Le capitaine et le papillon

Terry 28

Je me réveille avec un bip, je regarde autour de moi tout est blanc mon papillon allongée dans le lit à côté. Je vais me relever, une douleur vive au niveau du ventre me rappelle que j'ai eu une balle.

Je souffle et me bouge le plus doucement possible. Enlève la perfusion que j'ai au bras. Je marche difficilement jusqu'au lit de mon papillon qui est juste à mes côtés.

Elle est blanche, mais elle respire, je vois sa poitrine se lever et descendre, mais surtout la machine le confirme que tout va bien.

Je lui caresse les cheveux et mes larmes coule sur mes joues.

- Mon papillon, tu m'as fait tellement peur, ne me laisse plus jamais, je ne pourrais pas vivre sans toi.

La porte s'ouvre sur nos amis

- Oh quel beau petit cul, mais je préfère celui de ma femme.

Je reconnais la voix de Louis, qui est suivie de Zack qui vient me donnait une chaise.

- Assis toi, me dis Zack.

- Comment elle va ?

- Elle va bien, il lui on enlevait un poumon, elle s'est réveillé tout à l'heure est on la rassure elle a fermé aussitôt les yeux.

- Notre chenille ?

- Il va bien il viendra avec vos parents cette après-midi. Me dit Louis.

Nos amis me donnent un sac pour que je puisse aller m'habiller.

Une infirmière entre a son tout vérifie que tout aille bien pour ma femme et se fâche, car j'ai enlevé la perfusion. Fini par nous laisser.

Mon papillon se réveille et les gars nous laisse.

Je me mets à ces côtés, la prend comme je peux dans mes bras ou elle s'effondre

- Tout va bien mon papillon,

- Il nous laissera jamais

- Si, il est mort !

À ce moment elle pleure de plus belle, je la laisse faire elle en a besoin de se laisser aller et elle finit par s'endormir. Quand le médecin passe je me fais rouspéter parce que je ne suis pas dans mon lit. Mais je m'en tape, je ne bouge pas mes fesses de ce lit.

Il m'explique la suite pour mon papillon, ils vont la garder quelques jours elle va avoir un suivi régulier, mais il n'y a pas de raison que tout rentre dans l'ordre.

On nous apporte notre repas je réveille mon papillon pour qu'elle mange, je suis heureux il ne manque que notre chenille et nos boules de poils.

Notre chenille arrive avec nos parents, on fait un câlin tous les trois ce qui à nous fait du bien après tout ce qu'on vient de vivre il nous fallait notre bébé.

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1 mois, que tout c'est passer Sarah reprend peu à peu ses habitudes on a engagé une aide de vie, là où elle fait la tête c'est qu'elle n'a pas le droit de porter notre chenille, donc elle a l'impression de pas pouvoir s'en occuper. Je reçois des appels, enfin plusieurs fois par jour pour me dire que Sarah est invivable avec Noémie notre aide de vie. J'ai dû partir trois jours pour le boulot, et là je rentre à la maison où j'entends des cris derrière la porte. Je souffle, je vois dans le salon Sarah et Noémie qui à Livio dans ses bras.

- Donne-moi mon fils.

- Non, vous ne pouvez pas le porter

Je souffle, les boules de poils ne sont pas là ,bizarre.