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Aujourd'hui est un grand jour, la première fois que je vais à l'université. Je me présente, je suis Jungwoo j'ai 17 ans et je vais à l'université de Sky. J'aime beaucoup la littérature Française. Je trouve que le français est une langue riche et agréable à écouter. Je vis avec mes deux frères dans un appartement sur le campus à Gyeongju non loin de notre école.
Gyeongju possède un joli temple nommé Temple de Bulguksa. J'aime aller me ressourcer et oubliez-le traqua quotidien. Je ne suis particulièrement croyant, mais je pense qu'avoir de l'espoir en quelqu'un permet d'avancer même parfois de se surprendre soi-même. Je suis souvent la tête dans les étoiles à imaginer des histoires quine verront jamais le jour. Mais j'aime ça, concevoir un monde qui serait comme je voudrais qu'il soit.
J'ai oublié de parler de mes deux frères. Taeyong est l'aîné de la famille. Il est grand et musclé contrairement à Doyoung qui est plus frêle et plus petit. Ils sont tous en 3eme année, l'un étant né en janvier et l'autre en octobre. Ils sont très protecteurs et appréhendent plus que moi mon arrivée dans le grand monde des études supérieurs. Il est 7 h, et il est grand temps que je me lève pour aller à l'université. Je pars sous la douche, m'habille d'un simple sweat noir, d'un pantalon droit noir et d'une paire de vans bleu électrique.
Je descends dans le salon et me dirige vers la cuisine d'où émane une douce odeur de crêpe. Depuis que j'ai faits découvrir la France à mes frères, nous ne mangeons que des plats typiques français. Je prépare un jar de thé vert pour pouvoir me tenir éveillé toute la journée. J'ai des problèmes de sommeil.
Depuis la mort de nos parents je fais régulièrement des cauchemars. Je n'en ai pas parlé à mes frères car cela les inquiéterait beaucoup trop. Je préfère vivre avec et peut-être un jour ne plus en faire. Je sens l'aura stressée de mes frères envahir la pièce. Je soupire avant de leur dire :
-arrêtez ça maintenant. Je vais juste à l'université, pas besoin de vous affoler. Je ne suis pas anxieux, alors ne me donner pas votre stress. Je suis maintenant assez grand pour diriger ma vie.
Avant qu'ils n'aient le temps de répliquer, je monte à l'étage chercher mon sac et mon skate et pars en direction de ce que je surnomme le lieu de la liberté.
