Chapitre 2: PHASE 1

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Journal,

Je ne t'ai pas écrit depuis une semaine je suis désolé mais JK ne semblait pas prêt à me laisser seul à cause de ce que je t'ai dit la dernière fois.

Après tout c'est souvent comme ça. À chaque fois que je me rappel de lui, JK me protège après.

Quand j'ai expliqué cela a la doctoresse qui est là pour m'aider, elle m'a dit que je devais me concentrer sur ça. Peut-être que cela me permettrait de sortir de cet endroit si je racontais notre histoire.

Même si a la base ça devait rester un secret je suis prêt à tout dire. Après tout c'est lui qui a rompus en premier sa promesse. Alors c'est aussi ce que je vais faire.

Je t'ai raconté la fois dernière notre rencontre, alors maintenant je vais te dire comment on s'est rapproché.

A vraie dire notre relation a toujours été ambiguës mais je pense que c'est fin collège jusqu'au lycée que cela s'est amplifié.

Nous étions devenu meilleur amis. Je lui disais mes secret et lui me disait les siens.

On ne nous voyait jamais l'un sans l'autre et quand on se disputait pour des raisons futile, on revenait toujours l'un vers l'autre. On était les "inséparables " comme nous appelait nos amis.

A l'époque ça me faisait rire notre complicité et ta façon d'être envers moi. C'est certainement ça qui m'a fait tomber peu à peu vers toi.

Tu étais toujours à me faire des câlins, me dire à quel point tu étais heureux d'être meilleurs amis avec une personne comme moi.

C'est dans ces moments que je me disais qu'une histoire avec toi serait merveilleuse. Après tout c'est toi qui m'a fait découvrir ma sexualité. Même si au début je ne voulais pas croire que j'étais attiré par les hommes, je me disais que j'étais seulement attiré par toi. Comme si ça pourrait être mieux . Autant dire que maintenant je regrette ma façon de voir.

Même si je croyais en un nous, je regrette d'avoir eus ces pensées envers toi.

Si seulement je ne les avaient pas eus, je ne souffrirai certainement pas comme je souffre aujourd'hui.
Mais surtout je ne serai pas enfermé ici en étant considéré comme un fou par ma famille, le personnel de cette institution et surtout par toi.

seulOù les histoires vivent. Découvrez maintenant