Manga x Reader 1 [COMMANDES FERMÉES]

✨Trafalgar Law X Reader✨

PDV de Law :

Je cherche ma femme, qui est introuvable alors qu'elle était pourtant près de moi au début du combat.

Law : (t/p), où es-tu ?

(t/p) : Je suis là.

Je la vois en train de se battre, un peu plus loin, contre un homme banal. Je m'avance naturellement vers elle et l'homme est battu, sans grande surprise.

Law : Tu as encore battu quelqu'un ?

(t/p) : Ouais mais, je n’ai pas utilisé ma dague cette fois. T'as vu, je fais des efforts comme tu me l'as demandé.

Law : Tant mieux alors, on avance.

(t/p) : Avant de rentrer au navire, je dois m'occuper de lui, là-bas, car, il nous a insulté. Ce n'est pas la peine de fuir, je vais t'avoir.

Je tourne la tête et vois un autre homme retenu, par des dagues contre le mur. Heureusement qu'elle a dit qu'elle ne s'en était pas servie... Elle s'occupe de lui refaire le portait et revient vers moi en étant souriante. Elle est légèrement flippante à sourire normalement alors qu'elle vient de les exploser mais, c'est comme ça que je l'aime après tout. J'aime ce côté-là chez elle et aussi son physique que je trouve adorable même si elle dit ne pas l'aimer.

Law : Tu as fini de t'amuser ? On peut rentrer ?

(t/p) : Oui, je te suis.

Nous rentrons ensemble au navire et les autres nous accueillent chaleureusement. Notre enfant vient vers nous, en courant, et nous fait un gros câlin, c'est notre petit rayon de soleil.

(p/e) : Maman, Papa ! Vous êtes rentrés ! Maman, tu saignes encore, viens avec moi on va jouer au docteur et je vais te soigner.

Elle rigole joyeusement et suit notre enfant pour se faire soigner ses petites égratignures. Je les suis et observe la scène que je trouve mignonne. Voir notre enfant s'intéresser autant à la médecine me fait penser à moi, à son âge, quand j'étudiais la médecine avec mon père.

(p/e) : Ça va mieux, maman ?

(t/p) : Ça va beaucoup mieux maintenant, merci pour les soins.

Elle le prend dans ses bras et ils se font un énorme câlin en rigolant joyeusement. Ils se mettent à me regarder et ne disent plus rien l'espace d'un instant.

(t/p) : Tu viens nous rejoindre ou tu attends le déluge ?

(p/e) : Viens, papa.

Law : J'arrive.

Je me joins à leur câlin et cela semble les rendre heureux, ils sont comblés de bonheur. Nous arrêtons notre câlin et passons l'après-midi à parler tous les trois.

(p/e) : Dis maman, comment tu as rencontré papa ?

Je m'étouffe pendant que je bois ma boisson et repenses à notre première rencontre.

Flashback :

J'arrive sur l'île que j'avais en vue et une femme se dresse immédiatement devant moi. Elle tient une dague dans la main et est couverte de sang, de la tête au pied. Il y a des personnes ensanglantées par terre, tout autour d'elle, c'est un vrai massacre.

(t/p) : Tu es Trafalgar Law, toi aussi tu es une tête à prime, intéressant.

Elle s'approche de moi et jette ses dagues vers moi mais, malheureusement pour elle, rien ne m'atteint grâce à mon pouvoir.

(t/p) : Je ne pourrais jamais t'avoir avec ton fruit du démon, quelle plaie.

Law : En effet, tes dagues n'auront aucun effet sauf si elles sont en granit marin et qu'elles parviennent à me toucher.

Elle a réessayé plusieurs fois de me faire la peau mais, sans grand résultat. Elle a également essayé de s'en prendre aux autres membres de l'équipage mais, ils ne sont pas du tout blessés, ils évitent les pièges tendus à leur encontre. Cette femme nous a suivis bien longtemps et au fur et à mesure des attaques répétées, nous avons appris à la connaître et on a difficilement noué des liés d'amitié avec elle. Elle a arrêté de nous attaquer et nous a suivi, encore une fois. Je lui ai finalement proposé de nous rejoindre car, j'avoue, elle me plaisait beaucoup et je trouvais ça dommage de la laisser seule sur cette île quasiment déserte.

(t/p) : Et qui vais-je bien pouvoir attaquer si je rejoins ton équipage ? J'aime m'en prendre à des pirates pour leurs primes.

Law : Tu pourras t'en prendre à ceux qui parlerons en mal de nous. Comme ça, tu n'es plus seule et tu pourras continuer à te battre avec des gens. Ça te convient comme marché ?

Je lui ai tendu la main et elle a finalement accepté après avoir réfléchi.

Fin du flashback.

J'attends de voir ce qu'elle va bien pouvoir répondre à notre enfant à propos de toute cette histoire.

(t/p) : Euhhhh... Alors, tu vois, papa est arrivé avec un beau cheval blanc et a secouru maman contre des gens vraiment méchants.

(p/e) : Comme dans les contes de fées ?

(t/p) : Exactement et papa a donné une belle rose rouge à maman en lui disant qu'elle était super belle, comme une princesse. Après papa et maman sont partis tous les deux sur le beau cheval blanc en étant amoureux et-

Law : Elle a voulu m'assassiner, voilà tout. Elle ne veut pas te choquer mais, c'est ce qu'il s'est passé.

Notre enfant nous regarde à tour de rôle et semble plus croire ma version des faits que celle de (t/p).

(t/p) : Law !

Law : Bah quoi ? C'est mal de mentir, c'est toi qui ne cesses de le répéter à notre enfant. Donne-lui le bon exemple en étant honnête.

(t/p) : Tu ne pouvais pas me laisser rêver cinq minutes, c'est trop demandé ?

Je me lève pour la prendre dans les bras et l'embrasser gentiment.

Law : Aller, je m'excuse. Boude pas, je t'aime. Tu peux rêver autant que tu veux, je ne briserai plus tes rêves d'amour comme dans les contes de fées.

(t/p) : T'as de la chance que je t'aime.

Notre enfant vient se coller aux jambes de (t/p) et nous regarde avec son air d'ange.

(p/e) : T'en fais pas, maman. Je suis sûr que, même si ça a mal commencé, tu aimes papa à l'infini et c'est ça le plus important.

(t/p) : J'aime papa mais, je t'aime fort aussi.

Je les regarde joyeusement se câliner et s'amuser ensemble. J'utilise mon pouvoir pour faire apparaître des jouets que j'avais cachés à bord du navire. Je ferai en sorte que mon fils soit heureux et vivent le plus longtemps possible. J'ai eu la chance de pouvoir former une famille et, celle-ci, je la protégerai, coûte que coûte. Je ne veux pas perdre une nouvelle fois ceux que j'aime sans rien faire. C'est pour ça que je n'ai jamais cessé de devenir plus fort, je veux les protéger, tout simplement.