfers.
Je le tenais dans les mains. Ce morceaux de papier jaunis par le temps était pour l'instant une des mes seules pistes. Je le glissai discrètement dans la poche arrière de mon pantalon de fortune et partis. Lors de ma sortie, la bibliothécaire ne cessa de me toiser tel un pestiféré. Soudain son nez s'était étiré et des cornes lui avait poussait. J'étais partis en courant ne désirant pas à avoir à faire de nouveaux à ces viles créature du mal. Sans doûte étaient-ils déjà a ma recherche pour l'attaque du loup-garou. Lucie avait raison, les méchants était partout. En réalité, ils l'avaient toujours étaient mais je ne m'en était tout simplement pas rendu compte.

Je m'assis paisiblement dans un endroit peu fréquenté de la ville, afin de lire tranquillement l'article de journal. Tandis que je lisait et relisait mes yeux s'embuaient de larmes. Ce document ne fesait que le rappelait ma solitide. De me rappeler mon état d'orphelin schizophrène. J'étais pitoyable, mais j'avais une mission.
Il était écrit que le suspect principal, un certain Olivier Pyros avait était relaché, faute de preuve. Je devais le retrouvé, ce meurtrier, ce monstre, c'était lui le tueur je le sentais rien qu'en regardant sa photo sur le papier. J'allais lui faire payer, et il allait souffrir pour ça. C'était de sa faute si j'étais devenu ce que je suis aujourd'hui. Donc tous mes actes, mes meurtres sont aussi sa faute, il a tué ma mère adoptive, Angélique, je te vengerai. Il a aussi tué l'infirmière, elle qui n'avait rien fait. J'allais le détruire et l'envoyé en enfer la où il serait damné et condamné aux travaux forcés pour l'éternité et bien plus.

Cependant pour arriver à mes fins, je me devais de retourner dans l'antre de cette horrible bibliothécaire à corne, chez cette vaches. Je fis alors le chemin inverse, le fesant le plus discret possible. En passant devant une vitrine, je constatai à quel point je me ressemblait, il falait que je change j'étais trop reconnaissable pour la population et surtout pour la police.

Je changeai de direction, et me rendis dans des toilettes publics.
Je verrouillai la porte, sortit mon cutter, et commença mon oeuvre. J'allais changer d'apparence, je ne serai plus le petit orphelin, ni le fou. À présent, je serai le vengeur. Tandis que je m'entaillais le visage et que mon sang commençait à recouvrir le carrelage, je ne songeait à rien. Je n'étais qu'une carapace vide, une robot programmé pour ne rien ressentir,près à tuer. Je ne savais même plus si j'était, en fin de compte.

Je devais faire peur à voir, mais c'était le prix à payer, j'était méconnaissable les gens n'osaient même plus me regarder dans la rue. Tant mieux.

Arrivé à proximité de la bibliothèque je constatai que des policiers discutaient avec la méchante femme de tout à l'heure. Alors je filai tant qu'il en était encore tant. Même si j'avais changé, je devais être vigilant, très vigilant. Je devais trouver des habits de rechange, ceux-ci devant sûrement être désormais inscrit dans mon portrait de "tueur" -que je n'était plus-. Tous ces contre-temps dans mes plans me contrariaient énormément et ne fesaient qu'accentuer ma rage. Ma vengence n'en serait que plus douloureuse. On dit que la vengence est un plat qui se mange froid, mais là ça sera du surgelé.

Je devais absolument trouver un moyen d'obtenir l'adresse de cet Olivier. Je ne pensais pas que la tâche serait trop ardue vu que Pyros n'était pas un nom très américain. Enfin la chance serai-t-elle de mon côté ? J'espérais que oui, et si c'est le cas elle avait bien raison de se ranger du côté des gagnants.
Olivier Pyros, prépare toi, j'arrive et tu ne t'en sortira pas aussi facilement qu'avec les policiers. Ils auraient mieux fait de te tuer il y a des années de ça. Mais puisque qu'ils ne l'on pas fait, je vais m'occuper de ton cas.

Go out of my head!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant