HIRO

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Je suis installé dans mon bureau, quand le garde me ramène Aiko.

Aiko : Oya, vous avez demander à me voir ?

Je l'observe en silence, cette pute qui avait osé monter un plan pour faire échapper Kimi, je sais qu'elle a peur en vue de ça posture rien ne m'échappe, si seulement elle savait.

Je me lève et m'approche d'elle et lui colle une gifle, sa tête part sur le côté et elle se retrouve par terre.

Hiro : relève toi !!!! espèce de petite pute, je t'avais dis quoi !!!!! ne t'approche pas de ma femme salope, tu t'en rappelles ? 

Aiko : oui Oya, je voulais juste la rassurer et

Hiro : ferme ta putain de gueule tu m'as compris, tu veux peut-être retourner là ou tu étais, tu sais, l'endroit ou tu étais attachée et ou on te baiser à mort, c'est ça que tu veux ? Répond moi !!!!!!

Aiko : non s'il vous plaît Oya, je vous en supplie

Elle est à mes pieds entrain de me supplier, comme j'aime cette sensation quand la proie est à votre merci.

Hiro : ne t'approche plus de ma femme seule tu m'as compris !!!  ne lui remets plus jamais cette idée de pouvoir s'enfuir, elle est enceinte si il lui arrive quoique soit ce n'est pas un doigt cette fois mais je découpe en morceau, maintenant dégage de ma vue, garde !!!!!

Garde : oui Oya 

Hiro : dégage moi ça de là et je ne veux pas être déranger sauf part ma femme c'est compris

Garde : oui Oya

 Je suis à peine assis que mon portable sonne, je regarde qui sait, kenzo

Hiro : oui 

Kenzo : Hiro, on a un problème à la boîte, une descente de police, tu sais comme ils ont changés de responsable, je crois pas qu'il sait qui on est exactement et j'ai aussi remarquer des coréens dans le coin, j'ai besoin de toi là mon frère ramène tes hommes

Hiro : fils de pute c'est pas vraiment la journée à m'emmerdé aujourd'hui, il est ou Yuri

Kenzo : sûrment  entrain de baiser une pute

Hiro : appelle le tout de suite j'arrive

Kenzo : ok

Putain de merde c'est quoi cette journée de merde

KENZO

Bon il faudrait mieux pour Yuri qu'il ramène ses fesses ici avant que Hiro débarque vu au son de sa voix il n'est pas de bonne humeur, il va tout cassé.

Yuri :oui mon frère je suis un peu occupé là 

Kenzo : ramène tes fesses tout de suite on un problème au club puis Hiro arrive et tu as plus tôt intérêt à être là quand il arrive il n'est d'humeur aujourd'hui, tu sais comment il est quand il est comme ça

Yuri : merde, j'arrive 

Ces bâtards de flic avec leur nouveau responsable ils ne savent pas à qui ils ont à affaires, je retourne, dans mon bureau ou ses fils de putes m'attendent.

Capitaine : vous avez appelés le patron du club car je n'ai pas que ça a faire

Kenzo : tu crois que tu parles avec qui toi 

Capitaine : tu vas me parler sur un autre ton tu sais à qui tu parles au moins je suis le capitaine de police et toi une racaille, une petite merde

Kenzo : quoi c'est moi que tu traite de merde, fils de pute je vais te défoncer ta gueule

Capitaine : arrêter cet homme

Yuri : vous allez rien faire du tout oui 

Capitaine :  tu es qui toi ?

Yuri : son frère

Capitaine : c'est toi le patron d'ici 

Yuri : le responsable oui

Capitaine : moi je veux le big boss tu m'as bien compris

Yuri : oh mais tu vas le voir 

HIRO 

Commissaire : Hiro que me vaut votre appelle 

Hiro : j'ai un problème avec un de vos hommes qui a débarqué dans un de mes clubs et fou la merde, je vais être clair je vais le défoncer vous m'avait bien compris !!!! soit vous venez et vous me régler ce merdier ou vous pouvez oublier votre prime qu'on vous verse 

Commissaire : oh merde, il est nouveau et croit bien faire

Hiro : j'en ai rien à foutre, je suis un homme occupé et là je suis obligé de ma déplacer pour régler ça, je vous retrouve là bas tout de suite est ce clair commissaire, vous me connaissez si c'est pas vous je peux aussi appeler plus haut

Commissaire : non non Hiro j'arrive

Hiro : sage décision

Je suis devant mon club, le commissaire et devant à m'attendre à ma vue il s'approche, ce lèche cul. Je suis avec une trentaine d'hommes, il a raison d'avoir peur mais je veux surtout que les coréens nous voit armés et bien présent.

On pénètre dans le club, tout mon personnel me salut avec peur, j'arrive vers le bureau et j'entends des cris.

Hiro : c'est quoi ce bordel, c'est quoi le problème ici 

Capitaine : tu es qui toi 

Hiro : espèce de fils de pute tu sais pas qui je suis ?? 

Capitaine : arrêter cet homme 

Commissaire : vous allez rien faire du tout

Capitaine : commissaire mais que faites vous ici

Commissaire : et vous qui vous a donnez l'ordre de venir ici, savez vous à qui vous avez à faire, maintenant je vais vous demander à vous et à vos hommes de partir sur le champs c'est bien compris 

Capitaine : Mais commissaire

Commissaire : il n'y a pas de mais, c'est un ordre

Capitaine : très bien à vos ordres

Hiro : si jamais je te revois ici je te défonce ta gueule, c'est chez moi ici ne l'oublie jamais, je peux faire de ta vie un enfer 

Capitaine : mais tu es qui toi

Commissaire : espèce de crétin, c'est Monsieur Hiro le Oya des yakuza, maintenant si tu tiens à ta vie et à celle de ta famille, aller part d'ici

Hiro : autres choses, demande pardon à mes frères tout de suite espèce de bâtard 

Capitaine : mais 

Commissaire : dépeche toi 

Capitaine : je m'excuse messieurs pour le dérangement

Kenzo : aller casse toi de là

Une fois que ce fils de pute et ses hommes soient partis, je me tourne vers le commissaire qui déglutine.

Hiro : écoute moi bien, si je le revois ici, je le tue ainsi que sa famille et toi je te ferai battre à mort tu m'as compris je n'ai pas de temps à perdre 

Commissaire : oui monsieur

Hiro : maintenant laisse nous

Kenzo : tu as vu les coréens

Hiro : oui on va réglé ça et Yuri arrête de baiser avec toutes les putes d'ici elles ont des clients et du boulot tu m'as compris

Yuri : c'est faux je ne le fais pas tout le temps

Hiro : arrête c'est pas le moment de me contredire 

Yuri : très bien ok j'arrête

Hiro : maintenant  allons voir les coréen







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