Chapitre 38

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Je suis allée le plus loin possible, c'est à dire à l'autre bout de là où je me trouvais. Je me suis dirigé vers le Tartare, précisément à côté de son entrée. Je me laisse aller contre la parois, je sens les larmes monter, j'ai mal réagit... J'entends les voix du tartare m'appelez. Pour l'instant ils me retrouveront pas, je vais être tranquille un petit moment.

Les voix essaye de me tromper en utilisant nos points faibles. J'essuie mes larmes rageusement, sa sert a rien de pleurer. Je reste ici sans voir le temps passer. Deux heures que je suis dans la même position sans bouger. Les voix me font mal à la tête et je crois que si j'étais pas aussi puissante, Cronos aurait réussi à me parler et me faire perdre la raison. Je suis fatigué mais pas assez pour m'endormir.

Perséphone: Rose !

C'est bon, ils m'ont retrouvés. Je bouge pas, j'ai pas envie de les voirs, pas maintenant, c'est pas le moment. Quelqu'un se place devant moi, à genoux.

Hadès: lève la tête

Il me prend le menton et me force à lever ma tête mais je détourne les yeux.

Hadès: pourquoi t'es venu ici ?

Je regarde l'entre et j'avoue que moi même je sais  pas pourquoi j'ai pensé à venir ici, peut être pour pas qu'ils me retrouve ? J'ai pas vraiment réfléchie.

Rose: je sais pas..

Il se lève et prend mon bras pour me relever et je manque de tomber. Au fait, je peux plus tenir debout à cause de toute ces voix qui m'affaiblisse. De plus, plus tu es triste, plus c'est facile de t'avoir. Je ferme les yeux et m'accroche à mon père au risque de tomber dans les pommes, tout mes cauchemar me reviennent en tête et mon corps se met à trembler de peur.

Hadès: partont d'ici

J'ai même pas la force de parler, il nous téléportent dans le château.

Rose: je suis désolé....

Malgré que on ce soit éloigné, cela ne n'empêche pas de penser à tout ces cauchemars, à ces quatre jours dans cette prison. Je m'étais fait attaquer par des monstres qui avait prit l'apparence de mes amis et ils me disaient des choses horrible J'avais beaucoup de mal à avancer avec tout ces horribles cauchemars me hantait.

Hadès: Rose, réveille toi

Je sort de mes pensées et j'ouvre les yeux difficilement. Mon corps a arrêter de trembler, je reprend mes esprits et je remarque que je suis à l'olympe, précisément dans ma chambre. Je sors des bras de mon père, soudainement agacé.

Rose: pourquoi tu m'as emmené ici ?

J'ai pas la force de me battre ni l'envie de me disputer.

Rose: non, tu sais quoi laisse tomber, j'ai pas envie de m'engueuler

Je m'assois sur le lit et met la tête dans mes mains, mes coude posé sur mes genoux, mon journal posé à ma droite et mon père qui s'assoit à ma gauche.

Hadès: je suis désolé
Rose: pourquoi ? pour m'avoir téléporter ici ? m'avoir forcé à venir en enfer ? ou avoir lu des pages de mon journal et m'avoir écouté ? ou encore, par ce que tu t'en veux de ce qui m'arrive ?

Je leur regarder dans les yeux, il est un peu surpris et semble sans vouloit. Il soupire décourager et me répond.

Hadès: pour tout ça
Rose: prenez mes pouvoirs si sa peut permettre que je sois tranquille
Hadès: non ! je permettrais pas ça une seconde fois. Rose, on t'a perdu pendant quinze années, on a pas pus être là quand tu en avais besoin, on n'a pas été là pour tes première fois, on n'a manqué beaucoup de choses et on n'est désolé, mais aujourd'hui on veut être la pour toi, on veut rattraper le temps perdu

Il devient trop gentil que sa pourrait faire peur, mais sa me touche réellement. Je dois être heureuse et profiter de ma famille Oublier tous ce qui sait passer, peut être que sa m'aidera Je le fixe quelques secondes avant de passé mes bras derrière son cou et posé ma tête sur son épaules.

Rose: moi aussi je veux rattraper le temps perdus

Il passe ses bras derrière mon dos, il est devenu plus sociable ou ses mes mères qui l'on conseillé, je me retiens d'exploser de rire à ma pensée, je peux pas m'empêcher de glousser en imaginant qu'il est eu un cour sur les interactions sociales.

Hadès: qu'es qui te fait rire ?

Je sort de ces bras et prend un air innocent.

Rose: rien

Il est sceptique.

Hadès: faut vraiment t'apprendre à mentir, on me l'a fait pas à moi

 Finalement j'éclate de rire a me tordre en deux alors que le pauvre il est perdu.

Rose: c'est qui a hahaha qui t'a appris à avoir des interactions ah ah ah ah ah social

Je peux plus, je suis plier en deux à me tenir en le ventre, j'en pleure tellement.

Hadès: tu crois quoi ?
Rose: que mes mamans ton donné des cours sur comment réagir quand on n'a une adolescente sur le dos

Toujours pliée en deux, je le vois sourire.

Hadès: tu as deviné ça toute seule ?

Je rêve ou il se moque, je me redresse un sourire sadique collé au lèvre

Rose: oui, et toi c'était comment de rester assis à écouter comment avoir des interactions sociales comme un enfant ?

Touché il perd son sourire et je suis repris d'un fou rire alors qui me regarde dépité ce qui redouble mon hilarité.

Rose: ta tête je suis morte ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah les pauvres je les plaint ah ah ah ah ah ah ah

Je crois que je l'énerve à me foutre de lui. Je me calme au bout de dix minutes et j'essuie mes larmes.

Hadès: tu es toute rouge
Rose: j'ai chaud

j'enlève ma veste et me laisse tomber sur le dos et reprend ma respiration.

Rose: c'est quoi cette entraînement ?

Je reprend beaucoup de sérieux.

Hadès: tu verra
Rose: ça commence quand ?
Hadès: demain matin à la première heure

Un silence réconfortant née dans la pièce et je commence à m'endormir mais je doit encore me changer, je me force à me redressé

Hadès: bonne nuit
Rose: bonne nuit

Il m'embrasse sur le front et je reste bloqué, choqué, et cette fois c'est lui qui se moque.

Hadès: les interactions social Rose
Rose: très drôle

Je lève les yeux au ciel et il part en riant, je prend une douche et prend un short et tee-shirt et vais me coucher.

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La Princesse Des Enfers_ Tome 2- Le Poison, quand l'amour est ton ennemieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant