SEUL

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Pdv extérieur:

Jungkook allait enfin rentrer chez lui après un mois passé loin de sa "famille". En y réfléchissant bien, il commençait à regretter ces actes et voulais rentrer chez lui pour avoir des nouvelles du couple. En effet après sa révélation il était sûr que sa sœur et son premier amour avaient non pas divorcé mais bien rompus. Après tout qui pourrait rester avec un homme qui a couché avec son petit frère ?

Enfin c'est ce qu'il se disait car en rentrant dans sa demeure il retrouva ses parents ainsi que les jeunes mariés assis sur le canapé ayant apparemment une discussion assez sérieuse.

Personne ne semblait l'avoir entendu arriver ce qui lui permis d'observer les personnes présentes dans la pièce.

Sa mère et son père étaient tout deux assis sur un canapé et en face d'eux se tenait le couple. L'élément qui fit réaliser à notre jeune Jungkook que sa sœur était encore attachée à son amour était le fait que sa main soit entrelacé à celle de son mari et que celui-ci lui maintenait bien fort sur sa cuisse comme si il avait peur que son appuit s'en aille pour de bon.

Ne supportant plus cette vision, il voulait se diriger vers sa chambre mais son geste soudain fit réagir sa mère qui lui demanda de s'assoir près d'eux. Sa voix était sèche et ne présentait rien de bon pour la suite de la conversion. Il ne pouvais dire avec certitude ce qu'allait révéler sa mère mais il était sûr d'une chose il allait être encore une fois blessé.












Pdv JK:

Je sentais Jungkook m'appeler. Son appel était affolé comme si il voulait à tout prix que je le sauve. Que je le sauve de cette situation, de cette famille, de cette vie. Car autant lui que moi savions que cette conversation serrait la dernière qu'il aurait entre sa famille et lui.

Je me devais de prendre sa place car après tout c'était ça mon rôle premier le protéger de tout ce qui peut-être un danger pour lui et à cette instant, le danger était sa famille. Je devais prendre sa place .

Cependant je savais qu'il devait quand même être la pour écouter les propos de ses géniteurs car a chaque fois que je le sauvais il ne se souvenait plus de rien comme si tout était un mauvais rêve et cette fois-ci je ne pouvais laisser ça faire.

Alors pour la première fois je le laisser perdre sa place mais pas perdre ses émotions. Il devait voir qui était vraiment sa famille, a quel point ça peut être blessant d'avoir l'impression d'être la bête noir de la famille.











Comme suggère par cette femme, je me suis assis dans le canapé juste à côté du couple.
Au début personne ne parlait et ce n'étais certainement pas moi qui allais gaspiller ma salive pour des gens aussi égoïstes.

Au bout d'un certain temps qui me parut une éternité, la mère de famille m'adressa enfin la parole.

- A qui ai-je l'affaire ? Mon fils ou l'autre dégénéré ?
- A ton avis maman ? Répondis- je avec ironie.
- Très bien puisque c'est comme ça je ne vais pas passer par quatre chemins. Après une longue conversation, nous avons décidé de  demander de l'aide au prés d'un spécialiste. J'ai demandé à ce que tu te fasses interner.










Un blanc s'installa dans la pièce et après un certain temps je compris l'ampleur de ces mots. Ils nous prenaient pour des fous ! Notre propre famille voulait ma mort. Mais n'ont ils toujours pas compris que je suis la à cause d'eux ?

Cette fois-ci ils avaient été trop loin et ma rage a pris le contrôle.


- Comment oses tu ?!
- (sœur)Écoutes Jungkook c'etait le seul moyen de pouvoir te sauver. On a peur pour toi.
- Vous avez peur pour Jungkook ! Mais quelle blague. Pourquoi croyez - vous que je suis là merde. C'est à cause de vous et personne d'autre. C'est à cause de vos putain de comportements que je suis né. Si vous n'aviez pas merdé dès le début je ne serais certainement pas la devant vous.
-(mère) Je veux retrouver mon fils même si pour ça tu dois mourir!
- Mais bordel de merde bande de crevard c'est vous qui devriez mourir ! Aucun d'entre vous ne méritez de revoir Jungkook et d'ailleurs il ne le voudra jamais vous m'entendez. Si je viens à mourir ça serra avec lui. Jamais je le laisserais avec des malades mentaux comme vous. Vous dites que c'est moi le fou mais regardez vous juste bon à suc.....















seulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant