la feuille perdu de konoha [OC Naruto]

Chapitre 10 : Un secret dévoilé

Naruto : Montre nous ce que tu as appris à Kumo.

Moi : Tu n'a pas oublié... Soufflais-je dépité.

Naruto : Bien-sûr que non dattebayo !!

Kakashi du haut de sa branche lève la tête de son livre, lui aussi intéressé par ce que j'ai appris à faire à Kumo. Je souffle une nouvelle fois en me levant.

Je me lève et tous ce déplacent pour me faire face, le temps que chacun ce place à sa convenance, je me rend dans mon fort intérieur.

Fort intérieur de Kitaï

"Kurama : Hey gamine, tu te sens prête à leur montrer, sa y est.

Moi : Non, mais j'ai pas le choix, tu as entendu mon frère et tu sais à quel point je n'aime pas perdre...

Kurama : Oh oui, et mieux que quiconque sur cette terre, bon aller, montrons leurs de quoi on est capable."

Retour à la réalité, ils sont tous en face de moi, je sent leur regard.
Je joints les mains et ouvre mes yeux qui sont désormais rouge, trois traces noirs apparaissent sur chacune de mes joue, mes cheveux se lève dans les air et s'embrase, ma tenu deviens jaune orangé comme des flammes, des traces noirs apparaissent sur mon corps en partant de mon nombril. Toute ma peau deviens flamme.

À cette vue tout le monde eu un mouvement de recul, même Kakashi à failli tombé de sa branche.

Moi : Je vous présente le mode Kyubi... En gros j'ai le total contrôle de son chakra et de son apparence. Ceci est la première phase. Ensuite il y a la phase deux. La tête de Kyubi apparaît autour de moi faisant pousser des cris à certain de mes nouveaux amis. Et ensuite il y a la phase trois ou il est entier mais ici il n'y a pas la place et je ne veux pas vous effrayer plus que vous l'êtes. Dis-je en me grattant l'arrière du crâne en reprenant mon apparence normal.

Tous été bouche bée. Ils ne savaient pas quoi dire. Certain été effrayé comme Sakura, Ino ou Kiba d'autre été impressionné comme Neji ou Shikamaru , d'autre encore été admiratifs comme mon grand frère et Lee, les autres avaient un mélange d'émotions, Kakashi lui été inquiet et interrogateur, il partit à l'instant ou j'étais redevenue moi même. Je m'installe alors en tailleur prêt de la foule, un sourire montrant toutes mes dents et toujours une main grattant l'arrière de mon crâne.

Moi : Il peut aussi décidé quand il veut avec mon accord de se manifester et de vous parlé enfin, sa tête apparaît.