6 : Ma prisonnière

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Je me réveille avec un mal de crâne, il ne sait pas louper ce bâtard. J'ouvre doucement les yeux pour m'habituer à la lampe qui est en pleins sur mon visage. Je secoue la tête pour reprendre mes esprits. C'est alors que je remarque qu'on a changé de salle. On se retrouve dans une sorte de cave je dirais. C'est sombre. Il n'y a qu'une lampe pour m'éclairer.

J'essaye de frotter mes yeux mais je remarque que mes mains sont nouées derrière mon dos par une corde et que je suis assise sur une chaise.

Mais ce n'est pas possible je n'aurais jamais ma soirée tranquille dans mon lit, même si dans un sens ça m'arrange. Ce qui veut dire que je suis caché et que ni mon patron ni la police peut me retrouver.
Je souris quand je vois le positif. C'est alors que les garçons qui m'a frappé approche mais mon sourire disparaît pas pour autant, ouais je suis étrange.

- Qu'est-ce qui te fait sourire? Me demande-t-il en s'asseyant sur une chaise en face de moi mais plutôt éloigner. Il est sur ces gardes. Ce qui me fait sourire encore plus.

- Tu es vraiment étrange comme fille tu sais, tu souris alors que tu es attachée à une chaise et un gang autour de toi.

Mon sourire s'élargit, montrant toutes mes dents. Je prends mes deux mains et lève en l'air, totalement libre. Son regard commence à frémir de colère, et aussi surpris. Je vous avais pas dit mais depuis tout à l'heure, je me défaisais de cette corde, ce noeud n'était pas très solides.

- Tu disais. Répondis-je fier.

Je vous ai expliqué que lors de ma première mission, j'étais ligoté pareille avec 4 garçons autour de moi. Comment je m'en suis sorti un peu comme là mais quand je m'étais défait. J'avais pris la chaise comme arme, et les avais mis Ko tous. Je n'avais que 16 ans à cette époque et déjà doué.

- Tu es plus forte que je ne le pensais, mais tu n'es pas prisonnière, c'était juste parce que tu étais d'une colère noire que je n'ai pas trouvée d'autre moyen de te calmer. Dit-il sèchement en se levant, il s'appuie sur les deux accoudoirs de mon siège ainsi il est plié en deux son visages en face du mien, très proche, trop proche !

- Tu n'as pas peur de trop de t'approcher. Dis-je en gigotant sur le siège mal à l'aise.

Un petit rire sort de sa bouche, il se redresse et me tourne le dos. J'en profite pour reprendre mon souffle, et me lève pour partir mais il se retourne et me fait me rasseoir, je suis surprise que je n'aie pas le temps de réagir, que je me laisse faire.

- Je ne t'ai pas dit de te lever Alexia. Dit-il.

PAUSE, à quel moment il connaît mon prénom, je ne lui aie jamais dit. Je me rappelle soudain que m'ont foutu patron la crier au téléphone alors qu'il était à côté. Je me reconcentre sur le temps présent, je verrais ça plus tard.

- Appelle-moi Lexi. Répondis-je Agacé alors qu'avant j'étais de bonne humeur.

- Non, je préfère Alexia Lopez en fait. dit-il en insistant bien sûr mon nom, mon self-contrôle ne tiendra plus bien longtemps.
Alors que j'essaye de me relever, il me fait rasseoir avec plus de force que les autres fois.

- JE NE T'AI PAS DIT DE TE LE LEVER. Crie ce dernier en colère. Waow je ne l'avais jamais vu comme ça.

- Je croyais que je n'étais pas prisonnière. Dis-je avec un soupçon d'arrogance.

- J'ai dit ça moi, je m'en souviens plus. Ironise-t-il en faisant un signe à quelqu'un derrière mon dos, je n'ai pas le temps de me retourner qu'il me prend le visage entre ses deux mains, et je dois le faire face.

- Tu es ma prisonnière. Dit-il d'un ton dur mais sexy à la fois au creux de mon oreille, c'est possible ça?

Alors que j'essaye de reprendre mes esprits, on m'a pris les deux poignets pour les attacher, je souffle. Ils n'ont toujours pas compris que ça ne sert à rien avec moi, je déferai ce noeud en moins de deux.

- Non pas comme ça Jason. Dit le garçon à la personne derrière moi.

Je ne comprends pas où il veut en venir mais je sais que ça sent mauvais. Alors que j'essaye de lui foutre un coup de pied entre les deux jambes, il m'arrête avec sa main, et me regarde droit dans les yeux avec un sourire en coin.

Alors que le garçon me tient toujours les bras, j'essaye de débattre. C'est sans compter que l'autre me fout un coup et je retombe dans les pommes. Je jure de lui en mettre une à mon réveille, me dis-je avant d'être totalement dans le noir plus rien encore.


Chapitre court... Je sais, mais j'en sors un autre aujourd'hui.
Je ne vous parle pas beaucoup mais on va dire que je n'ai pas grand-chose à dire. :) Sinon j'espère que ça vous plaît, et dis moi comment je peux m'améliorer

Impossible (En cours d'écriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant