Go out of my head!

Chapitre douzième : revenus pour moi?

J'étais dans le salon, allongé sur le sol. Je réflechissais et la fraicheur du carrelage m'aidait. Je devais mettre mon plan à execution, mais avant ça, il fallait que je trouve un plan... Des idées ? J'en avais pleins, même trop... Je me levai d'un bond et allait dans la grange.
C'était une vieille grange, rien d'exeptionnel, de la paille, des box... Je me demandai juste pourquoi est-ce qu'il n'y avait pas d'animaux. C'était bizarre. Je me dirigeai vers mon "sac de boxe" improvisé. Je l'avais bricolé l'autre soir avec un peu de foin. Je tapais dessus de toutes mes forces, et c'était largement insuffisant à le faire bouger. Mes bras étaient si frêles... J'avais vraiment besoin d'un préparation physique adaptée. Je continuai de taper : coups de poings, coups de pieds.
J'étais vraiment épuisé, je me décidai à rentrer à la maison. En traversant le jardin, je m'aperçu qu'il faisait déjà nuit noire.
J'allai au congélateur pour récupérer un morceaux de monsieur. Je le balançai dans le four pour qu'il décongèle. Ce n'est qu'en le mettant dans la poele que je remarquai qu'il sagissait de morceaux peu ragoutants. Je m'assis à la table avec mon assiette d'abats et d'oreilles. Je n'allais pas faire le difficile, trop crevé.
Mon repas terminé, je balançai mon plat dans l'évier et me jeta sur le canapé. J'étais vidé, je m'étais endormis sur le coup.
Je fus réveillé tard dans la nuit par le bruit de la sonnette. Je sursautai, je me déplaçai lentement vers le juda et constatai avec effroie que cette personne ressemblé comme deux gouttes d'eau au fermier... Un soupir s'était coincé dans ma gorge. Je me saisi d'un sac, y plaçai quelques provision et sortis par la fenêtre.
J'attrapa une hache à l'extérieur de la maison, je me mis derrière l'homme et le mis à mort. Il était allongé au sol, bras et jambes écartés. Je le démembrai à l'aide de mon arme. Ensuite je lui coupa la tête, ne laissant que le tronc. Je me saisi de mon briquet, mis le feux à la plus grosse partie de son corp, dispersai ses membres et mis la tête dans mon sac. Je pris fermement la hache entre mes deux main et courru vers la forêt. Je revins en arrière en me disant que si les gens savait que c'était moi qui avait fait ça ils feraien sûrement plus attention à moi, ils veraient qui j'étais réellemeent. Je m'entaillai le poignet et répendis un peu de mon sang sur les lieux du massacre. Je repartis ensuite vers les bois, solidement armé, près à tuer, près à assumer mon destin, près à me venger...

Désolée, ce chapitre est un peu court mais le prochain rattrapera. J'ai bien la trame de l'histoire en tête mais si vous avez des idées qui vous plairaient n'hésitez pas à proposer
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DeadToKill