Kimi

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je me retrouve toute seule dans la cuisine avec Aiko, au moins je peu soufflé un peu jusqu'à 13h, j'appréhende de me retrouver seule avec lui dans une chambre. Aiko arrive et me sors de mes pensées.

Aiko : Vous avez finis votre petit déjeuner Mademoiselle ?

Kimi : oui

Aiko : très bien je vais débarrasser et nous pourrons aller nous installés dans le salon pour pouvoir commander votre garde robe, et d'autres choses qui vous fait envie.

Kimi : je suis vraiment obligée ? 

Aiko : écouter Mademoiselle, j'ai reçu un ordre par notre oya et je lui dois obéissance 

Elle s'approcha de moi et me chuchota à l'oreille, caméras. J'écarquillas les yeux, en faisant attention à ne pas me faire repérer, je lui dis que je dois aller dans la chambre pour pouvoir me brosser les dents, elle me dit oui en hochant de tête, elle me raccompagna jusqu'à la chambre, les gardes non pas bouger, il y en a tellement que je ne serai dire combien il y en a, une fois dans la salle de bain, elle tire sur la porte coulissante puis se tourne vers moi.

Kimi : pourquoi tu m'aides ? je n'ai pas confiance en toi, tu lui a tout répéter ce que je t'avais dit

Aiko : écouter mademoiselle, nous somme filmés 24/24 notre oya peut tout voir et tout entendre on lui répète tout et il peut aussi nous suivre avec son téléphone portable, nous avons tous très peur de lui et nous lui devons obéissance, ce n'est pas moi qui lui ai tout dis mais ma mère

Kimi : la dame qui était avec toi est ta mère ? puis comment elle aurait fait, elle ne comprends même pas le français

Aiko : oui c'est ma mère, vous devez savoir que nous portons tous des oreillettes qui nous permets de vous comprendre à part moi car j'ai pu apprendre un peu votre langue à l'école peu avant que je ne travaille ici, j'arrive à me débrouiller

Kimi : comment ça des oreillettes ? je ne te crois pas, c'est des conneries

elle retire une oreillette qu'elle avait à son oreille, je ne l'avais même pas remarquer et me demande de la mettre, réticente au début puis je l'ai pris et je l'ai mise à mon oreille, elle commence à me parler en japonais.

Et là incroyable une petite voix me traduit ce qu'elle venait de me dire, c'est géniale. 

Aiko : Notre oya a énormément d'argent, ils a beaucoup investis dans la technologie il a toute une équipe qui travaille pour lui au développement et création d'objet du futur et une équipe informatique très compétente, vous ne pouvez rien leur caché

Kimi : c'est incroyable !!!!!!!

Aiko : chuttttt, on pourrais nous entendre, les gardes sont devant la porte, s'il vous plaît ne le dites à personnes sinon je serai très sévèrement punie, je tiens à mes doigts

Kimi : tes doigts ?

Aiko : oui dans la famille et des clans Yakuza tu peux te retrouver avec des doigts en moins si tu n'obéis pas

Kimi : pourquoi tant de cruauté, ton oya comme tu dis est un monstre

Aiko : vous avez il n'a pas toujours était ça d'après ma mère, bon nous devons sortir sinon les gardes vont avertir notre oya

Kimi : oui, mais tu peux m'appeler Kimi

Aiko : je ne peux pas mademoiselle, nous avons ordre de ne pas vous appeler par votre prénom, nous sommes pas du même rang

Kimi : tsssss, tu m'appellera par mon prénom quand nous seront seule comme maintenant d'accord ?

Aiko : oui c'est possible, aller allons commander votre garde robe, et s'il vous plaît faites le sinon  c'est moi qui aurait des problèmes

Kimi : très bien Aiko

En sortant de la chambre les gardes nous regarde avec suspicion, mais ils ne dirent rien. On repassa par un autre chemin pour rejoindre  le salon, waouh !!!!!! il est tout simplement magnifique, immense, plusieurs toiles de geishas ornées les murs, des vases immense styles chinoises, des sabres accroches au dessus d'une très grande cheminée, tout était décorer avec goût, on s'est installé sur un des nombreux canapé, sofa et autre qui orné le salon.

Aiko récupéra un pc portable d'un certain Sully, je me rappelle de lui il était là à mon arrivé, je l'ai regardé de travers, il m'a juste fais un signe de la tête et il est repartis aussi vite.

Bien sûr le pc portable était super sécuriser impossible de naviguer comme on voulait dessus ou d'aller sur mon compte mail.

Aiko : alors il y a déjà plusieurs sélections, dis moi juste ce qui te plaît et le tout te sera disposer au domaine dans l'après midi

J'ai jeté, un coup c'était très beau, il n'y avait que des marques de luxe, je ne me sentais pas du tout à l'aise avec tout ça, j'étais très féminine serte mais là c'est très loin de ma came de vêtements mais comment faire autrement je n'ai pas envie d'être nue et que Aiko est des problème. Après ma sélection faite et la commande passé, j'ai pu choisir des livres également, des cd de musique, il était 12h30 quand nous avons finis, elle me raccompagna à la chambre et fermas à clé en sortant.

Une fois seule, je me suis mise vers la fenêtre à admirer le paysage, mon cœur battait à toute allure, car je sais qu'il ne va pas tarder à arriver, je me rappelle du regard et sa façon de me fixer ça voulait tout dire, je dois avouer qu'il était très beau en costume bleu et chemise blanche, mais non Kimi tu ne peux pas pensa ça, c'est ton ravisseur, non, non, le bruit de la porte me fait sursauter. Ca y est il est là, j'entends la porte se refermer à clé. je n'ose pas me retourner. Je l'entends s'avancer vers moi, je le sens derrière moi il est tout près, trop près. 

Hiro : comment va mon chat depuis ce matin ? 

Je sens son souffle vers mes oreilles, il me renifle un frissons me parcourus, il dégage mes cheveux sur le côté, dépose des baisers sur mon cou, mon dieu je n'ose plus bouger, il me dégoute mais mon corps ce traître aime ce qu'il fait, j'essaye de me dégager mais il me chuchote à l'oreille

Hiro : laisse toi faire mon chat, n'oublie pas que la sécurité et le bien-être ta famille dépends de ton comportement.

Que puis je faire que de céder, ma famille était tout pour moi, ses mains remonte ma robe jusqu'à mes fesses, il fait descendre mon string, pétrie mes fesses, me retire complément le string, je sens que je mouille c'est pas possible, il écarte mes jambes je sans sa langue sur mes lèvres, je ressens à nouveau cette chaleur m'envahir, je ne pas me retenir de gémir, il fait rentrée sa langue dans mon vagin, je suis toute mouiller, avec son doigts il frotte mon clitoris, je sais que je ne dois pas ressentir ça mais c'est tellement bon mon dieu, il introduit, un doigt dans ma chatte, il fais des vas et viens puis encore un autre doigt, il les fait entré et ressortir lentement c'est un supplice de résister, la chaleur monte en moi j'ai chaud très chaud, je sens que je vais jouir, oui j'y suis presque, puis il stoppe tout, il se relève, déboutonne, son pantalon il m'attrape par les hanche me penche et me pénètre d'un coup sec, malgré que le fait que je sois mouiller son sexe est assez gros et la pénétration me fait encore un peu mal, puis il me pillons, j'ai dû m'agripper au rebord de la fenêtre pour ne pas tomber, tout en me pénétrant, il me caresse le clitoris je gémissement plus encore fort c'est tellement bon, cette sensation j'en ai honte putain.

Hiro : tu aime ça ah mon chat, tu aimes que je te baise que je te pénètre avec ma grosse bite, ton corps m'appartiens déjà, ta chatte est faites pour moi et bientôt c'est toi qui va me supplier de te baiser

Il allait de plus en plus vite ne tenant plus j'ai pousser un cri avant de jouir, tout mon s'est mis tremblé, il continuais encore avant de d'éjaculer à son tour, il attendis instant et se retira, son sperme coulant le long de mes jambes.

Et c'est là que je me suis réveillée, OH MON DIEU IL N'A PAS MIS DE PRESERVATIF NI HIER SOIR NI A L'INSTANT.

Dark loveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant