Le Désir De Vengeance

chapitre 6

Elle ouvrit la carte, heureusement pour elle, elle réussissait à se repérer. Même si ça n’était pas de tout repos. Elle décida de partir à pied, personne ne l’empêcha. De toute façon pour que quelqu’un puisse l'en empêcher il aurait fallu que quelqu’un l’a voit partir. Aucun garde n'était la, personne. Où diable étaient-ils tous passés ?
Quand Louise arriva à l’hôpital elle se dépêcha de monter les étages de façon à pouvoir la voir. Elle se retrouva nez à nez avec Luiz. Il avait un regard grave ce qui ne présageait rien de bon. Luiz était un infirmier qu'elle connaissait bien. C’était lui qui s’occupait de Frédérique depuis la découverte de son cancer. Il l’avait toujours soutenu face à cette maladie dévastatrice.

Louise :  Comment va-t-elle ?

Luiz: Comme d’habitude.

Louise parti en direction de la chambre de Frédérique. Elle frappa à la porte et entra. Son ami était allongée sur le lit avec un bouquin dans la main. Un roman d’amour, l’un des nombreux romans d’amour qu’elle adorée lire. Elle releva les yeux pour la regarder et fût stupéfait de son état physique. Louise était en sueur, complètement essoufflée.

Frédérique: Et ben dis donc, tu as une de ces têtes.

Louise:  Je suis ravi de te voir aussi.

Frédérique: Je suis désolée, mais c'est moi qui ai un cancer en phase terminale et c'est toi qui a une tête... Mais qu'est-ce qui t'es arrivé ?

Louise s’assit sur le lit de son amie et lui sourit.

Louise: C’est long à expliquer. Qu’est-ce que tu est en train de dire ? Laisse-moi deviner, "Le contrat" ?

Frédérique: Non, c’est « Le sultan amoureux ». Le contrat, je l’ai déjà terminée il y a trois jours.

Louise: Je n’ai jamais vu quelqu’un lire aussi vite que toi.

Frédérique: Oui, il ne me reste pas beaucoup de temps. Alors je préfère terminer les livres assez rapidement.

Louise la regarda avec une peine infinie. Frédérique lui pris la main tendrement.

Frédérique: S’il te plaît Louise ne fais pas cette tête. Raconte-moi plutôt qu’est-ce qui t’arrive.

Louise soupira et lui raconta toute l’histoire. Frédérique réagissait à sa façon, elle sursautée, souriait
, riait pour enfin être triste.
Non en réalité elle n’était pas attristé. Elle était plutôt contente que sa meilleure amie ne soit plus dans les griffes de Pedro.

Frédérique:  Et dis-moi est-ce qu’il est beau ?

Louise:  Oh mon dieu oui.

Frédérique se mit à sourire toute émoustillée.

Louise: Arrête de faire ta tête, ont est censés le détester.

Frédérique: Ah non désolée mais je ne le détesterait pas. Pedro je le hais, en plus d’être stupide il est moche. Alors que d’après ce que j’ai compris Dario est bien plus que beau. Il te fait de l’effet ça se voit tout de suite.
Et comment est son…

Louise: Fred!

Frédérique: Je t’en prie, ne fais pas ta sainte-nitouche et ne me fais pas croire que tu ne l’as pas imaginer nu.

Louise s’empourpra légèrement, malheureusement c’était le cas.
Il était extrêmement beau, très attrayant et charismatique. Et ce petit côté rebelle lui faisais quelque chose. Sa meilleure amie n’était pas dupe et la connaissait bien.

Frédérique: Oh, la, la, la, la, je vous imagine, coincés dans un ascenseur lui te caressant tendrement la…

Louise: Fred! Mais c’est pas possible, c’est ses bouquins qui te met des idées pareilles dans la tête ?

Frédérique: Bien sûr que non, j’ai toujours été une perverse. Mais je t’avoue que depuis je suis cloué dans ce lit, j’ai des pensés torride continuellement. Tu verrais mon nouveau médecin, il est sublime et il a un corps de combattant greque.