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Allan est devant moi et me regarde toujours, scrutant ma réaction. Me dominant par sa grandeur, mes yeux fixent sa gorge en admirant sa pomme d'adam saillante.

- Vous voulez un striptease ? chuchote-je, timide.

- Disons que je veux que vous me dévoiliez vos charmes en dansant sur une musique que j'ai choisie spécialement pour cet effet.

- Ce n'est pas un peu... répond-je la gorge sèche.

- Intrusif ? Non, vous êtes venu de votre plein gré en me demandant ce que je voulais de vous. Je suis franc, je vous dit ce que je veux maintenant.

Mon regard demeure dans le sien, cherchant ses intentions. Il me pénètre de ses yeux verts pénétrants et je me sens soudainement envahie par lui. Mes paumes sont moites et ma respiration s'accélère quand j'y remarque des lueurs vicieuses et gourmandes. Il me sourit avant de sortir un objet de sa poche. Une petite manette noire composé de plusieurs boutons. Mon patron s'assoit sur un fauteuil noir sombre en cuir. Les jambes écartées, il s'y installe confortablement. Les yeux emplit de perversité, Allan soulève la main et appui sur un bouton, une musique résonne dans la pièce pendant que je reste debout à deux mètres de lui, immobile.

- Angel de Massive Attack, j'imagine que vous connaissez. J'ai toujours fantasmé sur le fait de vous voir onduler sur cette chanson. Elle me parle assurément de vous, dit-il sérieusement toujours en me contemplant.

Hochant la tête, il m'indique qu'il est prêt à me voir commencer. Gênée mais déterminée je me laisse captiver par ses iris verts qui me transpercent par leur puissante emprise. Mes hanches ondulent au même moment que la douce voix sexy du chanteur vibre à travers mon corps. Je caresse tranquillement ma poitrine en descendant délicatement vers les rebords de ma robe pour les saisir. Avec sensualité, je soulève ma robe pour faire apparaître mes sous-vêtements en dentelles noires. Allan m'admire toujours vicieusement en déposant son index au coin de sa tête pour s'y appuyer. Je soulève mes longs cheveux noirs avec mes bras en tournant érotiquement sur moi-même pour lui offrir la vue de mes fesses et de mon dos. Je plis les genoux et remonte tranquillement en faisant sur de ressortir mon fessier et d'un mouvement brusque, je donne un élan pour ramener mes cheveux dans mon dos. Quand je me retourne face à mon patron, il m'indique d'approcher de lui avec son long doigt invitant. Monsieur Parker se redresse dans le fauteuil et s'assoit sur le bord. J'hésite un moment, me demandant si je fais bien de tomber dans ce jeu érotique. Mais je finis par m'approcher lascivement de lui pendant que ses prunelles me dévorent. Maintenant tout près de lui, ses mains caressent mes cuisses en remontant sur la peau tendre de mon cul. Son souffle brûlant vient effleurer mon nombril, pendant que son nez glisse sur mon abdomen. Quand ses lèvres chaudes se déposent enfin sur ma peau, je ferme les yeux et profite de son délicieux baiser. Sa bouche se faufile de ma hanche droite à celle de gauche me faisant frissonner intensément. La langue douce d'Allan liche le bas de mon ventre et je l'entends gémir avec un érotisme qui provoque un serrement délectable au creux de moi.

- Votre peau est un poison savoureux, susurre-t-il contre elle.

'' Goûte ton doux poison, Ivy''

La voix d'Alex fait écho dans ma tête et je sens mes yeux brûler sous mes paupières closes. Mon corps se raidit et je pose mes mains sur ses épaules pour le repousser. Toutefois, mes mains demeurent sur ses épaules sans le pousser. Je n'ai pas le courage de stopper tout ça maintenant, je dois continuer pour me purifier, dompter cette douleur à l'intérieur de moi.

Non pas maintenant !

- Venez ici, chuchote-t-il en attirant mon corps contre le sien.

Assise sur lui, les jambes de part et d'autre de son bassin, je serpente sexuellement sur l'excitation qui comble son pantalon pendant qu'il s'attarde à détacher mon soutien-gorge avant de caresser mon dos. Je ferme les yeux et ravale ma salive, je ne dois pas penser à Alex, ce n'est pas le moment. Il dévore mes seins avec appétit faisant raidir les bouts puis m'admire pendant que je frotte encore et encore mon sexe contre son érection.

IndécenceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant